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Facteurs étiologiques ….

L`ETIOLOGIE DE LA CARIE DENTAIRE Considérations étiologiques sur la carie dentaire Le rôle du liquide bucal comme facteur protecteur. Facteurs étiologiques ….

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  1. L`ETIOLOGIE DE LA CARIE DENTAIRE Considérations étiologiques sur la carie dentaireLe rôle du liquide bucal comme facteur protecteur

  2. Facteurs étiologiques …. • Les études expérimentales, épidémiologiques et cliniques ont démontré d`une manière indubitable que la maladie carieuse est une maladie infectieuse et transmissibles, les bactéries spécifiques (acidogéniques et aciduriques) qui colonisent la surface de la dent étant reconnues comme des factéurs étiologiques impliqués directement dans l`apparition des lésions carieuses. • La maladie carieuse est plurifactorielle; des facteurs multiples favorisants externes y sont impliqués et/ou qui modifient sa prévalence, le moment de l`apparition et le moule évolutif. • Les facteurs qui, dans les études transversales, se sont prouvés être associés significativement à l`augmentation de la prèvalence sont dénommés indicateurs de risque. Les facteurs dont on a démontré dans les études longitudinales être fortement associés à une augmen tation significative du risque de déclenchement de la maladie ont été dénommés facteurs de risque et ceux qui sont liés à l`évolution de la maladie respective, facteurs de pronostic du risque..

  3. Facteursétiologiques …. • Ainsi, l`apport fréquent de carbohydrates, tel le sucre, est envisagé seulement comme un facteur de risque ou de pronostic du risque externes, le résultat peut être modifié par des facteurs internes qui jouent le rôle d`hôte telle la qualité des tissus durs dentaires et la quantité et la qualité de la salive. accuiel Sans caries Sans caries Plaque bacterienne caries temp Sans caries Sans caries diete

  4. Facteurs étiologiques …. • Les facteursfavorisantsinternesmajeursliés à la maladiecarieusesontreprésentés par : • un flux salivaire bas, • unequalitéfaible de la salive, • de facteursdéfavorisantsayant rapport à l`hôte, • des maladies chroniques, • uneanatomiedentairedéfavorable au niveau micro- et macro, • un stadedangereusedansl`éruptiondentaire. • Parmi les facteursfavorisantsexternes on peut include: • l`alimentationcariogène, • un status socio-économique bas, • unemédicationdéfavorableainsique des visitesirrégulières au cabinet dentaire.

  5. Facteursétiologiques …. • Les facteurs socio-économiques et comportamentaux • Cesfacteurs et surtout le facteuréducationnel, sont les plus importants au niveau de groupeou population.Evidemment, les modifications sociales (guerres, urbanisation, industrialisation) ontinfluencé le mouled`apparition et d`évolution de la carie. Il estbienconvenuqu`unebonnehygiène, des habitudes alimentairescorrectes et l`utilisationrégulière des pâtes de dents au fluoreparticulièrement chez les enfantssontétroitementcorrélées avec le niveau social des parents ( niveauéducationnel), status dentaire, la régularité des soinsdentaires (surtout des programmespréventifs) et l`héritageethnique- importante pour les émigrés. Le niveau socio-économique et éducationnel des parents est de beaucoup plus étroitementlié : l`incidence de la carie chez les enfantsque par exemple, la fréquence de l`apport des produits qui contiennent du sucre. • La classesociale, l`hygièneorale, les habitudes alimentaires et l`utilisation du fluoresont des facteursliésd`unemanièreconventionnelle à la prévalence de la carie.

  6. Facteurs étiologiques …. • Même chez les adults c`est le niveau éducationnel qui compte, parce qu`aujourd`hui, dans les pays industrialisés il y a une tendence d`accélération dans le pourcentage des adultes éduqués surtout à l`âge entre 20 et 50ans; c`est ce qui a aussi mené à une amélioration dans le status de la santé orale à tous les groupes d`âge. D`autres facteurs comportamentaux sont chez les habitudes quotidiennes concernant le tabac, les exercices physiques réguliers ou pas, une diète végétarienne. • En ce qui concerne la population à handicap physique ou mental, même si l`incidence de la carie est égale à celle des personnes normales, chez ces personnes restent quand même plus de caries non-traitées et plus de dents sont extraites. Le problème principal n`est pas le handicap en soi mais le manque de l`hygiène orale et la nécessité des programmes quotidiens et continuels pour ces personnes.

  7. Le rôle du liquide bucal dans la carie dentaire • Le liquidebucalreprésente la totalité des fluidescombinésprésentsdans la cavitébucale. Il estformé du mèlange des sécretions des glandessalivaires, du fluidesulculaire (créviculaire), restesalimentaires, microorganismes et cellules épithélialesdescuamées. • Le fluidesulculaire a un rôleparticulierdans le déclenchement et l`évolution de la maladieparodontale; ilcontient des protéinessérique: Ig G, complément, fibrine, leucocytes. Ig G active le systèmecomplément qui induit la fagocytose des bactériesGr + et produit des enzymes destructifscontre les bactériesGr-, en étantainsi capable d`organiserune riposte immunologiquetrès forte à l`invasionbactérienne.

  8. ANATOMIE • Le volume quotidien normal est de 0,5-1 litresdont 2-10% seulement est produite pendant le sommeil et 80% est stimulée par la mastication en se produisant pendant les repas; c`est ainsi que la production de salive est-elle capable de répondre rapidement aux nécessités physiologiques. • FS= > ½ du volume de la totale • FnS= est secrétée plus par la sous-mandibulaire et moins par la parotide. • Selon la nature de la secretion : • la parotide : purement séreuse-secretion mince, aqueuse, riche en enzynes ; • sous-mandibulaire : mixte- plus séreuse ; • Sous-linguale : mixte-plus muqueuse ; • mineures : mixtes à l`exception des glandes palatinales qui sont purement muqueuses et de celles vonEbners qui sont purement séreuses.

  9. ANATOMIE • En fonction du système ductal, les glandes salivaires se classifie encore en simples et composées. • Chez les glandes sous-mandibulaire et parotide le système ductal est bien représenté en contenant des ductes intercalées, striées et excrétrices. • Dans les glandessous-linguales, les ductesintercalées et striéessontinégalablemntdistribuées. Les glandessalivairemineuressont des glandestubulairessimplementramifiées. • La glandeparotide à un poids de 20-30 grammes, avec le ducte principal Stenon long de 5 cm qui s`ouvredevant la face vestibulaire de la mollaire 2 maxillaire. Cetteglandecontribuie avec 10% de la salive non-stimulée et avec plus de 50% de toute la salivestimulée. • La glandesous-mandibulaire plus légèreque la parotideétantentouréed`une capsule propre. Le ducte principal Wharton est long de 5 cm et ils`ouvreà la pointe de la papillesous-linguale tout près du frein de la langue.

  10. Innervation et l`arc réflexe • Les stimuli gustatifs et masticateurs (la stimulation mécanique des barorécepteurs de l`espaceparodontal) envoientl`impulsionnerveusevers les moyauxsalivaires de la medula oblongata. Le système descendent a deusvoies. La voievasculaire-par la stimulation sympathique se déclence la sécrétiond`adrénaline. • La voienerveusesur la voie des nerfs facial et glosopharingien par la stimulation parasympathique en augmentant la quantitéd`acétylchloline. Les terminaisonsnerveuses font synapse au niveau des glandessalivaires. • Fondamentalement, la formation de la salive se fait en 2 étapes: • les acinesproduisent la saliveprimaire, isotoniquesemblable au plasma pour qu`ensuitecelle-cideviennehypotinique(<70%) • dans le systèmeductal a lieu l`étape finale par la réabsorptionsélective du Na+ et du Cl- (sans eau) et l`élimination de K+ et HCO3- • Beaucoup de médicamentsaffectent le terme du flux salivaireainsique la composition de la salive. Ainsi, les antidepressifs et les antihystaminiquesinterractionnent avec les systèmesglandulairesrécepteursmuscariniquescollinergiques en affectantsurtout le volume de la salivetandisqued`autres (les diurétiques) induisent: • des modifications compotionnelles par leur action sur les sels de l`organisme et de la balance hydrique • des efforts inhibiteursur le transport d`électolytes.

  11. La Physiologie • Elle estinfluencée par plusieursfacteurs: • RFS ( flux salivaire stimulée), • La nature de la glandestimulée • La nature des stimuli-goût/ mastication • La durée de la stimulation

  12. LES FONCTIONS DE LA SALIVE

  13. CLEARENCE SALIVAIRE • Représente le processus de dilution et d`élimination des substances introduites dans la cavité buccale; un intérêt spécial dans la carie dentaire reevient à la zacharose, au fluore, aux carbohydrates et acides de la diète. • Le volume résiduel salivaire est environ de 0,8ml, en plus grande quantité chez les hommes par rapport aux femmes. Un morceau de sucre dissou dans ce petit volume dépassera le niveau de saturation de sorte qu`il ne soit plus dissolvable. Par conséquent, le reste de sucre sera vité englouti et il n`arrivera pas la proximité de la plaque bactérienne, donc ce n`est pas la quantité de sucre qui comptera, mais bien la manière d`alimentation. • Le goût doux stimulera le terme du flux stimulé qui, au moment où il arrivera à une valeur de 1,1ml, déclenchera le reflexe d`engloutissement avec un volume de 0,3ml/ déglutition. Ainsi éliminera-t-on une cretaine quantité de zacharose; celle-ci se diluant jusqu`à ce qu`elle nestimule plus les glandes salivaires; de ce moment, le clearence ne se réalise qu`au compte du terme du flux non-stimulé. Voici comment, le clearence a un moule bistadial avec une étape initiale très rapide tandis que la suivante est plus lente.

  14. CLEARENCE SALIVAIRE Le terme du clearence se mesure par: • le temps oùl`on arrive au moindreniveaudétectable de la substance dans la salive. • Le temps de réduction à moitié le temps nécessaire pour que la concentration en salive de la substance respective arrive à la moitiéde la concentration initiale. Le termedépend de: - le terme du flux salivaire; - le volume de saliveavant et après l`engloutissement. • Ainsi, plus la quantité de sucreestgrande, plus le terme du flux salivaire sera aussi plus grand et unequantité plus grande de sucre sera éliminee. Le terme du clearencevarieselon: • la santé des glandessalivaires; • le siège oral qui gouvernera et la vitesse de déclacement de la salive qui varie entre 0,8ml/min aux dents maxillairesantérieures et les molairesmandibulaires (clerencemoindre) et 0,9 ml/min devant les orifices des ductessalivairesmajeures (clearance plus grand).

  15. CLEARENCE SALIVAIRE • Du film salivaire, la zacharose diffuse dans la plaque bactériennedansunequantité qui tient à la différence de concentration du sucre entre la salive et le liquide de la plaque bactérienne. Les premières minutes sontdécisives pour la production d`acidedans la plaque parcequec`estalorsque la différence de gradient est la plus grande. Après quelques minutes cependant, la concentration dans la plaque bactériennedeviendra plus grandequedans la salive, le flux de la zacharoseétantinversémais à unevitesse de beaucoup moindreparceque la différence en concentration n`est pas sigrandelorsque la plaque est mince. • Un clearenceréduit (moindrevitesse, accessibilitéréduite, plaque plus grosse) vaprovoquer “la chute” des courbes de Stephan; après un rinçage à zacharose, la chute du pH dans la plaque aux molairesest de beaucoup plus sèvère au centre de la surface quelingualement.

  16. L`auto-nettoyage • La salive de repas est principalement protective, tandis qu`un volume plus grand de salive stimulée est nécessaire pour faciliter l`ingestion (la formation et l`engloutissement du bol alimentaire) ainsi que la communication. • Preuves • les glandes salivaires détruites par médication, maladies ou Rx-thérapie et/ou écarteées par chirurgie post-tumeur ou lityase ont déterminé l`apparition d`une entité pathologique odontale dénommée carie rampante ou explosive. C`est pourquoi, chez les patients à Rx-thérapie on va administrer des gels au fluore et on va éliminer les glucides cariogènes de l`alimentation. • Une seule glande majeure absenta induira un cadran plus cariosusceptible • “la carie de biberon” chez les enfants sous 3 ans: caries rampantes sur les surfaces lisses (vestibulaires) aux incisives maxilaires. la carie de biberon carie rampante- irradiation thérapeutique

  17. HIPOFONCTION • La xerostomie- symptôme pareil à la bouche sèche qui affecte les fonctions orales et parfois la qualité de la vie. • L`hyposalivation représente le signe clinique, objectif, mesurable qui s`inscrit cependant au cadre des variétés biologiques: • RFnS≤0,1ml/min (normalement)=0,3ml/min • RFS≤ 0,5-0,7ml/min (normal=1,5 ml/min) • On observe qu`il n`y a pas une association linéaire entre RF et la carie, mais seulement un effet de “seuil”. La xerostomie peut exister sans les signes de l`hyposalivation, mais l`hyposalivation aussi peut ne pas présenter des signes cliniques. La composition de la salive peut être affectée sans qu`il y ait une modification du terme du flux salivaire.

  18. L`Hypofonction – Etiologie • Les causes principales de l`hypofonction des glandes salivaires et de la xerostomie. • -Médicaments aux effets secondaires sur le terme du flux salivaire,; • -irradiation thérapeutique, particulièrement du cou et de la tête; • -maladies systémiques • -affections rheumatoïdes (syndrome Sjögren); • -disfonctions du système immunitaire-SIDA • -troubles hormonaux-diabète • -troubles neurologiques-syndrome Parkinson • -deshidratation • -troubles psychogéniques-la dépression • -l`anorexie nerveuse- la malnutrition • -la ménopause • -Sialolityases • -le vieillissement (facteur favorisant); • - activité masticatoire basse(diète liquide; aliments mous). La médication est la plus habituelle cause de xerostomie surtout chez les vieillards qui prennent des associations de médicaments. A la médication on la change ou on change sa dose mais JAMAIS sans l`avis du médecin généraliste.

  19. hyposialie syndrome Sjögren

  20. troubles psychogéniques l`anorexie nerveuse diabète Amphétamines

  21. HIPOFONCTION - MÉDICATION • Analgésiquestriazolame (Halcion) • diazépame (Valium) • alprazolame (Xanax) • Amphétamines • Préparés antiacnéiques • izotrétinoine (Accutane) • Antiarthritiquespiroxicame • Anticollinergiques • sulphate d`atropineglicopyrolate (Robin) • Antidépressifs • tricycliques • Antidiaréiques • Antihystaminique • Antihypertensifs et diurétiques • Antiparkinsoniens • Antipsyhotique

  22. L`Hypofonction-maladies générales • Maladies rhumatoïdes et autoimmunes: le syndrome Sjögren: se caractérise par l`inflammation des glandes à infiltration lymphocitaire. Les composantes sécrétrices (les acinies) se déteriorement rapidement on résultant une diminution substantielle de la salive. • Le diabète sucré type I ne provoque pas de hyposalivation mais la deshydration par poliurie diminue RF surtout quand il y a un contrôle métabolique de la maladie. C`est toujours dans cette étape que le niveau glucidique dans la salive est augmenté ce qui facilité la production des caries. • La malnutrition, la bulimie et l`anorexie nerveuse sur de longues périodes réduisent RF. • Tumeurs malignes de la tête et du cou traiteés par Rx-thérapie (50-70 Gy); apparaissent des lésions au bout de 5-7 semaines par : • l`effet direct sur les cellules sécrétrices et ductales; • l`effet secondaire après la lésion des structures vasculaires fines intraglandulaires; • doses > 40 Gy affectent irréversiblement le parenchyme par atrophie et fibrose.

  23. L`Hypofonction . Symtômes oraux principaux: • Bouche sèche (xerostomie); • Soif; • Difficulté dans l`engloutissement (disphagie); • difficulté dans le parler (disphonie); • difficulté dans l`alimentation à éléments séchés; • le besoin de boire de l`eau fréquemment pendant le repas; • difficulté dans l`adaptation aux appareils gnatoprotéiques totalement amovibles; • mesures fréquentes de maintenir toujours la bouche humide; • douleur et irritation fréquente du cou en simulant une tonsilite.

  24. L`Hypofonction- Symtômes oraux secondaires. • Brûlures et fourmillements sur la langue; • Sensations gustatives anormales; • garder un verre d`eau au chevet; • fissures et ragades aux comissures. Symptômes non-oraux • gorge sèche; yeux:vue ombrajeuse;brûlures occulaires; sensation de sable dans les yeux; l`utilisation régulière des gouttes ophtalmiques; • peau sèche; • constipations fréquentes; • sécheresse nasale.

  25. L`Hypofonction- Signes cliniques • La porte de l`éclat de la muquese orale; • La sécheresse de la muqueuse orale; muqueuse mince et pâle; • fissuration et lobulation de la face dorsale de la langue; • keilite angulaires; • caries dentaires; augmentation de la prèvalence; sièges atypiques; • salive de repos grosse, filante; • tuméfaction des glandes salivaires;

  26. L`Hypofonction- Signes cliniques • La sécheresse de la bouche pendant la mit, le matin ou pendant la journée n`est pas nécessairement un indicateur de la fonction chez les fumeurs et chez les respirateurs oraux. • La xerostomie est liée à la deshydration de la muqueuse; puisque la salive n`humecte pas toute la cavité bucale uniformement, il est possible que même lorsque la salive est en quantités normales, des zones “sèches” déclenchent la sensation de bouche sèche. Cela apparaît alors que RFnS est moindre de 5% que normalement, c`est-à- dire alors qu`au moins 2 glandes majeures sont affectées.

  27. Hypofontion- Evaluation • Mesuration des termes du flux salivaire; • données anamnésiques; • données concernant la médication hyposalivante; la tuméfaction et la douleur des glandes salivaires perçues à la palpation; le test de friction; le miroir sécolle à la muqueuse; la muqueuse est mince et pâle, sans éclat; • la salive est en quantité réduite, grasse et écumeuse en format des “taches” blanches, jaunes ou brunes; des caries apparaissent sur les surfaces non-susceptibles: V,L et moins les caries aproximales sous le point de contact.

  28. Propriétés physiques- La Visquosité • Certaines glicoproteines à grande poids moléculaire contribuient à la visquosité des sécretions salivaires. Certainement, une salive très visqeuse favorise la retention et l`adhération des restes alimentaires sur la surface de la dent et dans les espaces physiques retentifs, de sorte que le clearence oral des glucides alimentaires soit plus réduit. D`un autre côté cependant, par sa propriété de se précipiton dans le milieu solide, la mucine englobe de nombreux microbes en contribuant au nettoyage de la cavité buccale. La couche de mucus n`est pas soluble et elle est un facteur très important de se mouvoir par petite friction sur d`autres surfaces de la cavité buccale.

  29. La capacité tampon • Par cettecaractéristique la salive a la capacité de corriger les variations de pH provoquées par les modifications dans la concentration des ions acidesoubasiquesproduits par exemple de la fermentation des sucres. L`ion de hydrogènereprésente la principale “variable” puisque: ilgouvernel`équilibre Ca3 (PO4)2 entre la dent et son milieu liquide; il influence la solubilité et l`activité des macromoléculessalivaires. Il s`exprime en unités de pH qui représentent le logarythme à signechangé de la concentration H+ , de sortequ`àuneunité de pH la concentration diffère de la fois. • Sources: - secrété par les glandessous la formed`acidesorganiques et anorganiques; - produit par la microbioteorale; - amenédans la cavitébuccale des boissons et des aliments.

  30. Il y a des différences majeures dans le pH de la plaque sur des sièges différents: - le pH immédiatement sur-gingival où prédomine Str.mitis qui est le moins acidurique est différent de celui qui est placé immédiatement sous le point de contact où se développe LB. de la maison qui est le plus acidurique; - le pH des dents maxillaires < le pH des dents mandibulaires; - le pH des surfaces linguales > le pH des surfaces vestibulaires; • à la maxillaire: le pH des dents antérieures < le pH des dents postérieures; • au mandibule: le pH des dents antérieures > le pH des dents postérieures. • Il y a des différences significatives entre le pH de la surface d`une lésion carieuse et celui de son intérieur: - le pH de la surface où il y a un contact avec la salive est semblable au pH des surfaces saines; -le pH de l`intérieur est cependant de beaucoup moindre par la présence des LB et l`absence de la salive.

  31. Le pH des lésions lui-même est différent selon le diamètre de l`ouverture, en ayant une valeur descendente comme il suit: - carie à grand diamètre et peu de dentine infectée; - carie à petite ouverture et peu de dentine infectée; -carie à petite ouverture et beaucoup de dentine infectée. • Les courbes de Stéphans – 20 minutes après un rinçage à glucose chez 50 patients aux caries rampantes, sur de dents sans accès salivaire, le pH a diminué plus et il est resté à une petite valeur plus temps que sur les sièges à un accès salivaire optime.

  32. Rôle du calcium salivaire • Ca2+ est un ion bivalent excrété par transport actif avec les protéines (zymogène) dans le lumen des acines. La concentration de cet élément dans la salive totale est de 1-3 mmol/l: la concentration du calcium dans les glandes sous-linguales /sous-mandibulaires est ½ de la concentration de la glande parotide, et celle-ci augmente le plus la sécrétion par RFS, de sorte que la concentration du Ca augmente linéairement en même temps que l`augmentation du flux salivaire. • Selon le pH salivaire le calcium existe sous 2 formes: Ca2+ (ionisé) et Ca lié. Ca2+ est très important dans l`attaque cariogène parce que c`est lui qui prend part à la stabilisation de l`équilibre entre les phosphates de calcium entre dent et les liquides environnants. • À pH =7, Ca=Ca lié. • À pH =4, Ca2+ >> Ca lié.

  33. Le calcium lié existe sous forme de : - ions anorganiques (phosphate; bicarbonate) =10-20%; - ions organiques pétits (cytrate) < 10%; -macromolécules =10-30 %( statérine, histidine, proteines riches en proline qui d`un côté lié Ca2+ et d`un autre côté inhibe la précipitaion des phosphates de calcium. Les protéines de la salive parotidienne ont une affinité particulière très forte pour Ca2+ : 12,5-20% du Ca2+ de la salive parotidienne est sous forme de complexes calcium-protéines. Le pH salivaire a un effect limité sur le rapport calcium-protéines. C`est pourquoi, même aux valeurs diminuées du pH salivaire (5,5) des quantitées considérables de calcium sont-elles encore liées aux protéines ou aux peptides. Grâce à ces complexes de calcium et de phosphate, à un pH physiologique, les produits ioniques de calcium et phosphate ne sont pas cependant en très grande quantité, de sorte qu`on puisse d`une “apparente” sur-saturation dans ces produits.

  34. Lorsque le pH diminue au-dessous les niveauxphysiologiques, unepartie des complexes existents sontdélivrés et s`ajoutent au bassinionique de Ca2+ et PO43- ; par conséquent, l`apatite de l`émail de surface est protégée de se dissoudre des concentrations accrues de Ca2+ et PO43- .A un certain pH, quand le bassin des complexes de calcium estvidé, apparaît la sous-saturation et l`apatitepassedans le solution. Ceniveaus`appele pH critique et ilvarie d`un individu à l`autre, savaleurdépendant à un certain moment des réserves de complexes Ca2+ et PO43- . Lorsque le pH commence d`augmenter des concentrations assezgrandes de Ca2+ et PO43- sontprésentes- lesquellesvontprécipitersur la surface dentaire. A un pH =5 ilsprècipiterontsousforme de Ca(H2PO4)2. Alorsque le pH continue d`augmenter de nouvellesformes de phosphate de calcium précipiteront, en engendrant à d`autres phases solides qui graduellementcontiendront de plus en plus Ca PO4.

  35. Dans le biofilm bactérien, la concentration du calcium est de beaucoup plus grande que dans la salive par: - le nombre plus grand de sièges de liaison, -des sels précipités de calcium. Les échanges de calcium total entre la plaque bactérienne et la dent se font bidirectionnellement, en partant de là où la concentrastion en Ca2+ est plus grande. Quand le pH diminue après une provocation glucidique, le calcium lié délivrera Ca2+ , don’t la concentration augmentera dans la salive. En même temps cependant, le pH salivaire augmente aussi progressivement et les concentrations Ca2+ vont s`égaliser, en arrivant à l`équilibre initial entre la salive et la plaque bactérienne.

  36. Ca2+ a deux valencesqui peuventlier les ions à deux valences négatives, en résultantune configuration stérique. Le citrate (agent quélateur) dans la saliveest en petite quantité, amisilaugmente après une exposition à l`acidecitrique de sorteque Ca2+ dans la salivediminuera beaucoup; elleréprésenteraune solution non-saturée en phosphate de calcium qui détermineral`apparitiond`une forte force inductrice pour la dissolution CaPO4 sur la surface dentaire. Dans le temps cependant, par clearencel`acidecitriqueestéliminé, de sorteque la saliva revienne au normal avec unelégèresur-saturation en phosphate de calcium lorsque la surface dentaire se rémineralisera. Si l`attaque aux agents quelateursestprolongéoutrèsfréquemments`installerauneperte NETTE de minéral en émail, en résultantl`ERROSION.

  37. Rôle du phosphate anorganique • Dans la salivecelui-ciexistesous les formessuivantes: • acidephosphorique (H3PO4); • ion phosphate primaire( H2PO-); • ion secondaire phosphate (HPO2-); • ion tertiaire phosphate (PO43-). Plus le pH estmoindre (il y a plusieurs H+) plus PO43- existemoinsdans la salive qui devientaussi non-saturéedansceproduit qui sera sorti du HA de l`émail. Le produitionique du de la HA baisse par la diminution du pH, en se produisantainsi la déminéralisation.

  38. Rôle du phosphate anorganique • La prévalence et l`incidence des caries chez les individus à un très grand terme de formation du tartresontmoindresque la moyenne.: • dansuneétudesurunepériode de 3 ansoùl`on a utilisé des pâtesdentrifices au fluore chez 4000 enfants on a observéquetous les 12 ansceux qui avaient un grand terme de formation de tartreontsignificativementprésentémoins de nouvelles caries. • Chez les adultes à unetrèsbonnehygièneil y a unesous-classe à un termerapide de formation du tartre et qui a de beaucoup moins de caries. • Rôle : contribue aux produits de solubilisation du phosphate de calcium et implicitement au maintien de la structure dentaire; dans le maintienou le tamponnement du pH; constitue un important nutrient pour la microfloreorale en étantessentiel à la glicolyse.

  39. Rôle du fluore salivaire • La présencedépend de celui de l`eau potable, aliments, pâtesdentrifices et d`autresproduitsprophilactiques. • l`eau potable: dans les zones oùsaconcentration estmoindre de 0,2 ppm le niveau basal salivaireestmoindre de 1,4mol/l. Le niveausalivairepoursuit le niveauplasmatique du fluore (après l`ingestion de fluore) mais aux valeursmoindres de 20-40 %. • L`alimentation et les boissons: danscertaines de celles-ci ,le fluoreest en étationique de sortequ`il se disolverapidementdans la salive: - quandunetablette de fluoreest de 0,25 mg, on disolvedans un ml de salive laconcentration du fluore sera 10.000 fois plus grandeque la concentration basale, et celle-civaconsidérablement diffuser dans la plaque en peu de temps.

  40. Rôle du fluore salivaire • Des minérauxvont se former sousforme de CaF2 qui fonctionnecomme un réservoire de fluore à lentedélivrance.Voilàpouquoi les produits qui contiennent du fluore (tablettes et gommes à mastiquer) serontpromenés par toute la bouche. Les gommes à mastiquer au fluore se consommeront après les repas (30 minutes) quandil y a plus de salivestimulée de la parotide qui contient plus de calcium. Voilàpouquoisontaussiutiles les gommes à mastiquer qui contiennent du Ca et du fluore. Le facteurlimite de formation de CaF2 est le contenu en calcium des fluidesoraux.

  41. Rôle du fluoresalivaire • Le fluore suit le même moule de clearence que la zacharose de sorte qu`un produit au fluore qui a un goût fort augmentera aussi l`élimination de celui-ci, mais il y a aussi des différences importantes : • - la salive contient un certain niveau basal de fluore, ce qui va conduire à une diminution graduelle du fluore jusqu`à ce niveau. • – le fluore englouti va entrer de nouveau dans la salive, en augmentant la concentration de celui-ci.- après quelques minutes la concentration dans la plaque bactérienne et la dent sera plus grande de sorte que la direction de la diffusion changez vers la salive. • Après que la concentration en fluore de la plaque bactérienne diminuer à un niveau qui le fera non-saturé en CaF2, ce sel se dissoudra, en augmentant la concentration de fluore. CaF2 est dépendante du pH aux valeurs normales, les cristaux de CaF2 sont protégés par un pellicule d`ions phosphatés absorbés. Dès que le pH se rapproche de 5, cette couche disparaît et quand la pH augmente il se forme de nouveau. Cette couche diminue l`énergie de surface de l`émail en diminuant l`absorbtion de protéines et la formation PD.

  42. Composants organiques: propriétes antibactériennes et effets de minéralisation • Les mucines • Ce sont des glicoprotéines muqueuses d`origine acinaire à grande poids moléculaire en contenant 40% glucides. Elles ont des propriétes réologiques et la tendance de s`associer avec d`autres composantes. Elles se trouvent sous 2 formes: MG1 (1000Kda) et MG2 (150Kda). • -MG1 s`absorbe à l`émail en contribuant à la formation de la pellicule acquise, en le protégeant des attaques physiques ou chimiques. On voit qu`elles sont secrètées par les glandes sous-mandibulaires, labiale at palatines. • - MG2 sont hydrophiles, fortement hydratées par l`interraction entre les carbohydrates et l`eau; elles résistent à la deshydratation en étant actives dans la lubréfaction et le maintien des surfaces mucisales humides. Elles sont produites par les glandes sous-mandibulaires et labiales.

  43. L`acidesialique des mucines qui participent à la formation de la pelliculeacquisejoue un rôlemineurdans le stade initial de l`adhésionbactérienne, maisilparticipedans la transition vers les interractiond`affinité plus grande. • Du moment où les mucinescontiennent des quantitésconsidérablesd`acidesialique terminal et qu`anelle font partie de la pelliculeacquise, ilestlogique de suggérerqu`ellesserventcommerécepteur de pellicule à grandeaffinité pour l`attachementbactérien. Contrastant avec cetteadhésion, dépendente de l`acidesialique, l`adhésion Str. Mutans et celle de certainstroncs de Str. Sanguis à la pelliculeacquisesembleimpliquer un récepteur qui contient de la galactose. La galactoseestsouvent le dernier oul`avant dernier carbohydrate trouvésur les oligozacharides des mucinessalivaires et elleestexposée après l`écartement de l`acidesialique par les microorganismes qui produisent de la neuraminidase.

  44. Leurfonctiongénéraleestdonnée par leur grand degré de glycosidation et le potentiel pour l`hydratation qui permet aux mucines de combattre la désication en le sèchement des surfaces orales. • Les muciness`attachent aux différentestoxines et aux différentes constituents chimiquesafin de protéger les surfaces oralescontre les insultes du milieu. • Les propriétésvisquo-élastiquespermettent la lubréfication des surfaces dures et molles pour minimiserl`abrasion et pour faciliter le parler et l`engloutissement.

  45. Les glycoprotéinesséreuses • Ellesontunemoindre GM et contiennent plus de 50% carbohydrates. C`est un groupehétérogène à unegrandediversité des catènes de sortequ`ilprésente un grand polimorphisme des catènes et des rôlefonctionnelsmultiples. • I.Avecprépondérencedans la reminéralisation • 1. La statérine • C`estune petite à une GM moindre de 5300 D qui contient de la proline, de la lysosime et de la phosphosérine. Les radicauxlibreschargésélectriquementlui assure les siègesd`adhésion à HA. • Inhibe la précipitationspontanée du phosphate de calcium de la salivesursaturée et prévient la croissance des cristaux de sortequesoitfavorisée la réminéralisation des surfaces dentairessauf la formation des dépôtsminérauxdisfontionnels. • Promentaussil`adhésion du Actinomycesvisquesous à la surface dentaire..

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