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LE SECRET PROFESSIONNEL A LEPREUVE DU QUOTIDIEN AU DOMICILE

LES METIERS DES STRUCTURES DE SERVICES A DOMICILE. Infirmiers et aides soignantsInd

mikko
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LE SECRET PROFESSIONNEL A LEPREUVE DU QUOTIDIEN AU DOMICILE

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Presentation Transcript


    1. LE SECRET PROFESSIONNEL A L'EPREUVE DU QUOTIDIEN AU DOMICILE

    2. LES METIERS DES STRUCTURES DE SERVICES A DOMICILE Infirmiers et aides soignants Indpendants conventionns : infirmiers, kins, logopdes, Coordinatrices Assistants sociaux Aides familiales et mnagres Gardes domicile Ergothrapeutes Ouvriers polyvalents, livreurs Employs des services internes Volontaires

    3. SPECIFICITE DU DOMICILE Aller au domicile, c'est entrer d'emble dans l'intimit des bnficiaires. Pour certaines professions, en particulier celle d'aide familiale, l'exposition directe ou indirecte des informations d'ordre personnel est invitable et rptitive. Ce n'est pas ais pour les prestataires de grer ce partage de l'intime.

    4. SECRET PROF / DEVOIR DE DISCRETION Secret professionnel Notion de confident ncessaire Secret confi dans l'exercice de sa profession Engage les responsabilits civile, pnale et disciplinaire Devoir de discrtion Notion de non divulgation d'infos non pertinentes Engage les responsabilits civile et disciplinaire Pas ou peu de jurisprudence pour baliser le concept

    5. SECRET PROF / DEVOIR DE DISCRETION Secret professionnel Infirmiers, aides soignants Coordinatrices et personnel du centre Assistants sociaux Gardes domicile ? Paramdicaux : kins, ergothrapeutes, Devoir de discrtion Aides familiales et mnagres Personnel administratif Ouvriers polyvalents et livreurs Volontaires

    6. QUELLES INFORMATIONS PARTAGER ? Le statut de laide familiale : Laide familiale est lie par un devoir de discrtion. Celle obligation persiste aprs la fin des interventions et aprs la fin de son contrat. Laide familiale est donc tenue dobserver la plus grande discrtion par rapport aux situations quelle rencontre.

    7. QUELLES INFORMATIONS PARTAGER ? Le statut de laide familiale : La divulgation de faits ou dinformations, sans ncessit et sans utilit, constitue, dans le chef de laide familiale, une faute dontologique qui porte atteinte la relation de confiance. Cette faute peut entraner une sanction disciplinaire. Cependant, dans le contexte de l'aide domicile, le partages d'informations avec d'autres professionnels tenus soit un devoir de discrtion, soit au secret professionnel, est indispensable."

    8. PARTAGER LES INFORMATIONS ? Le partage dinformations pour une prise en charge de qualit au domicile est ESSENTIEL dans un contexte de RELATION DE CONFIANCE avec le bnficiaire

    9. PARTAGER LES INFORMATIONS ? Partage dinformations : entre professionnels soumis au secret professionnel, par exemple entre le mdecin traitant et l'assistante sociale entre professionnels soumis au secret professionnel et professionnels soumis au devoir de discrtion, par exemple entre l'assistante sociale et l'aide familiale entre professionnels soumis au devoir de discrtion, par exemple entre deux aides familiales

    10. PARTAGER LES INFORMATIONS ? Les outils du partage dinformations : Le dossier interne du bnficiaire Les documents au domicile : dossier infirmier, cahiers de communication, cahier de liaison du GLS, Les changes oraux

    11. QUELLES INFORMATIONS PARTAGER ? Les informations PERTINENTES dans l INTERET DU BENEFICIAIRE

    12. EXEMPLE 1 Une aide familiale dcouvre quun bnficiaire prend du Viagra Une bnficiaire se confie l'aide familiale et lui raconte qu'elle a t viole par son pre dans son enfance, motif expliquant sa dpression chronique Elle en parle en runion dquipe, est ce adquat ?

    13. EXEMPLE 2 Patient de 70 ans pris en charge dans un premier temps par le service infirmier Vit avec son fils Lex-pouse prvient linfirmire que le fils boit et elle sinquite dune possible maltraitance Des aides familiales vont intervenir bientt Linfirmire doit-elle partager linformation ? Avec qui ?

    14. EXEMPLE 3 Bnficiaire qui a fait une tentative de suicide par arme feu MRSA au niveau de la blessure la tte Pris en charge par le service infirmier et le service daides familiales Que doit dire linfirmire aux aides familiales ?

    15. EXEMPLE 4 Bnficiaire qui rentre chez elle dans le cadre d'une prise en charge palliative Le mdecin et la famille dcident de ne pas nommer la situation palliative la bnficiaire La bnficiaire est anxieuse et pose de faon rptitive des questions aux infirmires Comment doivent se positionner les infirmires ?

    16. EXEMPLE 5 Demande daide familiale chez un jeune homme Lors de lenqute sociale, parle peu, mais dit tre toxicomane Lassistant social lui demande sil peut contacter lhpital psychiatrique et le mdecin dans un souci de transparence Lassistant social revoit ensuite le bnficiaire et discute avec lui de laide approprie Que faire si la personne refuse que lassistant social entre en contact avec le niveau mdical ?

    17. NOS BALISES A LA CSD A l'engagement, signature d'un document explicite Rgles de dontologie Runions dquipe et pluridisciplinaires L'accs limit de certaines donnes internes La protection des documents laisss au domicile, ainsi que des documents transmis aux prestataires de terrain

    18. PROTECTION DES DOCUMENTS AU DOMICILE Dossier infirmier : dossier conserv et consult au domicile du bnficiaire sous son entire responsabilit. Consultable par les prestataires tenus au secret professionnel. Dossier renvoyer la fin des soins.

    19. EN CONCLUSION DES NOTIONS FONDAMENTALES : Intrt du bnficiaire Relation de confiance Responsabilit des prestataires Pertinence des informations partages Equilibre prcaire entre trop peu dinformations et trop dinformations Rflexion et dialogue permanents au sein de la structure, qualit de l'encadrement des prestataires

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