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 Roger AÏM.  Roger AÏM.  Roger AÏM. Projet : P. SS1. SS2. SS3.  Roger AÏM.  Roger AÏM. EPR.  Roger AÏM.  Roger AÏM. Qu'est-ce que l'EPR ?

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  1. Roger AÏM

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  4. Projet : P SS1 SS2 SS3 Roger AÏM

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  6. EPR Roger AÏM

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  8. Qu'est-ce que l'EPR ? L’EPR (European Pressurized Reactor) est un réacteur de nouvelle génération destiné à prendre la relève des centrales actuellement en exploitation. Il est construit par Areva. A quand le premier réacteur de ce type et où ? Le premier EPR est en cours de construction en Finlande. Sa mise en service est prévue pour 2009. Quel est programme de déploiement ? EDF a déjà décidé de se doter d'un EPR tête de série qui devrait entrer en service au début de la prochaine décennie. Il sera implanté à Flamanville (Cotentin) et sa construction débutera en 2007, pour s'achever cinq ans plus tard. Areva espère également voir des EPR fonctionner aux Etats-Unis à l'horizon 2015. D'autres marchés s'ouvrent au nouveau réacteur : ceux des pays en rapide développement comme la Chine, mais également des pays européens qui devront remplacer leurs centrales nucléaires quand elles arriveront en fin de vie, entre 2010 et 2030. Roger AÏM

  9. Qu’apporte-t-il de nouveau par rapport aux précédents réacteurs ? L'EPR permettra de produire une énergie encore moins chère : 10 % de moins par rapport au prix actuel du kwh nucléaire et 20 % de moins par rapport au gaz. Ce gain provient d’une puissance accrue (1.600 Megawatt electric contre 1450 Mwe actuellement), d’une durée de vie portée à 60 ans au lieu de 40, d’un délai de construction ramené à moins de 5 ans, d’une diminution de 15 % de l’uranium nécessaire pour produire l’électricité, ainsi que d’une diminution des temps d'arrêt pour maintenance. Roger AÏM

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  15. Le projet de lanceur européen fut proposé par la France en 1972 après l’échec du programme Europa 2, dont les sept lancements furent tous des échecs, et consécutivement à la réussite du programme scientifique français des fusées Diamant ayant lancé plusieurs satellites avec succès. Roger AÏM

  16. L’échec du programme européen Europa 2 avait découragé les partenaires européens et initialement seule la France souhaitait poursuivre un programme spatial pour s’affranchir de la tutelle américaine. En effet, pour lancer le satellite franco-allemand "Symphonie" en 1972, les Européens, ne pouvant compter sur le lanceur Europa, « frappèrent à la porte de la Nasa », qui après un premier refus, accepta finalement à la condition que le satellite soit expérimental et non utilisé à des fins commerciales. Cette erreur tactique américaine fut bénéfique à la relance du projet de fusée européenne1. Roger AÏM

  17. Après de délicates négociations entre les gouvernement de la France, de l'Allemagne et du Royaume-Uni, un accord fut trouvé fin 1973), entre 1972 et 1973. Comme il n’est pas possible de conserver une telle appellation pour un programme chargé de symboles, le CNES lance un appel à idées. Parmi les propositions retenues : Phénix, Véga, la Lyre, le Cygne. Le directeur général du CNES Michel Bignier sont associés dix pays européens, a été lancé en 19732 : Roger AÏM

  18. La maîtrise d'œuvre du programme Ariane est confiée, dès l'origine, au Centre national d'études spatiales (CNES), par l'Agence spatiale européenne (ESA). • La maîtrise d'œuvre industrielle est quant à elle confiée à Aerospatiale, qui sera intégrée en l'an 2000 à EADS, puis fusionnée en 2006 avec Astrium, toujours au sein d'EADS. • La conception des différents composants d'Ariane est assurée par plusieurs entreprises, parmi lesquelles : • Snecma, groupe Safran, en charge de la motorisation. La motorisation des premières versions d'Ariane était conçue par la Société européenne de propulsion (SEP) qui fut par la suite intégrée à la Snecma. • Matra (intégrée dans EADS au sein d'Astrium) pour la case à équipements Roger AÏM

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  20. Plusieurs générations de fusées Ariane vont voir le jour : • Ariane 1 : premier lancement réussi le 24 décembre 1979 • Ariane 2 : premier lancement réussi le 20 novembre 1987 4, après l’échec du premier vol, le 30 mai 1986. • Ariane 3 : premier lancement réussi le 4 août 1984 5 • Ariane 4 : premier lancement réussi le 15 juin 1988 6 • Ariane 5 : premier lancement réussi le 30 octobre 1997, après un échec lors du premier vol le 4 juin 1996. Roger AÏM

  21. L’échec rencontré avec ce premier lancement d’Ariane 5 a permis de clarifier les rôles : • entre l’ESA (Agence spatiale européenne) et le CNES (Centre national d'études spatiales) français, d’abord • avec la société EADS ASTRIUM, ensuite • et, enfin, avec la société ARIANESPACE, en 2003. Roger AÏM

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  28. La constellation Galiléo sera composée de 30 satellites, dont 27 opérationnels et 3 de réserve sur des orbites circulaires à environ 23 000 km d'altitude. Ils seront placés sur 3 plans d'orbite régulièrement espacés, avec 9 satellites actifs par plan plus 1 en réserve dans chaque plan incliné de 56° par rapport à l'équateur. Cette constellation, dite de Walker, permet d'avoir une bonne précision de restitution de la position en tout point du globe grâce à la visibilité permanente d’au moins 8 satellites. Roger AÏM

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  30. Nombre de satellites : 30 Durée de vie : 10 ans Masse par satellite : 700 Kg Orbite : Circulaire moyenne Altitude : 23 222 Km Roger AÏM

  31. Tous les satellites supporteront une charge utile d'une centaine de kilos, comprenant : • des instruments de datation avec 2 types d’horloges atomiques ; • des instruments de génération du signal chargés de transmettre les signaux de navigation ; • des instruments de transmission afin d’amplifier les signaux de navigation et de les envoyer grâce à une antenne de transmission. Roger AÏM

  32. Le 26 mars 2002 à Bruxelles, le Conseil des Ministres des Transports de l’Union européenne (UE) valide la phase de développement du programme Galiléo, le système européen de navigation par satellites. Le 10 décembre 2004, le même Conseil des Transports autorise le déploiement opérationnel de Galiléo, et confirme les cinq services qu’offrira le système, dont le PRS (Public Regulated Service) pour les applications sécurisées. Roger AÏM

  33. Système satellitaire Galiléo Origine Études menées par l’ESA, le CNES, et adoption par la Commission européenne Initiateurs Commission Européenne, ESA, CNES Participants Union européenne, Esa, consortium industriel mené par l'Esni (Europe an Satellite Navigation Industries), anciennement appelé Galileo Industries Objectifs Mettre à disposition des utilisateurs un système précis et intègre, permettant de connaître leur position en temps réel Enjeux Doter l'Europe d'un système autonome de navigation par satellites Statut En cours de développement Lancements     Satellites expérimentaux Giove-A : 28 décembre 2005 et Giove-B : fin 2007Lancement des 4 premiers satellites opérationnels développés dans le cadre du programme GalileoSat: : 2008-2009 Lancement des 26 autres satellites : 2009-2011 Roger AÏM

  34. Comme les systèmes américain GPS (Global Positioning System) et russe Glonass (GLObal Navigation Satellite System), Galiléo permettra aux utilisateurs équipés d’un récepteur adéquat de connaître leur position en temps réel, avec une précision variant de 10 à 1 m. Roger AÏM

  35. Ce programme, cofinancé par l’Union européenne et l’Agence spatiale européenne (Esa), est composé de 3 parties : • 30 satellites placés sur orbite circulaire d’altitude moyenne, • des stations au sol et • des utilisateurs dotés de récepteurs mobiles. Roger AÏM

  36. Grâce à cette architecture, Galiléo servira dès 2011 de multiples applications et pourra, à l’image du système GPS, être utilisé dans de nombreux secteurs d’activité : transports aérien et routier, navigation maritime, agriculture, etc Roger AÏM

  37. 5 niveaux de services Galiléo sont prévus : Roger AÏM

  38. le service ouvert : gratuit et en libre accès pour tout possesseur d’un récepteur Galiléo, il fournira des données de positionnement, de navigation et de datation compatibles avec ceux du GPS et de Glonass Roger AÏM

  39. le service commercial : en échange d’une redevance versée à l’opérateur Galiléo, il offrira de nombreux services à valeur ajoutée avec la possibilité de transmettre de données complémentaires Roger AÏM

  40. le service « Sécurité de la vie » : il délivrera un service sécurisé, intègre et certifiable, en vue des applications critiques sur le plan de la sécurité de la vie tels que le transport aérien, maritime et terrestre Roger AÏM

  41. le service PRS (Public Regulated Service) : s’adressera en priorité aux utilisateurs d'applications gouvernementales sécuritaires Roger AÏM

  42. le service « Recherche et sauvetage » : il permettra de localiser un ensemble de balises et de renvoyer un message d’acquittement vers les balises en détresse. Roger AÏM

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  47. Les différentes étapes de sa construction : • 1991 : Etudes préliminaires des services de l’Etat. • 1996 : Le choix du Viaduc multi haubané s’impose. • 14 Décembre 2001 : JC Gayssot, ministre des transports et de l’équipement pose de la 1ere pierre. • 2002 : terrassements, fondations • 25 février 2003 : 1er lançage du tablier coté sud. • 20 novembre 2003 : Fin de la construction des 7 piles. • 28 mai 2004 : Jonction des 2 parties du tablier. • 2004 : Dressage des 7 pylônes d’acier au-dessus du tablier, tension des haubans, tests de fiabilité. • 14 décembre 2004 : Inauguration du Viaduc de Millau par le Président de la République, Jacques Chirac. • 16 décembre 2004 : Mise en service du Viaduc. Roger AÏM

  48. Record mondial de hauteur, avec des pylônes culminant à 340 mètres (plus hauts que la Tour Eiffel) et long de 2 460 mètres, le Viaduc multihaubané de Millau - à 2 fois 2 voies - effleure la vallée du Tarn en 9 points seulement. Son inscription très discrète dans le paysage, conformément aux choix de l’architecte et des collectivités aveyronnaises concernées, impose le recours à des solutions techniques avancées : un tablier métallique au dessin très fin, supporté par des haubans et reposant sur 7 piles, très élancées et réalisées en béton à haute performance. Le profil de l’ouvrage est lui aussi original puisque l’on montera en pente très douce (3 %) du nord vers le sud, en décrivant une légère courbe. Roger AÏM

  49. Un ouvrage concédé au groupe Eiffage pour 75 ans, après mise en service du viaduc, et assorti d’une exigence de parfait fonctionnement d’au moins 120 ans. Un investissement de 320 millions d’euros (2,1 milliards de francs) financés en fonds propres par Eiffage. Roger AÏM

  50. Quelques chiffres-clé : • Hauteur du tablier : 270 m au dessus du Tarn. • Hauteur au sommet des pylônes : 343 m. • Nombre de piles : 7. • Hauteur de la pile la plus haute : 245 m. • Longueur totale : 2 460 m. • Pente : Environ 3%. • 36 000 tonnes de charpente métallique. • 205 000 tonnes de béton. • Effectifs sur site en cours de chantier : 500 personnes environ (source Eiffage). Roger AÏM

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