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Les politiques économiques

Les politiques économiques. Sylvain Zini. Plan. I. les fondements des politiques économiques II. Le type de politiques économiques III. Les politiques structurelles IV. Les politiques conjoncturelles. II. Les types de politiques économiques. Politiques structurelles

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Presentation Transcript


  1. Les politiqueséconomiques Sylvain Zini

  2. Plan • I. les fondements des politiques économiques • II. Le type de politiques économiques • III. Les politiques structurelles • IV. Les politiques conjoncturelles

  3. II. Les types de politiques économiques • Politiques structurelles • Politiques visant à modifier en profondeur le mode de fonctionnement d’une économie • Action sur les structures • Modelage des institutions • A priori : les politiques structurelles partent du principe que le marché aboutit a des structures inefficaces • Politiques conjoncturelles • Politique contracyclique visant à influencer la conjoncture économique. • Politique de relance ou politique d’austérité • Outils : politique budgétaire, politique monétaire

  4. III. Politique structurelles • Objectifs d’une politique structurelle • Assurer un développement à long terme soutenu par une croissance forte • Diversifier la composition sectorielle d’une économie • Gérer l’insertion économie internationale • Mettre en œuvre une structure institutionnelle favorable au développement • Type de politiques structurelles • Politique industrielle • La politique de concurrence • La politique commerciale • La politique de l’emploi • Politique de formation • Politique sociale

  5. Politique conjoncturelles • Carré magique de la croissance (Kaldor) • Croissance du PIB (taux de variation du PIB) • Plein-emploi (faible taux de chômage) • Stabilité des prix (faible inflation) • Équilibre commercial (exportations = importations)

  6. La politiquebudgétaire • Utiliser le budget d’un gouvernement afin d’interagir avec la conjoncture économique et avec la confiance des acteurs du marché • Le gouvernement peut utiliser les recette et/ou les dépenses comme levier • La production d’un déséquilibre dans les finance publique n’est pas a priori dommageable si on considère que la relance d’une économie sera plus que proportionnelle aux frais engagés dans la relance. • Par ailleurs, si en récession, il semble acceptable de faire des déficits publics, ceux-ci seront compensés par des excédents dans les années de croissance : c’est le stabilisateur automatique.

  7. Keynes : L’effetmultiplicateur • En économie fermée • PIB = C + I + G • C = c . (PIB) • PIB = c(PIB)+ I + G • PIB - c(PIB)= I + G • PIB (1-c) = I + G • PIB= (I + G) / (1 – c) Si c= 0,8; et qu’on augmente G de 1000, l’augmentation finale du PIB est de : = 5000 Légende: C = consommation; c = propension marginale à consommer; I = investissement; G = dépenses du gouvernement; X = exportations M = importations; m = propension marginale à importer

  8. L’effetmultiplicateur (suite) Si c= 0,8; et que m=0,35 et qu’on augmente G de 1000, l’augmentation finale du PIB est de : = 1818,18 • En économie ouverte • PIB + M = C + I + G + X • PIB = C + I + G + (X – M) • C = c(PIB) et M = m(PIB) • PIB + m(PIB) = c(PIB) + I + G + X • PIB + m(PIB) - c(PIB) = I + G + X • PIB (1+ m-c) = I + G + X Légende: C = consommation; c = propension marginale à consommer; I = investissement; G = dépenses du gouvernement; X = exportations M = importations; m = propension marginale à importer

  9. La politiquebudgétairedans le caskeynésien

  10. Effet de la politiquebugétaire pour les monétaristes et les nouveau classiques • Pour les monétaristes • Si les autorités mentent aux consommateurs • ↑Dépense => ↑ consommation => ↑ PIB; puis lorsque le gouvernement baisse les dépenses : ↓ plus que proportionnelle des dépense de consommation => retour au niveau de PIB initial • Chez les nouveaux classiques (Lucas) • Les consommateur savent que d’avance que l’augmentation des dépenses publiques est temporaire, ils épargnent intégralement les revenus liés à la hausse des dépenses publique = aucun effet sur le PIB

  11. Les fondements de la politique monétaire • Qu’est que la monnaie • Les fonctions de la monnaie • Unité de compte • Moyen de paiement • Réserve de valeur • Attributs nécessaire de la monnaie • La confiance • Une autorité légitime qui endosse la valeur de la monnaie (un État, une banque centrale) • Comment financer une économie ? • Autofinancement : • Le financement par le marché • Le financement bancaire

  12. Le financement par l’emprunt bancaire • La banque crée la monnaie qu’elle prête. A priori, elle n’a pas de limite à cette création, mais… • La banque est une institution de pouvoir, elle va émettre des prêts en fonction de la capacité de remboursement des emprunteur • Elle sélectionne à qui elle prête en fonction de la réputation, de l’historique de crédit, des garanties et de la validité du projet de l’emprunteur • Elle va faire varier le prix du prêt en fonction du risque de défaut de paiement. • Le taux d’intérêt constitue le mécanisme de rémunération de la banque

  13. La banque centrale • Elle a le monopole de l’émission de billet. De ce fait, les banques doivent s’approvisionner auprès d’elle afin de fournir les liquidités à ses clients. Toutefois, la banque émet toujours plus de monnaie que ce qu’elle a en terme de billets, puisque l’essentiel des transactions financière se fait en dehors des échange monétaire matériels • Pour limiter la création monétaire, la banque centrale dispose de deux outils principaux: • Le taux de réserves obligatoire. Quand un banque commerciale émet des prêts, elle doit s’assurer qu’elle dispose d’un pourcentage de billet a sa disposition. Ex: pour du taux de réserves obligatoire de 10 %, si un banque émet un prêt de 1000 $, elle doit s’assurer de disposer de 100 $ en monnaie de la banque centrale. En conséquence, sa création monétaire se limite à 900 $. • Le taux d’intérêt. En plus d’être obligé de détenir de la monnaie de la banque centrale, les banques commerciales devront verser à celle-ci un taux d’intérêt. Ce taux d’intérêt représente donc le prix à payer pour disposer de monnaie de la banque centrale. Plus celui-ci est élevé, plus la création monétaire devient onéreuse. • Les banques peuvent aussi être obligées de respecter des règles prudentielles. Ex: respecter une certaine proportion entre les actifs de la banque et les prêts offert à ses clients.

  14. fondementsthéoriques de l’intervention : la politiquemonétaire (Keynes)

  15. Le stabilisateurautomatique Inflation PIB Chômage Budget fonctionnel + -

  16. Limites de la politique monétaire • Trappe à liquidité. • Même chez Keynes, la politique monétaire est un instrument a utiliser avec parcimonie • Dans le cas d’une grosse crise économique, les acteurs de l’économie perdent la confiance en ce qui concerne le développement des marché. • L’augmentation de la masse monétaire serait alors thésaurisée, c’est à dire mise de côté. L'effet de relance serait alors nul. • Les agents garderaient ainsi la monnaie parc e qu’il estimeraient que l'utilisation immédiate de celle-ci serait risquée dans une contexte d’incertitude. • Pour Keynes, en cas de crise, la relance budgétaire est donc priorisée par rapport à la relance monétaire. • Par ailleurs, toute forme de relance monétaire ne peut se faire que dans le cas d’un sous-emploi, sinon, l’augmentation de la masse monétaire se traduirait immédiatement par de l'inflation.

  17. Critique des monétariste et des nouveaux classiques Pour les nouveaux classiques, les travailleurs demandent tout de suite une augmentation de salaire, il n’y a donc pas d’effet de relance à court terme

  18. Policy mix

  19. Recettes et dépenses publiques au QC

  20. Solde fiNancier du GVT québécois

  21. Solde Public en % du PIB (QC)

  22. Solde budgétaire fédéral

  23. Varation du PIB canadien

  24. Variation du Chômage au Canada

  25. Taux d’escompte du Canada • 1945-1975 : politique keynesienne • 1975-1990: politique monétariste rigoureuse • 1991-… : monétarisme avec cible d’inflation (1-3 %) et prise en compte de la croissance

  26. Taux d’inflation, Canada, 1945-2011

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