html5-img
1 / 61

Plan

Simulation d’éclairage dans des environnements architecturaux complexes : approches séquentielle et parallèle Daniel Meneveaux Kadi Bouatouch. Plan. Introduction Problématique Structuration Modélisation Regroupement de surfaces Radiosité séquentielle Conclusion et perspectives .

pelham
Télécharger la présentation

Plan

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Simulation d’éclairage dans des environnements architecturaux complexes : approches séquentielle et parallèle Daniel Meneveaux Kadi Bouatouch

  2. Plan • Introduction • Problématique • Structuration • Modélisation • Regroupement de surfaces • Radiosité séquentielle • Conclusion et perspectives

  3. Introduction • Simuler les transferts d’énergie lumineuse entre les surfaces d’un environnement • Architectes, éclairagistes (placement de luminaires) • Évaluer différents paramètres de confort visuel : • niveau d ’éclairement • éblouissement • Acquisition des propriétés photométriques des matériaux (spectrophotomètres) • Utilisation d ’un modèle mathématique exprimant les interreflexions lumineuses

  4. Introductionmodèle d’éclairement • Équation de luminance : • k : réflectance bidirectionnelle • Le : luminance auto-émise • q : angle du rayon incident

  5. Introductionéquation de radiosité • Hypothèse : Surfaces diffuses • Bi : radiosité du carreau i • ri : réflectivité du carreau i • Ei : radiosité auto-émise par le carreau i • Fij : facteur de forme entre les carreaux i et j • Résolution de ce système à l ’aide de méthodes itératives (Jacobi / Gauss-Seidel / Southwell)

  6. IntroductionRadiosité hiérarchique • Maillage hiérarchique des surfaces afin de réduire le nombre de mailles • Création de liens entre les mailles afin d ’accélérer les calculs Liens d ’interaction Mailles Surface A Surface B

  7. Plan • Introduction • Problématique • Structuration • Modélisation • Regroupement de surfaces • Radiosité séquentielle • Conclusion et perspectives

  8. Problématique

  9. Problématique • 20 000 surfaces : • 200 000 mailles • 1 million de liens • 1 Go de mémoire • Comment faire avec plusieurs millions de surfaces ? • Calcul de radiosité • Visualisation (interactive)

  10. ProblématiqueSolutions • Découper l’environnement en plusieurs sous-parties appelées cellules • Précalculer les relations de visibilité entre ces cellules • Effectuer les calculs de radiosité seulement sur un sous-ensemble de cellules à la fois

  11. Problématiquesolution : architecture VISU géométrie Structuration SIM_SEQ Modeleur BDD RAD Cellules 3D Regroupement de surfaces SIM_PAR Clusters

  12. Plan • Introduction • Problématique • Structuration • Modélisation • Regroupement de surfaces • Radiosité séquentielle • Conclusion et perspectives

  13. Structuration • Objectif «diviser pour mieux régner» : • Découper l’environnement en plusieurs régions appelées «cellules» • 1 cellule = 1 pièce, 1 couloir, etc. • Calculer les relations de visibilité inter-cellules • Résultat : • 1 liste de cellules • 1 graphe de visibilité

  14. Structurationl’existant • Découpage binaire de l’espace BSP [Fuchs80]: • Utilisé par J.M. Airey en 1990 (environnements axiaux) • Repris par Teller en 1992 • Découpage binaire récursif de l’environnement • Chaque partie est découpée à l’aide d’un seul plan • Déterminé selon des heuristiques empiriques (polygone le plus occlusif, découpant le moins de surfaces possibles, etc..) • Résultats : • De trop nombreuses cellules • Ne respectant pas la topologie de l’environnement • Ne fonctionne que pour certains bâtiments : axiaux

  15. Structurationnotre approche • Déterminer des «plans de découpage» verticaux : • associés à plusieurs polygones verticaux quasi-alignés • à l’aide d ’un espace dual • Extraire des cellules : • selon une méthode basée modèle • base de règles • fonctionne pour tout type de bâtiment • Déterminer les ouvertures de chaque cellule : • situées sur les plans de découpage • Construire un graphe de visibilité

  16. Structurationplans de découpage • Espace dual q,r : • q représente l ’angle entre la normale du polygone et l ’axe Ox du repère de la scène • r correspond à la distance orthogonale entre le plan du polygone et l’origine du repère global de la scène Polygone vertical z Aire r y Normale q x r q

  17. Structurationplans de découpage • Classification : • Regrouper les points de l’espace dual proches les uns des autres <=> regrouper des polygones verticaux quasi-alignés • Méthode de classification de type BSP : • Découpage selon l’axe q • Puis selon l’axe r r P1 P2 P3 P2 P3 P4 P4 q P1

  18. Structurationplans de découpage • 1 plan de découpage associé à chaque groupe de polygones verticaux représentés dans l’espace dual • Déterminé par qs et rs : • rs tel que : le demi-espace défini par Ns.Ps + rs >= 0 contienne tous les polygones associés aux points appartenant au cluster

  19. Structurationplans de découpage

  20. StructurationBase de règles • Cellules rectangulaires contraintes • Cellules rectangulaires non contraintes • Couloirs avec deux murs parallèles • Pièces convexes quelconques : suivi de contours 1 3 4 2

  21. Structurationcréation des ouvertures • Ouvertures situées sur les plans de découpage Plan de découpage Chambranle (de porte)

  22. Structurationcréation du graphe de visibilité • Création d’un graphe d’adjacence • 1 nœud = 1 cellule • 1 arc = 1 ouverture commune • Création du graphe de visibilité • Parcours du graphe d’adjacence en profondeur • Échantillonnage des ouvertures • Calculs de visibilité à l’aide de lancé de rayon

  23. Structurationdécoupage semi-interactif • Sélection d’une zone 3D

  24. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction de la cellule 1

  25. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction de la cellule 2

  26. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction de la cellule 3

  27. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction de la cellule 4

  28. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction de la cellule 5

  29. Structurationdécoupage semi-interactif • Zone bleue = cellules extraites

  30. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction d’une cellule quelconque (suivi de contour)

  31. Structurationdécoupage semi-interactif • Extraction d’une cellule quelconque (suivi de contour)

  32. Structurationdécoupage semi-interactif • Après extraction de toutes les cellules Fenêtre de visualisation

  33. Plan • Introduction • Problématique • Structuration • Modélisation • Regroupement de surfaces • Radiosité séquentielle • Conclusion et perspectives

  34. Modélisation • Pourquoi structurer l’environnement après sa modélisation ? • Plus simple d’utiliser les connaissances de l’utilisateur pour effectuer une structuration efficace • Solution : • Outil interactif permettant de modéliser rapidement des environnements très complexes • Guider la structuration par une modélisation modulaire

  35. Modélisationmodule pièce

  36. Modélisationcréation d’ouverture Description d’une ouverture

  37. Modélisationmodule bâtiment

  38. Plan • Introduction • Problématique • Structuration • Modélisation • Regroupement de surfaces • Radiosité séquentielle • Conclusion et perspectives

  39. Regroupement de surfacesproblématique • A partir d’une cellule => de nombreuses surfaces sont visibles • Calculs de radiosité pour 1 seule cellule => taille mémoire importante

  40. Regroupement de surfacessolution • Comment affiner encore les relations de visibilité ? • Construire des groupes de surfaces proches les unes des autres : le «clustering» • Évaluer les relations de visibilité inter-«cluster»

  41. Regroupement de surfacestravaux existants • Subdivision spatiale : grilles 3D régulières, arbres BSP, arbres quaternaires, octrees, etc. • Techniques nécessitant la création d’une hiérarchie de volumes, approche descendante • Critères empiriques et peu intuitifs

  42. Regroupement de surfacesnotre approche • Pas de gestion de hiérarchie, méthode ascendante • Technique de classification de type k-means : les nuées dynamiques : • Barycentres mobiles • usuellement utilisée en 2D

  43. Regroupement de surfacesles nuées dynamiques en 3D • Nombre de groupes = nb_total / nb_moyen • nb_total = nombre total de polygones • nb_moyen = nombre moyen de polygones par groupe, fixé par l’utilisateur • Choix des barycentres : de manière aléatoire • parmi les sommets des polygones • Distance entre un barycentre et une surface = distance au barycentre du polygone • Barycentre d’un groupe de polygones = barycentre des barycentres

  44. Regroupement de surfacesapplication aux environnements complexes • Utilisation de la structuration de l’environnement • Regroupement effectué pour chaque cellule • accélération des calculs • réduction des données en mémoire

  45. Regroupement de surfacescalculs de visibilité • Boîte englobante associée à chaque cluster • Zone visible d’un cluster C à travers une ouverture • pyramide à l’intérieur d’une cellule • déterminée par l ’ouverture et la boîte englobante de C Cluster C Cellule Zone visible de C (pyramide) Ouverture

  46. Regroupement de surfacespropagation de la visibilité • Si une ouverture est contenue dans la pyramide, alors les objets situés de l ’autre côtés de l ’ouverture peuvent être visibles Cluster C Nouvelle pyramide

  47. Regroupement de surfacesinterface graphique • Visualisation des relations de visibilité

  48. Regroupement de surfacesinterface graphique • Visualisation des relations de visibilité

  49. Plan • Introduction • Problématique • Structuration • Modélisation • Regroupement de surfaces • Radiosité séquentielle • Conclusion et perspectives

  50. Radiosité séquentielletravaux antérieurs • Une seule approche : [Teller94] • Objectif : maintenir une bonne localité des données en mémoire • 4 heuristiques : • choix aléatoire du cluster (étalon) • choix du cluster = ordre de modélisation • source : choisir le cluster ayant servi comme émetteur le plus souvent • choix BSP : ordre obtenu par le découpage

More Related