1 / 20

1. L’importance de faire un plan

1. L’importance de faire un plan. À quoi sert ce plan? À qui s’adresse -t- il ? D De De quoi est-il constitué ?. L’importance de faire un plan (suite). sert à comprendre l’architecture d’un lieu, l’architecture d’un édifice, d’un texte, d’un moteur, etc .

suchi
Télécharger la présentation

1. L’importance de faire un plan

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. 1. L’importance de faire un plan À quoi sert ce plan? À qui s’adresse-t-il ? D De De quoi est-ilconstitué?

  2. L’importance de faire un plan (suite) • sert à comprendre l’architecture d’un lieu, l’architecture d’un édifice, d’un texte, d’un moteur, etc. • s’adresse à ceux qui veulent utiliser ou comprendre un système ou encore un ensemble de réseaux ou d’idées. • préciser l’emplacement des différentes sections et ce qu’elles contiennent.

  3. Élaborer le plan • Développement(80 %) • varie en fonction des objectifs du texte. • Peut comporter une, deux, trois ou quatre parties en fonction de l’ampleur du sujet à traiter. • Introduction (10 %) • sujet amené • sujet posé • sujet divisé • Conclusion (10 %) • Résumé • ouverture

  4. Développement - Choisir le bon plan • Plan syllogistique • Plan dialectique • Plan analytique • Plan comparatif • Plan explicatif

  5. Plan syllogistique • Le syllogisme est un raisonnement déductif qui relève de la logique ou de l’argumentation, souvent utilisé en publicité, mais parfois en sciences. • Démarche d’un syllogismeargumentatif : 1. On présente une affirmation (idées, hypothèse, principe, fait, etc.) 2. On prouve, illustre, explique cette affirmation par des preuves (arguments, exemples, citations, faits) 3. On déduit la véracité de l’affirmation de départ • Exemple : - Le monde aura besoin de voitures qui roulent sans pétrole. - Or, la voiture électrique comporte cette caractéristique. - Donc, la voiture électrique est la solution de l’avenir.

  6. Plan dialectique • Le plan dialectique s’utilise beaucoup lorsqu’il est question de réfuter une idée. Ce plan comporte trois sections principales : 1.Thèse = Oui 2. Antithèse = Non 3.Synthèse = Discussion  Exemple : - La voiture électrique est la solution. • La voiture électrique a des limites en termes de solutions. • On peut voir beaucoup d’aspects qui semblent appuyer la thèse de la voiture électrique comme solution de l’avenir. • Mais dans les faits, des problèmes importants freinent l’accessibilité et la praticabilitéde cette avenue.

  7. Plan analytique • Type de plan qui décompose un tout en parties constitutives. • Ce type de plan fonctionne habituellement en deux temps : 1. Analyse de la notion 2. Valeur de la notion • Exemple: • L’énergie éolienne : c’est quoi, comment ça marche, combien ça coûte, quels lieux sont propices à son implantation, etc. Ce que ça vaut : possibilités/limites, avantages/inconvénients, etc.

  8. Plan comparatif • Vise à dégager des ressemblances et des différences. • Il vise à étudier des rapports et non à faire une juxtaposition de deux notions. • Ce genre de modèle discursif comprend habituellement trois sections : • 1.L’étude des éléments identiques entre les deux notions. • 2.L’étude des élémentsdifférents. • 3.La prise de position en présentant des réflexions sur les similitudes et les oppositions, puis l’élargissement des perspectives dépassant ces notions.

  9. Plan comparatif (suite) • Autresmodèlespossibles : 1. Dévoilement objectif des deux termes de la comparaison 2. Relevé des ressemblances. 3. Relevé des différences. 1. Explication du premier terme de la comparaison 2. Explication du deuxième terme de la comparaison 3. Réflexion à partir de la confrontation des aspects évoqués dans les parties précédentes.

  10. Plan comparatif (exemples) • A) • 1.Éléments identiques entre l’assassinatd’Abraham Lincoln et John F. Kennedy. • 2.Éléments différents entre l’assassinat d’Abraham Lincoln et John F. Kennedy. • 3.Réflexion sur l’abondance de similitudes, leur nature, etc. • B) • 1.Comparaison entre l’empire romain et l’empire américain • 2.Ressemblances entre les deux empires. • 3.Différences entre les deux empires. • C) • 1.Énergie éolienne: description, coûts, faisabilité • 2.Énergie solaire: description, coût, faisabilité • 3.Réflexion sur le meilleur choix à faire.

  11. Plan explicatif • Utilise pour expliquer une pensée ou une formule. Habituellement, il faut procéder en deux parties : 1.Explication de la pensée ou de la formule à l’aide de deux ou trois éléments importants. Ces éléments constituent ensuite des sous parties qu’il faut séparer en paragraphes et identifier. 2.Commentaire de la pensée ou de la formule. Appréciation, jugement nuancé et élargissement du problème contenu dans la formule ou la pensée. Exemple : Le concept E=mc2 m c2 E = Commentaire : Cette formule aura été l’origine de beaucoup de • découvertes au cours du siècle dernier .

  12. Introduction et conclusion Accrocher et résumer • L’introduction a deux fonctions : accrocher l’attention du lecteur et annoncer les grandes lignes du sujet traité. • La conclusion rappelle les points saillants et prolonge la réflexion amorcée en soulevant, par exemple, de nouvelles questions. • Peuvent être rédigées après le développement si le plan a été consciencieusementélaboré.

  13. L’introduction • L’amorce, le sujet amené, pique la curiosité du lecteur et situe le contexte du propos. (2 phrases) • Le sujet posé dévoile l’hypothèse, circonscrit le problème, énonce le questionnement. • Le sujet divisé énumère les différentes parties qui seront abordées dans le développement selon leur ordre d’apparition dans le texte.

  14. La conclusion • Le résumé fait un bilan concis des aspects abordés dans le texte. • L’ouverture se base sur les conclusions du bilan pour rebondir dans une autre direction, susciter une nouvelle réflexion, mettre en perspective, prolonger l’analyse, etc.

  15. L’importance de faire des liens Qu’y a-t-il sur cette image ? À quoi celasert-il ? Y a-t-il des parallèles à faire avec un texte ? Source: http://www.hellopro.fr/bornes-metalliques-1001671-fr-4-feuille.html

  16. L’importance de faire des liens (suite) • poteau central qui est relié à un autre par une chaîne constituée de maillons. • Cela sert à unir deux poteaux ensemble de manière à construire un réseau, un ensemble structuré et cohérent. Si un maillon manque, la chaîne se brise. L’unité est perturbée et dysfonctionnelle. • Dans un texte, c’est pareil. Les marqueurs de relation et les organisateurs textuels permettent de relier les différentes aspects ou arguments au sujet principal. Si un marqueur de relation ou un organisateur textuel est fautif ou manquant, cela rompt la cohérence, l’unité.

  17. Les deux catégories de liens • Les organisateurs textuels révèlent l'organisation du texte. • Annoncent un nouveau passage, résument, marquent une transition, concluent... • Doivent se modeler au type de plan choisi pour le développement. • Les marqueurs de relation indiquent le lien entre les unités syntaxiques qu’ils relient. • Délimitent des passages du texte en unités cohérentes. • Placés en début de phrase, ils sont habituellement suivis d’une virgule.

  18. Les organisateurstextuels • Séquence énumérative : • Premièrement, deuxièmement, troisièmement • Tout d’abord, ensuite, finalement • En premier lieu, en deuxième lieu, en troisième lieu • Séquence comparative : • D’une part, d’autre part • D’un côté, de l’autre côté • Séquence dialectique : • D’abord, par contre, en somme

  19. Les marqueurs de relation • Addition d’idées : de plus, de même, d’abord, ensuite, par ailleurs, en outre, également, puis • Causalité: car, en effet, c’est-à-dire, parce que, puisque… • Conséquence: c’est pourquoi, par conséquent, aussi, en conséquence, d’où… • Hypothèse: si, au cas où, dans l’hypothèse où… • Opposition/restriction: mais, or, cependant, en revanche, en contrepartie, par contre, toutefois, bien que… • Synthèse/conclusion: Bref, en somme…

  20. Sources • Cajolet-Laganière, H., Colllinge, P. et Laganière, G. (1999). Rédaction technique, administrative et scientifique. Sherbrooke: Les Éditions Laganière. • Guilloton, N. et Cajolet-Laganière, H. (2005). Le français au bureau(6ème édition). Québec: Les Publications du Québec. • Simard, Jean-Paul (1998). Guide du savoir-écrire. Montréal : Les Éditions de l’homme. • •http://www.gring.ca Guide de rédaction pour l’ingénieur • •http://www.olf.gouv.qc.ca Office Québécois de la Langue Française • •http://www.ccdmd.qc.ca Centre Collégial de Développement de matériel didactique • Dominique Chartraine, ÉcolePolytechnique de Montréal, atelier palnet organisation

More Related