LE REPERAGE EN MER AUX 17EME ET 18EME SIECLE

1. LE REPERAGE EN MER AUX 17EME ET 18EME SIECLE

2. PLAN INTRODUCTION I. LE 17 EME : LE POINT SANS CHRONOMETRE FIABLE Principes : sphère céleste, latitude et longitude, Un exemple de méthode de mesure des longitudes en mer : les tables lunaires II. LE 18 EME : LE POINT GRACE A L’AMELIORATION DES INSTRUMENTS DE MESURES ANGULAIRES ET HORAIRES Angulaire : le sextant ou l’amélioration de l’Octant de marine ? Horaire : le chronomètre de marine de Harrison CONCLUSION

3. INTRODUCTION

5. CHRONOLOGIE DU 17EME SIECLE 1635 : Mesure directe de la longueur d'un arc de méridien 1657 : Huygens introduit le pendule comme régulateur des horloges 1668 : Cassini publie des tables des eclipses des satellites de Jupiter 1669-1670 : Mesure par Picard d'un arc de méridien (paris-amiens)? 1675 : Huygens utilise le ressort spiral comme régulateur des montres

6. LE 17EME SIECLE : LE POINT SANS CHRONOMETRE FIABLE Principes : représentation de la Sphère céleste latitude : exemple hauteur polaire ou solaire longitude : connaître précisément l’heure de Greenwich quand on est n’importe où en mer, ou être condamné à l’estime…

7. Coordonnées Célestes

8. Le point :

10. MESURES DES LONGITUDES PAR DES METHODES ASTRONOMIQUES mesure des heures solaires locales d’observation d’un phénomène astronomique en deux lieux et comparaison on peut utiliser les satellites de Jupiter,les eclipses de lunes,les transits de venus et les distances lunaires.

11. LES DISTANCES LUNAIRES PRINCIPE : On compare l’heure locale de passage de la lune à l’heure locale de Greenwich ELEMENTS NECESSAIRES : Moyen d’observer et de mesurer les distances angulaires avec précision Méthodes de calcul pour éliminer la parallaxe Autour de la Pleine Lune où on ne peut mesurer directement son angle avec le soleil. Tables journalières inutilisable 6 jours

12. CHRONOLOGIE DU 18EME SIECLE 1714 : Le parlement anglais promet une récompense considérable à qui trouverait une solution acceptable au problème de la détermination de la longitude en mer. 1731 : Création par Hadley de l'octant. 1735-1736 : Départs respectivement pour le Pérou et la Laponie des expéditions chargées de la mesure d'un arc de méridien. 1736 : Première « horloge marine à longitude » de John Harrison. 1767 : Essais en mer des chronomètres de Pierre Le Roy 1785 : Départ de l'expédition de La Pérouse dans le Pacifique.

13. L'OCTANT ET LE SEXTANT, UNE REVOLUTION POUR LE POINT EN MER Faire le point est une necessité commerciale. mesure de l'angle entre l'horizon et un astre. deviation de l'image de l'astre pour la faire coincider avec l'horizon. mesure indépendant du mouvement du bâteau.

14. observation au sextant principe du sextant : - La lunette est alignée avec le petit miroir, qui est fixé au bâti de l'instrument. - Le Grand Miroir est mobile, et s'incline avec l'alidade. - La hauteur de l'astre est lue sur le limbe. - Un tambour permet d'affiner la visée.

15. LE CHRONOMETRE DE MARINE DE HARRISON Pour une meilleure précision de l’heure afin de diminuer l’impact du dérèglement des horloges avec - les mouvement du sol : balanciers, - les changements de température et de pression : dilatation des matériaux, - La rouille. Il conçoit 2 horloges à balancier, puis, à partir de la 3ème élimine les « balanciers » (échappement à roue) Le « H4 » ne perd que 39 secondes en 56 jours : une bien meilleure précision que celle demandée.

16. CONCLUSION Methodes des distances lunaires peu fiable , mais longtemps utilisées car peu onéreuses. Mais Harrison a inventé des instruments de plus en plus précis Peu de ses innovations furent reprises par la suite Remplacés par des techniques encore plus efficaces Maintenant, le GPS a remplacé les chronomètres de marines