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Programme. UE3 semestre 1 : 42CM 11EDMthodes d'tude en lectrophysiologie jusqu' l'ECGLes basse frquences du spectre lectromagntiquetats de la matire et leur caractrisationLe domaine de l'optique Rayons X et gammaRayonnements particulairesUE3 semestre 2 : 27CM 6EDSon et ultraso
E N D
1. PACES
Enseignant:
M. Hitti
2. Programme UE3 semestre 1 : 42CM + 11ED
Méthodes d’étude en électrophysiologie jusqu’à l’ECG
Les basse fréquences du spectre électromagnétique
États de la matière et leur caractérisation
Le domaine de l’optique
Rayons X et gamma
Rayonnements particulaires
UE3 semestre 2 : 27CM + 6ED
Son et ultrason
Mécanique des fluides
Transports membranaires
4. Plan Rappels : Gaz parfait
Statiques des fluides
Tension superficielle
Dynamiques des fluides
3.1 Cas des fluides non visqueux
3.2 Cas des fluides visqueux
5. Rappels
7. Gaz parfait L’équation d’état :
P : pression en Pa
V: volume en m3
N: nombre de moles
R : constante des GP = 8,315 J.mol-1.K-1
T : température en °K Hypothèse :
Une molécule a un mvt rectiligne entre 2 colisions
Volume moléculaire négligeable
Force d’interaction négligeable
à température et pression ambiante, les gaz rares aussi bien que l'azote, l'oxygène et l'hydrogène se comportent presque comme des gaz parfaits
À faible pression tous les gaz se comporte comme un gaz parfait
la pression qu'un gaz exerce sur les parois du récipient est due à la collision des particules avec les parois.
Rappel 273,2 K = 0° C
Exemple :
Volume d’1 mole d’azote à la pression P=100 atm et T=300K
R=8.3 J.mol-1.K-1
Or 1J = N.m et 1 Pa= N.m-2 et V=m3
Donc R correspond à une pression 1 Pa d’une mole à la température de 1 K dans un volume 1m3
P=100 atm = 100 x 1,013 105 Pa = 1,013 107 Pa
V=8,3 x 300 / 1,013 107
V=2,458 10-4 m3Hypothèse :
Une molécule a un mvt rectiligne entre 2 colisions
Volume moléculaire négligeable
Force d’interaction négligeable
à température et pression ambiante, les gaz rares aussi bien que l'azote, l'oxygène et l'hydrogène se comportent presque comme des gaz parfaits
À faible pression tous les gaz se comporte comme un gaz parfait
la pression qu'un gaz exerce sur les parois du récipient est due à la collision des particules avec les parois.
Rappel 273,2 K = 0° C
Exemple :
Volume d’1 mole d’azote à la pression P=100 atm et T=300K
R=8.3 J.mol-1.K-1
Or 1J = N.m et 1 Pa= N.m-2 et V=m3
Donc R correspond à une pression 1 Pa d’une mole à la température de 1 K dans un volume 1m3
P=100 atm = 100 x 1,013 105 Pa = 1,013 107 Pa
V=8,3 x 300 / 1,013 107
V=2,458 10-4 m3
8. Mélange de G.P. Pression partielle :
Pression totale : La pression partielle d’un constituant, dans un mélange de GP, représente la pression fictive qu’il aurait s’il occupait seul tout le volume de mélange
Volume partielle du constituant i qu’il occuperait à la pression totale P du mélange: P.Vi=ni.R.T
Exemple : L'air est constitué de 78 % de N2, 21 % d'O2, 1 % d'Ar, 0,03 % de CO2 (% volumique = % molaire). Si la pression totale de l'air est de 1 bar, les pressions partielles sont donc : P(N2) = 0,78 bar, P(O2) = 0,21 bar, P(Ar) = 0,01 bar, P(CO2) = 0,0003 bar.La pression partielle d’un constituant, dans un mélange de GP, représente la pression fictive qu’il aurait s’il occupait seul tout le volume de mélange
Volume partielle du constituant i qu’il occuperait à la pression totale P du mélange: P.Vi=ni.R.T
Exemple : L'air est constitué de 78 % de N2, 21 % d'O2, 1 % d'Ar, 0,03 % de CO2 (% volumique = % molaire). Si la pression totale de l'air est de 1 bar, les pressions partielles sont donc : P(N2) = 0,78 bar, P(O2) = 0,21 bar, P(Ar) = 0,01 bar, P(CO2) = 0,0003 bar.
9. Gaz réels Équation de Van Der Waals
a/V2 tient compte des forces d’interaction (pression interne)
b (covolume) volume moléculaire non négligeable seul V-nb est disponible Applicable aux liquides
Applicable aux liquides
10. Exemple suite
a = 1,37 dm6.atm.mol-2
a = 1.37 x 10-6 m6 x1.013 105 Pa mol-2
a = 0,138781 m6 Pa mol-2
b = 3,9 10-2 dm3 mol-1 = 3,9 10-2 x 10-3 m3 mol-1
b = 3,9 10-5 m3 mol-1
P = RT/(V-b) - a/V2
P = 8,3 x 300 / (2,458 – 3,9.10-5) - 0,139/(2.458.10-4)2
P = 97,4 105 Pa = 96,15 atmExemple suite
a = 1,37 dm6.atm.mol-2
a = 1.37 x 10-6 m6 x1.013 105 Pa mol-2
a = 0,138781 m6 Pa mol-2
b = 3,9 10-2 dm3 mol-1 = 3,9 10-2 x 10-3 m3 mol-1
b = 3,9 10-5 m3 mol-1
P = RT/(V-b) - a/V2
P = 8,3 x 300 / (2,458 – 3,9.10-5) - 0,139/(2.458.10-4)2
P = 97,4 105 Pa = 96,15 atm
11. 1- Statique des fluides Mise en évidence expérimentale
Soit une chambre
dans laquelle on fait le vide
avec une paroi déformable
La pression se manifeste par une déformation de la paroi
12. Équations barométriques La force exercée par une colonne d’air sur une surface est égal au poids de l’air situé au-dessus. (on considère g constant)
Si on monte F diminue, dh>0 et dF<0
Cette équation est générale et fournit la valeur de la pression dans un fluide quelconque au reposLa force exercée par une colonne d’air sur une surface est égal au poids de l’air situé au-dessus. (on considère g constant)
Si on monte F diminue, dh>0 et dF<0
Cette équation est générale et fournit la valeur de la pression dans un fluide quelconque au repos
13. Fluide incompressible Cas des liquides incompressibles,
r ne varie pas avec la pression On ne tient pas compte des forces d’interactions moléculaire.
La pression garde la même valeur en tous les points d’un plan horizontale (isobare) et elle augmente avec la profondeur
Exemple :
Si g = 10m/s, et p = 1000 kg/m3 DH=10m
Alors DP = 105 Pa =1 atm
Dans l’océan la pression est de 300 atm à 3000m de profondeur (à cette pression la masse volumique est 1,5% supérieur à la normale)
La pression artérielle
Mesure la surpression par rapport à la pression atmosphérique.
Sur patient allongé ou au niveau du cœur.
Pression maxi ou systolique d’un adulte 130mm Hg
Pression mini ou diastolique 80mm HgOn ne tient pas compte des forces d’interactions moléculaire.
La pression garde la même valeur en tous les points d’un plan horizontale (isobare) et elle augmente avec la profondeur
Exemple :
Si g = 10m/s, et p = 1000 kg/m3 DH=10m
Alors DP = 105 Pa =1 atm
Dans l’océan la pression est de 300 atm à 3000m de profondeur (à cette pression la masse volumique est 1,5% supérieur à la normale)
La pression artérielle
Mesure la surpression par rapport à la pression atmosphérique.
Sur patient allongé ou au niveau du cœur.
Pression maxi ou systolique d’un adulte 130mm Hg
Pression mini ou diastolique 80mm Hg
14. Unité de pression
15. Fluide compressible
16. Expérience de Toricelli On remplit un tube de verre de mercure que l’on retourne dans un cuve de mercure, le mercure descend et se stabilise à une hauteur h.
La pression au dessus de la colonne de mercure est négligeable (peu de vapeur de mercure).
La pression du à la colonne de mercure en A s’équilibre avec la pression atmosphérique en B puisque ces 2 point sont à la même altitude.
La même expérience avec de l’eau donne une hauteur de 10,33 m.
En réalité la vapeur d’eau n’est pas négligeable => 10,1 mOn remplit un tube de verre de mercure que l’on retourne dans un cuve de mercure, le mercure descend et se stabilise à une hauteur h.
La pression au dessus de la colonne de mercure est négligeable (peu de vapeur de mercure).
La pression du à la colonne de mercure en A s’équilibre avec la pression atmosphérique en B puisque ces 2 point sont à la même altitude.
La même expérience avec de l’eau donne une hauteur de 10,33 m.
En réalité la vapeur d’eau n’est pas négligeable => 10,1 m
18. Calcul de masse volumique Soit deux liquides non miscible
Masse volumique mercure = 13,6 g.cm-3
A et A’ à l’air libre donc même pression (on néglige la différence de pression du à la différence de hauteur)
PA = PA’
B et B’ étant au même niveau dans un même liquide PB=PB’
PB’ – PA’ = 13,6 x g x h = PB – PA =mv x g x H
mv = 1,70 g.cm-3
Soit deux liquides non miscible
Masse volumique mercure = 13,6 g.cm-3
A et A’ à l’air libre donc même pression (on néglige la différence de pression du à la différence de hauteur)
PA = PA’
B et B’ étant au même niveau dans un même liquide PB=PB’
PB’ – PA’ = 13,6 x g x h = PB – PA =mv x g x H
mv = 1,70 g.cm-3
19. Archimède La résultante des forces de pression s’oppose au poids du volume d’eau. Si on remplace le volume d’eau par l’objet la pression reste la même. D’ou une force P = mg m masse du volume d’eau qu’occupe l’objet immergé.La résultante des forces de pression s’oppose au poids du volume d’eau. Si on remplace le volume d’eau par l’objet la pression reste la même. D’ou une force P = mg m masse du volume d’eau qu’occupe l’objet immergé.
20. L’orfèvre indélicat Supposons que la couronne fraudulée pèse 1000 g et que le récipient ait 20 cm de diamètre, la section a une surface de 314 cm2. L'or a une densité de 19,3 g/cm3 et 1000 g d'or devrait avoir un volume de 1000/19,3=51,8 cm3 qui élèveraient la surface de l'eau de 51,8/314=0,163 cm
Si l' on suppose que l'orfèvre malhonnête a remplacé 30 % de l'or par de l'argent d'une densité de 10,6g/cm3 la couronne d'alliage aurait un volume de 700/19,3 + 300/10,6=64,6 cm3 . Une couronne de cette dimension devrait élever le niveau de l'eau de 64,6/314=0,206 cm. La différence de niveau d'eau déplacée serait donc de 0,206-0,165=0,041 cm
Supposons que la couronne fraudulée pèse 1000 g et que le récipient ait 20 cm de diamètre, la section a une surface de 314 cm2. L'or a une densité de 19,3 g/cm3 et 1000 g d'or devrait avoir un volume de 1000/19,3=51,8 cm3 qui élèveraient la surface de l'eau de 51,8/314=0,163 cm
Si l' on suppose que l'orfèvre malhonnête a remplacé 30 % de l'or par de l'argent d'une densité de 10,6g/cm3 la couronne d'alliage aurait un volume de 700/19,3 + 300/10,6=64,6 cm3 . Une couronne de cette dimension devrait élever le niveau de l'eau de 64,6/314=0,206 cm. La différence de niveau d'eau déplacée serait donc de 0,206-0,165=0,041 cm
21. L’orfèvre indélicat
22. L’orfèvre indélicat
24. 2- Tension superficielle
25. Mise en évidence expérimentale On appelle tension superficielle la force par unité de longueur que la surface d’un liquide exerce sur sa frontière. Cette force est situé dans le plan de la surface du liquide et normale en chaque point à la frontière.
N.m-1
Cette force dépend du liquide et du gaz
Le liquide cherche à minimiser sa surface
Si l’on perce la boucle, celle ci prend une forme circulaire sous l’action des forces réparties uniformément le long de la circonférence : ce sont les forces de tension superficielles.
Avant de percer les forces s’exerçaient de part et d’autre du fil et se compensaient On appelle tension superficielle la force par unité de longueur que la surface d’un liquide exerce sur sa frontière. Cette force est situé dans le plan de la surface du liquide et normale en chaque point à la frontière.
N.m-1
Cette force dépend du liquide et du gaz
Le liquide cherche à minimiser sa surface
Si l’on perce la boucle, celle ci prend une forme circulaire sous l’action des forces réparties uniformément le long de la circonférence : ce sont les forces de tension superficielles.
Avant de percer les forces s’exerçaient de part et d’autre du fil et se compensaient
27. Phénomènes de surface Propriétés particulière du liquide avec sa surface en contact avec une autre phase :
Liquide – liquide : tension interfaciale(émulsions)
Liquide – solide : mouillement(capillarité - phénomène de flottation)
Liquide – gaz : tension superficielle
=>Contradiction des lois de la pesanteur Un liquide à sa surface des propriétés différentes de celles qu’il a dans son volume
Une émulsion : en secouant violemment ensemble 2 liquides non miscibles l’un dans l’autre. On multiplie les interfaces entre les liquides. L’un est dispersant (continu) l’autre est dispersé en (gouttelette). L’émulsion n’est pas stable (vinaigrette). Si l’un des 2 liquides contient un corps capable d’abaisser la tension interfaciale, émulsion plus facile. Ces corps possèdent un pole attiré par l’un des liquide et un pole par l’autre = émulsifiant (savon, protéines , sels biliaires , …) Pour huile eau on utilise un acide gras.
Le lait est une émulsion de graisse dans de l’eau stabilisé par de la caséine. Le beurre est une émulsion inverse, d’eau dans de la graisse. Les pommades en pharmacie sont des émulsions d’eau dans des matières grasseUn liquide à sa surface des propriétés différentes de celles qu’il a dans son volume
Une émulsion : en secouant violemment ensemble 2 liquides non miscibles l’un dans l’autre. On multiplie les interfaces entre les liquides. L’un est dispersant (continu) l’autre est dispersé en (gouttelette). L’émulsion n’est pas stable (vinaigrette). Si l’un des 2 liquides contient un corps capable d’abaisser la tension interfaciale, émulsion plus facile. Ces corps possèdent un pole attiré par l’un des liquide et un pole par l’autre = émulsifiant (savon, protéines , sels biliaires , …) Pour huile eau on utilise un acide gras.
Le lait est une émulsion de graisse dans de l’eau stabilisé par de la caséine. Le beurre est une émulsion inverse, d’eau dans de la graisse. Les pommades en pharmacie sont des émulsions d’eau dans des matières grasse
28. Interprétation moléculaire On obtient une pellicule tendue :
Les molécules liquides polarisées dans une masse liquide s'arrangent de sorte que les forces de cohésion entre les molécules sont réparties entre les molécules voisines donnant une résultante nulle. Cette situation est naturellement la situation énergétique la plus favorable.
A la surface, toutefois, l'arrangement ci-dessus fait défaut et la résultante des forces n'est pas nulle. Cette force divisée par la longueur de la surface liquide est appelée tension superficielle. Dans la nature, l'eau est le liquide (à l'exclusion du mercure) qui possède la tension superficielle la plus élevée. Sous température ambiante, la tension superficielle de l'eau est 72,8 mN/m.
Si on ajoute un composant actif de surface (agent de surface, détergent, huile) au liquide, ils tendent vers une partition et entraînent une diminution de la tension superficielle (ou une augmentation de la pression superficielle).
Tension superficielle diminue lorsque la température augmente.
On obtient une pellicule tendue :
Les molécules liquides polarisées dans une masse liquide s'arrangent de sorte que les forces de cohésion entre les molécules sont réparties entre les molécules voisines donnant une résultante nulle. Cette situation est naturellement la situation énergétique la plus favorable.
A la surface, toutefois, l'arrangement ci-dessus fait défaut et la résultante des forces n'est pas nulle. Cette force divisée par la longueur de la surface liquide est appelée tension superficielle. Dans la nature, l'eau est le liquide (à l'exclusion du mercure) qui possède la tension superficielle la plus élevée. Sous température ambiante, la tension superficielle de l'eau est 72,8 mN/m.
Si on ajoute un composant actif de surface (agent de surface, détergent, huile) au liquide, ils tendent vers une partition et entraînent une diminution de la tension superficielle (ou une augmentation de la pression superficielle).
Tension superficielle diminue lorsque la température augmente.
29. Tension interfaciale
30. Le phénomène de mouillage Les phénomènes de surface permettent aussi d’expliquer pourquoi l’eau aura tendance à s’étaler sur une surface en verre alors que le mercure reste sous forme d’une goutte.
Chacune des surface tire sur ses bords sur la ligne de contact commune
Une bactérie doit pouvoir s’accrocher
Tension interfaciale gamma SLLes phénomènes de surface permettent aussi d’expliquer pourquoi l’eau aura tendance à s’étaler sur une surface en verre alors que le mercure reste sous forme d’une goutte.
Chacune des surface tire sur ses bords sur la ligne de contact commune
Une bactérie doit pouvoir s’accrocher
Tension interfaciale gamma SL
31. Ligne et angle de raccordement Cette situation fait intervenir trois phases : liquide, solide, gaz (air).
Mouillage total lorsque les forces d’adhésion l’emporte sur les forces de cohésion. Cette situation fait intervenir trois phases : liquide, solide, gaz (air).
Mouillage total lorsque les forces d’adhésion l’emporte sur les forces de cohésion.
32. Valeur de q
33. Mesure de la tension superficielle Tension superficielle est une force par unité de surface : Nm-1
Elle apparaît comme une force de cohésion tangente à la surface, appliquée sur une unité de longueur et nécessaire pour maintenir l’intégrité de la couche superficielle.
2l car 2 face de la lame en contact avec le liquide
Eau = 72,8 10-3 N/m
Mercure = 480 10-3 N/m
1 dyn = 10-5 N (dyne) donc 1 dyn/cm = 10-3 N/m Tension superficielle est une force par unité de surface : Nm-1
Elle apparaît comme une force de cohésion tangente à la surface, appliquée sur une unité de longueur et nécessaire pour maintenir l’intégrité de la couche superficielle.
2l car 2 face de la lame en contact avec le liquide
Eau = 72,8 10-3 N/m
Mercure = 480 10-3 N/m
1 dyn = 10-5 N (dyne) donc 1 dyn/cm = 10-3 N/m
34. Mesure de la tension superficielle Tension superficielle est une force par unité de surface : Nm-1
Elle apparaît comme une force de cohésion tangente à la surface, appliquée sur une unité de longueur et nécessaire pour maintenir l’intégrité de la couche superficielle.
2l car 2 face de la lame en contact avec le liquide
Eau = 72,8 10-3 N/m
Mercure = 480 10-3 N/m
1 dyn = 10-5 N (dyne) donc 1 dyn/cm = 10-3 N/m Tension superficielle est une force par unité de surface : Nm-1
Elle apparaît comme une force de cohésion tangente à la surface, appliquée sur une unité de longueur et nécessaire pour maintenir l’intégrité de la couche superficielle.
2l car 2 face de la lame en contact avec le liquide
Eau = 72,8 10-3 N/m
Mercure = 480 10-3 N/m
1 dyn = 10-5 N (dyne) donc 1 dyn/cm = 10-3 N/m
35. Mesure de la tension superficielle Tension superficielle est une force par unité de surface : Nm-1
Elle apparaît comme une force de cohésion tangente à la surface, appliquée sur une unité de longueur et nécessaire pour maintenir l’intégrité de la couche superficielle.
2l car 2 face de la lame en contact avec le liquide
Eau = 72,8 10-3 N/m
Mercure = 480 10-3 N/m
1 dyn = 10-5 N (dyne) donc 1 dyn/cm = 10-3 N/m Tension superficielle est une force par unité de surface : Nm-1
Elle apparaît comme une force de cohésion tangente à la surface, appliquée sur une unité de longueur et nécessaire pour maintenir l’intégrité de la couche superficielle.
2l car 2 face de la lame en contact avec le liquide
Eau = 72,8 10-3 N/m
Mercure = 480 10-3 N/m
1 dyn = 10-5 N (dyne) donc 1 dyn/cm = 10-3 N/m
36. P poids de la platine
P’ poussée d’Archimède (négligeable)
mg poids du ménisque
Le travail fourni sert :
À travailler contre la pesanteur, en soulevant la lame, mais non le ménisque, qui n’a pas bougé
À démouiller la lame sur une surface 2ldx
Théta = 0 car on flambe la platine qui ainsi dégraissée devient parfaitement mouillable.
Comme on réalise un étalonnage (tarage) avant plongé, F’ ne mesure que l’action de la tension superficielle.P poids de la platine
P’ poussée d’Archimède (négligeable)
mg poids du ménisque
Le travail fourni sert :
À travailler contre la pesanteur, en soulevant la lame, mais non le ménisque, qui n’a pas bougé
À démouiller la lame sur une surface 2ldx
Théta = 0 car on flambe la platine qui ainsi dégraissée devient parfaitement mouillable.
Comme on réalise un étalonnage (tarage) avant plongé, F’ ne mesure que l’action de la tension superficielle.
37. P poids de la platine
P’ poussée d’Archimède (négligeable)
mg poids du ménisque
Le travail fourni sert :
À travailler contre la pesanteur, en soulevant la lame, mais non le ménisque, qui n’a pas bougé
À démouiller la lame sur une surface 2ldx
Théta = 0 car on flambe la platine qui ainsi dégraissée devient parfaitement mouillable.
Comme on réalise un étalonnage (tarage) avant plongé, F’ ne mesure que l’action de la tension superficielle.P poids de la platine
P’ poussée d’Archimède (négligeable)
mg poids du ménisque
Le travail fourni sert :
À travailler contre la pesanteur, en soulevant la lame, mais non le ménisque, qui n’a pas bougé
À démouiller la lame sur une surface 2ldx
Théta = 0 car on flambe la platine qui ainsi dégraissée devient parfaitement mouillable.
Comme on réalise un étalonnage (tarage) avant plongé, F’ ne mesure que l’action de la tension superficielle.
38. Stalagmométrie Le volume de la goutte dépend du rayon EXTERIEUR
Utilisation de compte goutte (grosse ou petite goutte)
Mesure relative de tension superficielle
Deux solutions, même volume dans le compte goutte
On compte le nombre de goutte n1 et n2
gamma2/gamma1=n1Ro2/n2Ro1Le volume de la goutte dépend du rayon EXTERIEUR
Utilisation de compte goutte (grosse ou petite goutte)
Mesure relative de tension superficielle
Deux solutions, même volume dans le compte goutte
On compte le nombre de goutte n1 et n2
gamma2/gamma1=n1Ro2/n2Ro1
39. Phénomène de flottation Flottaison :
Une particule, même plus dense que l’eau peut être maintenu à la surface si elle est non mouillable
En industrie on peut séparer le minerai et sa gangue finement pulvérisés et plongés dans l’eau. Si on fait monter des bulles d’air le minerai non mouillable va se concentré à la surface, on augmente le rendement en ajoutant un produit qui rend le minerai encore plus non mouillable
Comment rendre une bactérie non mouillable qui ne peut donc pas s’accrocher donc qui ne peut pas se multiplier.
Flottaison :
Une particule, même plus dense que l’eau peut être maintenu à la surface si elle est non mouillable
En industrie on peut séparer le minerai et sa gangue finement pulvérisés et plongés dans l’eau. Si on fait monter des bulles d’air le minerai non mouillable va se concentré à la surface, on augmente le rendement en ajoutant un produit qui rend le minerai encore plus non mouillable
Comment rendre une bactérie non mouillable qui ne peut donc pas s’accrocher donc qui ne peut pas se multiplier.
40. Capillarité Remarque :
Plus la section du tube est petite plus la montée (ou descente) es importanteRemarque :
Plus la section du tube est petite plus la montée (ou descente) es importante
41. Loi de Jurin Supposons que le ménisque soit formé dans un tube de rayon r et qu’il ait la forme d’une calotte sphérique de rayon R. (en réalité elle est parabolique)
P poids de la colonne de liquide (volume d’un cylindre)
Tension superficielle périmètre de contact liquide-eau-solide (zone de raccordement : cercle) = 2.p.r
Pour de l’eau si le verre est très propre théta = 0 donc la hauteur permet de donne la tension superficielle.
Application imperméabilisation de vêtements.
Autre cas : 2 lames // de longueur l séparées d’une distance e:
P = e.h.l.p.g
Fz=2.l.cos q g
Supposons que le ménisque soit formé dans un tube de rayon r et qu’il ait la forme d’une calotte sphérique de rayon R. (en réalité elle est parabolique)
P poids de la colonne de liquide (volume d’un cylindre)
Tension superficielle périmètre de contact liquide-eau-solide (zone de raccordement : cercle) = 2.p.r
Pour de l’eau si le verre est très propre théta = 0 donc la hauteur permet de donne la tension superficielle.
Application imperméabilisation de vêtements.
Autre cas : 2 lames // de longueur l séparées d’une distance e:
P = e.h.l.p.g
Fz=2.l.cos q g
43. Surpression de Laplace La pression à l’intérieure d’une goutte est supérieure à la pression extérieur, cette surpression est prop à la tension superficielle : suppression de Laplace.
Plus la goutte est petite plus la surpression est importante.
Dans le cas d’une bulle de savon, la lame liquide est limité par deux interfaces
P1-Pe=2gamma/R et Pi – P1 =2gamme/R =>
AN : gamma = 2,5.10-2 J.m-2 (eau savonneuse) et R = 5 cm => Pi-Pe = 2 Pa
Application loi de jurinLa pression à l’intérieure d’une goutte est supérieure à la pression extérieur, cette surpression est prop à la tension superficielle : suppression de Laplace.
Plus la goutte est petite plus la surpression est importante.
Dans le cas d’une bulle de savon, la lame liquide est limité par deux interfaces
P1-Pe=2gamma/R et Pi – P1 =2gamme/R =>
AN : gamma = 2,5.10-2 J.m-2 (eau savonneuse) et R = 5 cm => Pi-Pe = 2 Pa
Application loi de jurin
44. 3 - Dynamiques des fluides
50. Car il y a autant de molécules en 1 ou en 2 = conservation de masse du fluide
S diminue alors v augmente (v étant la vitesse moyenne)
Pour un flot de voiture ça ne marche pas si S diminue la vitesse diminue = bouchon
Car le fluide de voiture n’est pas incompressible. Dans un bouchon la densité de voitures augmente.Car il y a autant de molécules en 1 ou en 2 = conservation de masse du fluide
S diminue alors v augmente (v étant la vitesse moyenne)
Pour un flot de voiture ça ne marche pas si S diminue la vitesse diminue = bouchon
Car le fluide de voiture n’est pas incompressible. Dans un bouchon la densité de voitures augmente.
52. 3-1 Cas des fluides non visqueux Viscosité = frottements internes des fluides
Écoulement laminaire
Régime permanent
Lignes (LC) et tube de courant (TC)
Débit
Écoulement laminaire = écoulement régulier les lignes de courant ne se coupent pas.
Écoulement turbulent trajectoire des molécules dans tous les sens
Analogie fumée de cigarette.
Régime permanent = la vitesse du fluide en 1 point fixe ne change pas au cours du temps.
Les grandeurs masse volumique (r ), pression ( p ), et vitesse ( v) sont INDEPENDANTES DU TEMPS, on parle
alors d’ECOULEMENT STATIONNAIRE ou PERMANENT
En écoulement laminaire les molécules suivent des courbes simples = lignes de courant
Le débit en volume Q : volume de fluide traversant par unité de temps une section droite S d’un tube de courant.
Soit v la vitesse des molécules
Le volume traversant la section S pendant dt est : dV = vdtS (volume d’un cylindre)
Q = dV/dt = vSÉcoulement laminaire = écoulement régulier les lignes de courant ne se coupent pas.
Écoulement turbulent trajectoire des molécules dans tous les sens
Analogie fumée de cigarette.
Régime permanent = la vitesse du fluide en 1 point fixe ne change pas au cours du temps.
Les grandeurs masse volumique (r ), pression ( p ), et vitesse ( v) sont INDEPENDANTES DU TEMPS, on parle
alors d’ECOULEMENT STATIONNAIRE ou PERMANENT
En écoulement laminaire les molécules suivent des courbes simples = lignes de courant
Le débit en volume Q : volume de fluide traversant par unité de temps une section droite S d’un tube de courant.
Soit v la vitesse des molécules
Le volume traversant la section S pendant dt est : dV = vdtS (volume d’un cylindre)
Q = dV/dt = vS
53. Équation de Bernoulli Théorème de l’énergie cinétique : La variation de l’énergie cinétique d’un point M se déplaçant entre deux point A et B sous l’action d’une force F, est égale au travail développé par la force F le long du chemin suivi par M pour aller de A vers B.
Travail des forces = variation d’énergie cinétique
Les forces de pression dirigée vers l’intérieur du tube de courant
Le travail est donc nul le long de la paroi latérale. En A et B elles sont perpendiculaires à la section et dirigées vers l’intérieur du tube de courant
Wp = PA.SA.vA.dt – PB.SB.vB.dt
Calcul du travail des force de pesanteur
Wg = - Ep = Ep(AB) – Ep(A’B’) = [Ep(AA’) + Ep(A’B)] – [Ep(A’B) + Ep(BB’)]
= Ep(AA’) + Ep(BB’) = pSA.vA.dt.g.ZA - pSB.vB.dt.g.ZB
Variation de l’énergie cinétique
Énergie cinétique de la portion A’B’ : Ec(A’B’) = Ec(A’B) + Ec(BB’)
De Même pour la portion AB : Ec(AB) = Ec(AA’) + Ec(A’B)
D’ou La variation Ec(A’B’) – Ec(AB) = Ec(BB’) – Ec(AA’) = 0.5 p.SB.vB.dt vB2 - 0.5 p.SA.vA.dt vA2
Conservation des débit : SA.vA = SB.vB
On retrouve la loi statique si v=0 : P + pgz = cte donc dP = - pgdz
1 poiseuille = 1 Pa.s = 10 poiseThéorème de l’énergie cinétique : La variation de l’énergie cinétique d’un point M se déplaçant entre deux point A et B sous l’action d’une force F, est égale au travail développé par la force F le long du chemin suivi par M pour aller de A vers B.
Travail des forces = variation d’énergie cinétique
Les forces de pression dirigée vers l’intérieur du tube de courant
Le travail est donc nul le long de la paroi latérale. En A et B elles sont perpendiculaires à la section et dirigées vers l’intérieur du tube de courant
Wp = PA.SA.vA.dt – PB.SB.vB.dt
Calcul du travail des force de pesanteur
Wg = - Ep = Ep(AB) – Ep(A’B’) = [Ep(AA’) + Ep(A’B)] – [Ep(A’B) + Ep(BB’)]
= Ep(AA’) + Ep(BB’) = pSA.vA.dt.g.ZA - pSB.vB.dt.g.ZB
Variation de l’énergie cinétique
Énergie cinétique de la portion A’B’ : Ec(A’B’) = Ec(A’B) + Ec(BB’)
De Même pour la portion AB : Ec(AB) = Ec(AA’) + Ec(A’B)
D’ou La variation Ec(A’B’) – Ec(AB) = Ec(BB’) – Ec(AA’) = 0.5 p.SB.vB.dt vB2 - 0.5 p.SA.vA.dt vA2
Conservation des débit : SA.vA = SB.vB
On retrouve la loi statique si v=0 : P + pgz = cte donc dP = - pgdz
1 poiseuille = 1 Pa.s = 10 poise
57. Exemple d’application Équation de Bernoulli le long d’un ligne de courant de A vers B
PA + 0.5.p.vA2 + pgzA = PB + 0.5.p.vB2 + pgzB
Or PA = PB = Po
De plus conservation du débit : SA.vA= SB.vB
La vitesse est la même que celle d’un corps qui tombe en chute libre de h
La vitesse ne dépend pas de la masse volumiqueÉquation de Bernoulli le long d’un ligne de courant de A vers B
PA + 0.5.p.vA2 + pgzA = PB + 0.5.p.vB2 + pgzB
Or PA = PB = Po
De plus conservation du débit : SA.vA= SB.vB
La vitesse est la même que celle d’un corps qui tombe en chute libre de h
La vitesse ne dépend pas de la masse volumique
58. Effet Venturi zA = zB
Équation de Bernoulli
PA + r.0,5vA2 = PB + r.0,5vB2 (1)
Débit constant Q=Sv
SA.vA=SB.vB (2)
et (2) donne PA – PB = …
Différence de pression en fonction de la différence de hauteur
Po - PA = - r.g.z1
Po – PB = - r.g.z2
=> PB – PA= - r.g.(z1-z2)
Si la pression devient inférieur à la pression de vapeur saturante à la température donnée, le liquide peut bouillir : c’est le phénomène de cavitation. (au voisinage des pales d’hélices de navire, où les vitesse engendré par la rotation entraîne des fortes diminutions de pression)
zA = zB
Équation de Bernoulli
PA + r.0,5vA2 = PB + r.0,5vB2 (1)
Débit constant Q=Sv
SA.vA=SB.vB (2)
et (2) donne PA – PB = …
Différence de pression en fonction de la différence de hauteur
Po - PA = - r.g.z1
Po – PB = - r.g.z2
=> PB – PA= - r.g.(z1-z2)
Si la pression devient inférieur à la pression de vapeur saturante à la température donnée, le liquide peut bouillir : c’est le phénomène de cavitation. (au voisinage des pales d’hélices de navire, où les vitesse engendré par la rotation entraîne des fortes diminutions de pression)
59. Tube de Pitot zA = zB et vA=0
Équation de Bernoulli
PA=PB +0.5rvB2
En évaluant les pressions hydrostatique
PA - P1 = - rg(hA-h1) (1)
PB - P2 = - rg(hB-h2) (2)
P2 - P1 = - r0g(h2-h1) = r0gh (3)
(2)+(3) => PB - P1 = - g( r0h + r(hB-h2) ) (4)
Or hB=hA
Donc (1) - (4) => PA - PB = g( r0h + r( hB-h2 ) ) - rg( hA - h1 ) avec h1-h2=-h
=> PA - PB = ( r0-r )gh avec Bernoulli donne l’équation finale
zA = zB et vA=0
Équation de Bernoulli
PA=PB +0.5rvB2
En évaluant les pressions hydrostatique
PA - P1 = - rg(hA-h1) (1)
PB - P2 = - rg(hB-h2) (2)
P2 - P1 = - r0g(h2-h1) = r0gh (3)
(2)+(3) => PB - P1 = - g( r0h + r(hB-h2) ) (4)
Or hB=hA
Donc (1) - (4) => PA - PB = g( r0h + r( hB-h2 ) ) - rg( hA - h1 ) avec h1-h2=-h
=> PA - PB = ( r0-r )gh avec Bernoulli donne l’équation finale
60. 3.2 Cas des fluides visqueux La viscosité est la conséquence de l’existence des forces d’interaction moléculaire à l’intérieur d’un liquide.
A l’intérieur d’un liquide au repos(ou parfait), il se manifeste uniquement des forces pressantes. Dans un liquide réel s’écoulant à faible vitesse il apparaît des forces tangentielles // au déplacement entre 2 couches contiguës , elle ont pour effet :
De ralentir une couche déjà en mouvement
De mettre en mvt des couches contiguës primitivement immobiles
La couche supérieure entraîne les couches inférieures.
On obtient un gradient de vitesse dv/dx =vo/l sur la plaque S’
Coefficient de viscosité dynamique : Pa.s : Poiseuille
Air = 1,8 10-5 Pa.s Eau = 10-3 Pa.s mercure = 1,510-3 Pa.s glycérine = 0,8 Pa.s
Coef de viscosité cinématique : on divise par la masse volumique.
La viscosité diminue quand la température augmente.
Si on tire la plaque S la plaque S’ subit une force F’
Prop à la surface de la plaque S
Prop à la vitesse de la plaque S
Inv à la distance à cette plaque
Pa.s viscosité dynamique :qui exige 1N pour déplacer à la vitesse de 1m/s deux feuillets de 1m2 distants de 1m
Fluide newtoniens F prop au gradient de vitesse.
La viscosité est la conséquence de l’existence des forces d’interaction moléculaire à l’intérieur d’un liquide.
A l’intérieur d’un liquide au repos(ou parfait), il se manifeste uniquement des forces pressantes. Dans un liquide réel s’écoulant à faible vitesse il apparaît des forces tangentielles // au déplacement entre 2 couches contiguës , elle ont pour effet :
De ralentir une couche déjà en mouvement
De mettre en mvt des couches contiguës primitivement immobiles
La couche supérieure entraîne les couches inférieures.
On obtient un gradient de vitesse dv/dx =vo/l sur la plaque S’
Coefficient de viscosité dynamique : Pa.s : Poiseuille
Air = 1,8 10-5 Pa.s Eau = 10-3 Pa.s mercure = 1,510-3 Pa.s glycérine = 0,8 Pa.s
Coef de viscosité cinématique : on divise par la masse volumique.
La viscosité diminue quand la température augmente.
Si on tire la plaque S la plaque S’ subit une force F’
Prop à la surface de la plaque S
Prop à la vitesse de la plaque S
Inv à la distance à cette plaque
Pa.s viscosité dynamique :qui exige 1N pour déplacer à la vitesse de 1m/s deux feuillets de 1m2 distants de 1m
Fluide newtoniens F prop au gradient de vitesse.
62. Perte de charge Dans le cas d’un liquide réel il y a une perte de l’énergie utilisable lors de l’écoulement (« perte de charge ») liée à la dissipation d’E en chaleur du fait de la viscosité du liquide.Dans le cas d’un liquide réel il y a une perte de l’énergie utilisable lors de l’écoulement (« perte de charge ») liée à la dissipation d’E en chaleur du fait de la viscosité du liquide.
63. En régime turbulent
A partir de certaines valeur de vitesses d’écoulement, les L.C. ne sont plus parallèles, mais emmêlées. Les cellules de fluide se déplacent dans toutes les directions (même à contre-courant). Le profil des vitesses est aplati.
Ce mélange des L.C. favorise l’homogénéisation des vitesses et des transferts de quantité de mouvement de matière et de chaleur.En régime turbulent
A partir de certaines valeur de vitesses d’écoulement, les L.C. ne sont plus parallèles, mais emmêlées. Les cellules de fluide se déplacent dans toutes les directions (même à contre-courant). Le profil des vitesses est aplati.
Ce mélange des L.C. favorise l’homogénéisation des vitesses et des transferts de quantité de mouvement de matière et de chaleur.
64. Loi de Poiseuille Perte de charge = chute de pression pour compenser les forces de viscosité
En régime permanent la résultante des forces sur un cylindre de rayon r et de longueur L est nulle.
Force de pression = force de viscosité en tout point du pourtour du cylindre
(PA - PB) p.r2 = - h.2.p.r.L.dv/dr
La pression s’applique sur chaque base du cylindre
Avec la condition initiale v( R )=0 la vitesse contre la paroi intérieure du tube est nulle
Equa diff :
dv= - DP/2hL .rdr on résout la constante C avec la condition initiale v(R) = 0
Perte de charge = chute de pression pour compenser les forces de viscosité
En régime permanent la résultante des forces sur un cylindre de rayon r et de longueur L est nulle.
Force de pression = force de viscosité en tout point du pourtour du cylindre
(PA - PB) p.r2 = - h.2.p.r.L.dv/dr
La pression s’applique sur chaque base du cylindre
Avec la condition initiale v( R )=0 la vitesse contre la paroi intérieure du tube est nulle
Equa diff :
dv= - DP/2hL .rdr on résout la constante C avec la condition initiale v(R) = 0
65. Vitesse moyenne : vm = Q/p.R2
Le débit est prop avec la puissance 4ème du rayon donc très vite avec la géométrie de la canalisation.
Poiseuille médecin étudiant la circulation sanguine.
Résistance hydraulique (ou dynamique) : DP = Rh.Q analogie avec U=RI
DP perte de charge analogue à la chute de potentiel et Q analogue de l’intensité du courant.
Donner un exemple d’un branchement //
Ainsi les capillaires sanguins on un Rh plus fort (4,4.105) que les veines (2,3.105)Vitesse moyenne : vm = Q/p.R2
Le débit est prop avec la puissance 4ème du rayon donc très vite avec la géométrie de la canalisation.
Poiseuille médecin étudiant la circulation sanguine.
Résistance hydraulique (ou dynamique) : DP = Rh.Q analogie avec U=RI
DP perte de charge analogue à la chute de potentiel et Q analogue de l’intensité du courant.
Donner un exemple d’un branchement //
Ainsi les capillaires sanguins on un Rh plus fort (4,4.105) que les veines (2,3.105)
67. Nombre de Reynolds D diamètre
On peut connaître ainsi les vitesse moyennes limites pour passer d’un régime à l’autre en fonction du liquide.D diamètre
On peut connaître ainsi les vitesse moyennes limites pour passer d’un régime à l’autre en fonction du liquide.