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Agriculture bio et logique, Agriculture de santé.

Agriculture bio et logique, Agriculture de santé. LA REGLEMENTATION. La réglementation européenne -pour les productions végétales : règlement du Conseil CEE n°2092/91 du 24/06/91 -pour les productions animales : CC.REPAB du 19/07/99. La réglementation française

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Presentation Transcript


  1. Agriculture bio et logique, Agriculture de santé.

  2. LA REGLEMENTATION • La réglementation européenne • -pour les productions végétales : règlement du Conseil CEE n°2092/91 du 24/06/91 • -pour les productions animales : CC.REPAB du 19/07/99 • La réglementation française • CC.REPAB-F en vigueur depuis le 24/08/2000 • Evolution

  3. LES ASPECTS SANITAIRESDU CAHIER DES CHARGES • UN FREIN A LA CONVERSION ?

  4. L ’AGRICULTURE BIOLOGIQUE EN EUROPE

  5. GÉNÉRALITÉS Fin 2005, dans les 25 pays de l'Union européenne, près de 6,3 millions d'ha étaient exploités selon le mode biologique dans 164 191 exploitations, ce qui représentait 3,4% du territoire agricole de l'Union Européenne et 2% des exploitations agricoles. L'Italie reste le premier pays "bio" européen avec, en 2005, plus d'un million d'ha cultivés par 44 733 exploitations biologiques.Les chiffres sur la superficie et le nombre d'exploitationsen mode de production biologique en Europe en 2005 montre qu'avec 14,16% de la SAU, c'est en Autriche que la production biologique occupe la plus grande place dans le territoire agricole national, avec 20 310 exploitations. selon ce critère, l'Italie se trouve en 2ème position avec 8,4% de la SAU. Ces pays sont suivis par l'Estonie (7,22%), la Finlande (6,52%), le Portugal (6,34%), la Suède (6,27%) et la République Tchèque (5,97%).

  6. L ’AGRICULTURE BIOLOGIQUE EN FRANCE

  7. L’AGRICULTURE BIOLOGIQUEEN FRANCE

  8. L’AGRICULTURE BIOLOGIQUEEN FRANCE

  9. EVOLUTION EN 2002-2003 • · En 2002, 11 288 fermes en bio, soit 9% de plus qu’en 2001. En 2003 : 11 377 soit 0,9% de plus · 518 000 hectares en bio en 2002, soit 23% de plus qu’en 2001. · · Surfaces bio qui augmentent de 19%, mais diminution des surfaces en conversion de 19%. Transition entre CTE et CAD.

  10. PRODUCTIONS ANIMALES BIOLOGIQUES EN 2003 et 2007 • 59 000 vaches laitières 59182 • 54 000 vaches allaitantes 61062 • 116 000 ovins 129076 • 19500 caprins 26900 • 3691 truies 4885 • 5 140 000 poulets de chair 4 553 579 • 1 310 000 poules pondeuses 1 618 730

  11. LA REGLEMENTATION • La réglementation européenne • -pour les productions végétales : règlement du Conseil CEE n°2092/91 du 24/06/91 • -pour les productions animales : CC.REPAB du 19/07/99 • La réglementation française • CC.REPAB-F en vigueur depuis le 24/08/2000 • Evolution

  12. Production végétales : Les grands principes

  13. Productions végétales •  L’apport d’engrais complémentaires organiques ou minéraux est envisagé dans la mesure ou une alimentation adéquate des végétaux n’est pas possible par les autres moyens. L’annexe IIa de la réglementation définit les produits autorisés. • L’incorporation de matières organiques compostées ou non provenant de l’exploitation ou d’autres exploitations respectant la production biologique.

  14. Les aliments comportant des organismes génétiquement modifiés

  15. L’APPROCHE SANITAIRE • Priorité à la prévention • recours aux races rustiques • alimentation équilibrée, de qualité, respectant les besoins physiologiques • pratique régulière d’exercice et accès au plein air • environnement favorable s’agissant notamment de la densité d’élevage, du logement, des pratiques d’élevage et du respect du comportement animal. • réduction des facteurs de stress • Priorité aux médecines naturelles • Nombre de traitements limité, uniquement à titre curatif, délais d’attente doublés

  16. En cas de besoin, et jamais de manière préventive, des traitements allopathiques de synthèse peuvent être utilisés sous la responsabilité du vétérinaire et de l’éleveur. La nature du produit, la durée du traitement , le délai d’attente et le numéro de l’animal ou du lot sont notifiés dans le carnet d’élevage. Leur nombre est limité et tout dépassement entraîne une exclusion du circuit biologique : * A titre exceptionnel, pour la maîtrise des ectoparasites, un traitement antiparasitaire allopathique supplémentaire pourra être autorisé par l’organisme de contrôle. Lorsque des médicaments allopathiques doivent être utilisés, les délais légaux d’attente sont multipliés par deux ou fixés à 48 heures en l’absence de délai légal.

  17. CAHIER DES CHARGES FrançaisDE L’ELEVAGE BIOLOGIQUEdes PORCS • Le C.C. REPAB-F

  18. Cadre général de l’élevage • Complémentarité culture / élevage et liaison au sol • Production hors-sol non conforme au règlement • Registre d’élevage • Mixité de l’atelier animal

  19. Conversion et origine des animaux • Conversion des terres • Origine des animaux et conversion

  20. ALIMENTATION • Origine des aliments • Lien au sol : pourcentage d’auto-production • Part d’aliments C2 • Liste d’additifs autorisés • Alimentation des jeunes

  21. Prophylaxie et soins vétérinaires • Traitement • Prévention • Soins curatifs

  22. Gestion, transport et identification • Pratiques d’élevage • sevrage : 40 jours • Age d’abattage : 182 jours • Transport • Identification

  23. Effluents d’élevage • Quantité totale inférieure à 170 kg d’azote par an et par hectare de surface agricole en Bio • Soit 74 porcelets ou 6,5 truies ou 14 porcs à l’engrais Pour 400 places de porcs charcutiers à l’année, il faut 28,6 ha d’épandage

  24. Surfaces • Maternité : case classique paillée 8 truies à l’ha • Pré troupeau, gestantes bâtiment 6 m2 par truie, 8 truies/ha en plein-air • Post sevrage surface minimale 0,5 m2, 200 porcelets /ha/an • Engraissement : niches, stabulation paillée 1,2 m2/100kg ou 0,8 m2/porc de moins de 65 kg, 40 porcs/ha/an

  25. Espace en plein-airet bâtiments d’élevage • Libre accès au plein-air • Bâtiments • Vide sanitaire • Limitation de taille de l’atelier

  26. Sanitaire • Parasitisme • Oesophagostomum • Metastrongylus (ver de terre) • Trichuris • Hyostrongylus • Ascaris • Strongyloïdes (colostrum et trans cutané)

  27. Sanitaire • Parasitisme • Analyses copro • Gestion des parcs • Vide sanitaire • Traitements

  28. Sanitaire • Diarrhées néonatales • Conditions de logement, cabanes • Froid • Diarrhées de sevrage • Acidification de l’eau de boisson • Confort • Pathologie du porc charcutier (pulmonaire) • Conditions de logement en bâtiment aire paillée

  29. Sanitaire • Rouget, parvo Vaccination ? • Contrôle Aujeski et Peste porcine • Contrôle des poumons à l’abattoir

  30. Conduite d’élevage et pratiques préventives • Conduite de la truie en gestation et en lactation • Vaccins ? • Copro • Plan d’alimentation : favoriser la lactation 1ère semaine augmenter de 500 gr/jour • 2ème semaine augmenter de 1 kg /jour • Attention à la conservation des aliments

  31. Conduite d’élevage et pratiques préventives • Porcelet sous la mère • 6 semaines sous la mère, immunité colostrale puis immunité active vers 5 semaines • Castration à moins de 7 jours • Distribution d’aliment : dès deux semaines distribution de l’aliment 2ème âge une fois par jour dans un lieu abrité

  32. Conduite d’élevage et pratiques préventives • Porcelet sous la mère • Limiter la perte d’état de la truie • Habituer le porcelet à consommer l’aliment pour diminuer les risques au sevrage • Homogénéité des lots

  33. Conduite d’élevage et pratiques préventives • Porcelet en post sevrage • Logement : chalet, bâtiment • Nombre de place (moins de 30 kg 0,6 m2 à l’intérieur et 0,4 m2 aire d’exercice) • Chaleur • Absence de courants d’air • Nettoyage et vide sanitaire • Aliment 2ème âge jusqu’à 70 jours

  34. Conduite d’élevage et pratiques préventives • Porcelets en post sevrage • Abreuvement : contrôle propreté et débit (1litre/mn) • Qualité de l’eau analyses • Limiter les nids à microbes • Surveillance poumons, copro, comportement

  35. Cabanes plein-air • Terrain et espace (600 m2) Bauges • Etat d’entretien des truies • La truie aménage le nid en fonction de la T°C • Paille : de 40 kg l’hiver à 10-20 kg l’été • Cabanes plein-air : rondes,demi-lune • Emplacement du nid, barres anti-écrasement

  36. Cabanes plein-air • La truie doit pouvoir • entrer • se diriger vers les porcelets, les renifler • se déplacer et retaper le nid • se retourner debout dans la cabane • s’étendre pour allaiter le plus souvent la tête vers l’entrée • ne pas être dérangée

  37. Cabanes plein-air • Cabanes demi-lune : hauteur 1,2 m et panneau abritant de 2 m minimum • Cabane ronde : diamètre de 2,3 m et hauteur de 1,1m • Attention adapter la surface au sol et la hauteur à la taille de la truie • Rapport longueur sur largeur 1,7-1,8 • Déplacement des cabanes ?

  38. Le paillage • Quantités fonction de la saison et de l ’animal : truies bâtisseuses • La truie sort les excès • Repailler ? Intervenir le 1er ou 2ème jour pour raplanir si nécessaire • Nid adapté en fonction de la T°C • Emplacement du nid dans la cabane

  39. Les pertes sous la mère • Elles augmentent l ’hiver : effet paillage et effet du couvert végétal • Surveillance des mises-bas • Adoptions à la première sortie de la truie • Nouveau paillage vers 72 heures quand les porcelets sortent ? Paille sèche !

  40. Plan des parcs • Partir du plan cadastral • Simuler la disposition (orientation, vent…) • Définir le nombre de parcs : au moins 25% de parcs de maternité en plus ; au moins deux parcs de gestantes par bandes de truies : séparation des jeunes ou des maigres.

  41. Plan des parcs • Circulation à sens unique dans les couloirs • Couloirs larges aux angles arrondis : 6 m • Pente • Type de terrain et surface • But de maintenir l ’enherbement

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