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Evaluation des entreprises

Evaluation des entreprises. Séminaire IEC. 1. Introduction 2. Contexte de l’évaluation 3. Préalable : fiabilité de l’information financière 4. Préalable : nature de l’information financière de référence 5. Méthodes intrinsèques

Antony
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Evaluation des entreprises

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  1. Evaluation des entreprises Séminaire IEC 1

  2. 1. Introduction 2. Contexte de l’évaluation 3. Préalable : fiabilité de l’information financière 4. Préalable : nature de l’information financière de référence 5. Méthodes intrinsèques 5.1. méthode « statique » ou « méthode de l’actif net corrigé » 5.2. méthodes « dynamiques » 5.2.1. valeur de rendement 5.2.2. discounted free cash-flows 5.3. méthodes « mixtes » 5.3.1. rente de goodwill 5.3.2. méthode dite des multiples Plan de l’exposé 2

  3. 6. Méthodes analogiques 6.1. méthode dite des multiples boursiers 6.2. méthode dite des transactions comparables 7. Méthode dite de « sum of the parts » 8. Décotes et surcotes 8.1. décotes 8.2. surcotes (primes) 9. Conclusions Plan de l’exposé 3

  4. Distinction entre : la notion de valeur la notion de prix Evaluation des entreprises selon deux approches : les méthodes intrinsèques (statique, dynamique et mixte) les méthodes analogiques (multiples boursiers et transactions comparables) ! Approche multi-critères nécessaire Equity Value (EqV) ≠ Enterprise Value (EV) Equity Value (EqV) = Enterprise Value (EV) – Dette Financière Nette (normative) • Introduction BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 4

  5. Existence d’approches d’évaluation dites « coutumières » fréquemment utilisées dans le cadre d’évaluations de PME/de professions libérales utilisées dans le cas où l’application des approches intrinsèques et analogiques s’avérerait trop complexe et à titre de recoupement Avertissement : travail de fond et non COOK-BOOK ! • Introduction BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 5

  6. En préambule à toute mission d’évaluation, l’expert doit préciser : le contexte dans lequel l’évaluation est menée (réorganisation, apport en nature, quasi-apport, fusion, etc.) les documents et informations financières passées et prévisionnelles mis à sa disposition l’identité des personnes/organes auxquelles le rapport d’évaluation est destiné une réserve d’usage par rapport au contexte l’absence de contrôle « approfondi » des situations comptables lui communiquées (hormis cohérence !) l’absence d’appréciation sur les informations prévisionnelles et business plan mis à sa disposition Contexte de l’évaluation BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 6

  7. Avant d’appliquer les méthodes d’évaluation, il faut s’assurer de la fiabilité et de la cohérence des informations financières en : s’assurant de la fiabilité de l’organisation comptable et administrative analysant la récurrence des résultats, stabilité de la marge, etc. s’assurant de la rigueur de la césure des exercices identifiant les risques d’irrécouvrabilité de créances identifiant les litiges potentiels Préalable : fiabilité de l’information financière BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 7

  8. Avant d’appliquer les méthodes d’évaluation, il faut s’assurer de la fiabilité et de la cohérence des informations financières en : identifiant les surestimations faites sur les capitaux propres à évaluer examinant l’information prévisionnelle avec circonspection tenant compte du caractère quitte et libre des actifs, de l’existence des litiges non provisionnés et des engagements d’acquérir, de céder, de faire ou ne pas faire Préalable : fiabilité de l’information financière BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 8

  9. Avant d’appliquer les méthodes d’évaluation, il faut également faire un choix quant à la nature de l’information financière de référence, à savoir : comptes statutaires comptes consolidés : référentiel comptable belge ou IFRS Par ailleurs, une attention doit également être portée sur : les règles particulières d’évaluation (frais de R&D, immobilisations incorporelles et corporelles, stocks, etc.) l’environnement sectoriel le business model (sens ou non par rapport aux années futures?) Préalable : nature de l’information financière BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 9

  10. 5.1. Méthode « statique » ou « méthode de l’actif net corrigé » • Méthode patrimoniale : évaluation de l’actif net comptable (ANC) auquel on impute des corrections à la hausse ou à la baisse en fonction des écarts identifiés ANCC • Détermination des éléments de correction de l’ANC : • biens évalués à leur valeur vénale (expertises) • biens évalués à leur valeur d’usage • stocks • provisions : insuffisance ou excédent • Prise en compte de l’impact fiscal des corrections BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 10

  11. 5.1. Méthode « statique » ou « méthode de l’actif net corrigé » • Points d’attention liés à la fiscalité : • partage dit « fair » (50/50) de l’impôt latent sur la plus-value latente afférente aux actifs immobilisés (dans le cas de l’évaluation d’une soc. immobilière à actif immobilier) • « asset deal » vs « share deal » • impact des réserves immunisées (prise en considération des plus-values de réévaluation comptabilisées dans le calcul des latences fiscales) • cas particulier de ces réserves immunisées visées à l’art.47 du CIR (application d’un taux d’impôt plus faible que celui réellement imposable compte tenu de son actualisation) • existence de déficits fiscaux reportables (généralement non valorisés) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 11

  12. 5.1. Méthode « statique » ou « méthode de l’actif net corrigé » • Limites à la méthode statique : • évaluation de la société à un moment donné (non-prise en compte de sa capacité à générer des revenus futurs) • ne valorise que ce qui est repris au bilan • méthode relevante pour les « sociétés-villas », holdings passives ou sociétés à portefeuilles • en général et si going concern : valeur patrimoniale = prix plancher BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 12

  13. 5.2. Méthodes « dynamiques » • Existence d’un grand nombre de méthodes dites « dynamiques » afin de pallier l’inconvénient majeur de la méthode dite « statique » • valeur de rendement • discounted free cash-flows (DCF) • discounted dividends • … BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 13

  14. 5.2.1. Valeur de rendement • Formule = 1 - 1 x résultat normatif à actualiser i i.(1+i)t où i = taux d’actualisation t = durée d’actualisation • Détermination de la composante à actualiser : • soit le résultat net récurrent • soit les dividendes distribués moyens • soit le cash-flow (à définir) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 14

  15. 5.2.1. Valeur de rendement • Détermination du taux d’actualisation : • de manière TRES simplifiée : taux OLO (3,25 % en date du 27/09/2010) + prime de risque variant entre 50 et 200 % du taux sans risque selon les caractéristiques de la société et de son environnement BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 15

  16. 5.2.1. Valeur de rendement • Détermination du taux d’actualisation : • dans le cas de la méthode dite du « WACC » : k = VCP x kCP + VD x (1 – IS) x kD VCP + VD VCP + VD Où k = WACC VCP = valeur des capitaux propres VD = valeur de la dette kCP = coût des capitaux propres (rendement exigé par les actionnaires) kD = taux d’intérêt auquel la société peut s’endetter IS = taux d’Impôt des Sociétés BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 16

  17. 5.2.1. Valeur de rendement • Détermination du taux d’actualisation : • en vue de calculer le WACC, le coût des capitaux propres s’obtient par la formule suivante : kCP = RO + β (Rm – RO) Où : β= risque spécifique (indice de référence = 1) kCP = coût des capitaux propres (rendement exigé par les actionnaires) RO = taux sans risque Rm = taux de rendement moyen du marché BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 17

  18. 5.2.1. Valeur de rendement • Détermination de la période d’actualisation : • limitation de la durée à une période raisonnable en vue d’éviter des prévisions trop hypothétiques (3 à 8 ans) • Gordon Shapiro : • D • P = --------- • k-g • Où • P = prix • D = dividende normatif • k = taux de rendement exigé par les actionnaires • g = taux de croissance du dividende BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 18

  19. 5.2.2. Discounted free cash-flows • Méthode préférée des « experts financiers » : précise et complète • Détermination des cash-flow libres : résultat d’exploitation • - impôts • + charges non décaissées • - produits non encaissés • - investissements financés sur fonds propres • + valeur de réalisation des désinvestissements • +/- variation du besoin en fonds de roulement • +/- variation de l’endettement financier (à long et court terme) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 19

  20. 5.2.2. Discounted free cash-flows • Existence de deux types de cash-flow libres : • cash-flow libre opérationnel (aussi appelé cash-flow libre entreprise) cash généré par l’exploitation et disponible pour tous les bailleurs de fonds, y compris les actionnaires EV • cash-flow libre après remboursement de la dette et des charges d’intérêts (aussi appelé cash-flow libre actionnaire) cash généré par l’exploitation et disponible pour les actionnaires uniquement EqV BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 20

  21. 5.2.2. Discounted free cash-flows • Détermination du taux d’actualisation : • dans le cas d’une évaluation basée sur le free cash-flow entreprise : k = VCP x kCP + VD x (1 – IS) x kD VCP + VD VCP + VD Où k = WACC VCP = valeur des capitaux propres VD = valeur de la dette kCP = coût des capitaux propres (rendement exigé par les actionnaires) kD = taux d’intérêt auquel la société peut s’endetter IS = taux d’Impôt des Sociétés BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 21

  22. 5.2.2. Discounted free cash-flows • Détermination du taux d’actualisation : • dans le cas d’une évaluation basée sur le free cash-flow actionnaire : taux de return exigé par les actionnaires • Détermination de la durée d’actualisation : • pour la première période (de 3 à 5 ans le plus souvent), calcul des cash-flow libres selon un business plan détaillé • pour la seconde période, application d’un taux de croissance constant correspondant à l’inflation prévue à long terme BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 22

  23. 5.2.2. Discounted free cash-flows • Détermination de la valeur d’entreprise (EV) : • valeur d’entreprise (EV) : • cash-flows libres de croissance actualisés + valeur terminale • Détermination des capitaux propres (EqV) : • capitaux propres (EqV) : • valeur d’entreprise (EV) – dette financière nette (normative) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 23

  24. 5.2. Méthodes « dynamiques » • Avantage : • évaluation du passé et des perspectives d’avenir vue plus complète sur le potentiel de l’entreprise (valorisation indirecte des éléments incorporels) • Inconvénients : • sensibilité aux variations de taux et de durée d’actualisation des flux économiques • incertitude des informations prévisionnelles BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 24

  25. 5.3. Méthodes « mixtes » • Combinaison entre : • éléments de valorisation statique • éléments de valorisation dynamique • Couramment utilisées par les experts-comptables, car : • faciles à mettre en œuvre • faciles à expliquer aux clients ! • Deux méthodes principales : • rente du goodwill • méthode dite des multiples BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 25

  26. 5.3.1. Rente du goodwill • Formule : • V = ANCC + goodwill actualisé • Où • ANCC = actif net comptable corrigé • Goodwill = survaleur/supplément de valeur de l’entreprise • Objectif de cette méthode : • valorisation d’éléments incorporels susceptibles de création de valeur dans le futur (clientèle, savoir-faire, etc.) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 26

  27. 5.3.1. Rente du goodwill • Le goodwill peut être estimé comme suit : • Bénéfice net moyen – (ANCC * taux sans risque) • Où : • bénéfice net moyen = bénéfice corrigé des éléments exceptionnels • ANCC = actif net comptable corrigé • taux sans risque = taux OLO à 10 ans • multiplication de ce goodwill par un coefficient d’actualisation (taux risqué) et actualisé sur une période de 5 à 8 ans BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 27

  28. 5.3.2. Méthode dite des multiples • Formule : • V = ANCC + multiple d’agrégat financier • Où • ANCC = actif net comptable corrigé • Agrégat financier = bénéfice, EBIT, EBITDA, ChAff … • Utilisation de cette méthode : évaluation de FC de profs libérales ou de certains commerces • Inconvénient : méthode très forfaitaire BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 28

  29. 5.3.2. Méthode dite des multiples • Utilisation de cette méthode : • dans le cadre d’évaluation de fonds de commerce de professions libérales • dans le cadre d’évaluation de certains types de commerce • Inconvénient : méthode très forfaitaire BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 29

  30. Méthodes analogiques • Valorisation de l’EV puis de l’EqV d’une société : • soit par référence au cours de bourse d’une société cotée comparable • soit par référence à des transactions elles-mêmes également considérées comme comparables • Qualification des références comme comparables, il faut : • des secteurs d’activité identiques • des tailles relativement similaires • un niveau de développement comparable • … • En pratique : conditions rarement respectées ! mais méthodes très utilisées BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 30

  31. 6.1. Méthode dite des multiples boursiers • Détermination de la valeur d’entreprise (EV) d’une société par le biais : • d’un multiple de son EBITDA • d’un multiple de son EBIT • de son chiffre d’affaires • de son résultat net • Difficulté d’estimation de ces multiples • Solution : BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 31

  32. 6.1. Méthode dite des multiples boursiers • Multiples les plus couramment utilisés : • P/E • EV/EBITDA • EV/EBIT • EV/sales • Avec : • EV = valeur d’entreprise • P = capitalisation boursière = Equity Value = EqV = cours de l’action x nombre d’actions en circulation • E = earnings = résultat annuel BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 32

  33. 6.1. Méthode dite des multiples boursiers • P/E : • nombre de « résultats » que représente le prix de l’achat de l’action • EV/EBITDA : • évaluation d’une société sur base du profit généré indépendamment de sa structure de financement (charges d’intérêt), des contraintes fiscales/avantages fiscaux, des amortissements et des provisions • EV/EBIT : • évaluation d’une société sur base du profit généré hors impact des charges financières et contraintes fiscales BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 33

  34. 6.1. Méthode dite des multiples boursiers • EV/Sales : • valorisation de la part de marché d’une société indépendamment de sa structure de coût et sa capacité à dégager du profit • EV/Equity ( rare !) : • évaluation d’une société sur base des capitaux propres (fortement dépendant de la politique de distribution de dividendes des sociétés) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 34

  35. 6.1. Méthode dite des multiples boursiers • Obstacles : • coût d’accès à la base de données • absence de marché strictement comparable/sociétés cotées strictement comparables • absence de liquidité des titres à évaluer • application décote d’illiquidité • Limites : • absence d’harmonisation des normes comptables • imprécision due aux différences de métiers et de taille entre différents intervenants d’un même secteur • traduction imparfaite des besoins d’investissement des sociétés BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 35

  36. 6.2. Méthode dite des transactions comparables • Détermination des multiples à appliquer aux agrégats économiques d’une société, sur base des multiples pratiqués lors de transactions récentes dans un secteur similaire à celui de la société évaluée • Obstacles : • coût d’accès à la base de données • difficulté d’obtention de données fiables sur l’ensemble des conditions de réalisation des transactions de référence • difficulté d’obtention de données fiables sur le montant des synergies anticipées BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 36

  37. Méthode dite de « sum of the parts » • Cas particulier de la méthode d’ANCC : revalorisation de chacun des pôles d’activités d’une société holding • Processus : • identification des filiales opérationnelles et immobilières • évaluation des filiales opérationnelles sur base des méthodes dynamiques • évaluation des filiales immobilières sur base du rendement des actifs immobiliers (prise en compte d’un impôt latent passif sur les plus-values latentes) • valorisation des latences fiscales actives (pertes fiscales récupérables) • actualisation et prise en déduction des frais de gestion de la soc. holding BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 37

  38. 8.1. Décotes de minorité et d’illiquidité • Prise en considération d’une décote : • minorité : évaluation des titres ne permet à un acquéreur éventuel de devenir majoritaire • illiquidité : sociétés non cotées • Fourchette entre 20 et 50 % par rapport à la valeur de 100 % des titres • Importance de la décote : • inversement proportionnelle à la liquidité des titres à céder • inversement proportionnelle à l’importance que revêt de leur détention dans le chef d’un acquéreur BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 38

  39. 8.1. Décote de holding • Apparition : • capitalisation boursière d’une holding cotée • < • ∑ de la détention des participations revalorisées • Justifications : • absence de choix de la part de l’investisseur du portefeuille d’actifs • illiquidité du portefeuille titres • existence de frais généraux et de fonctionnement • déperditions fiscales • Importance de la décote si couplage à une part. minoritaire BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 39

  40. 8.1. Décote de structure • Apparition : • si dépendance d’une structure à la personnalité de ses fondateurs • si taille sociétés comparables sélectionnées > société évaluée • Fourchette entre 10 et 20 % par rapport à la valeur de 100 % des titres BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 40

  41. 8.2. Surcotes (primes) • Apparition : • dépassement d’un seuil stratégique par un acquéreur potentiel grâce à l’acquisition de ces titres évalués • Situations de surcotes : • dans le cadre d’une sortie d’actionnaires ayant une minorité de blocage aux Assemblées Générales (AG) • dans le cadre d’opérations réglementées d’Offre Publique d’Achat (OPA) ou d’Echange (OPE) BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 41

  42. Conclusions • Evaluer une entreprise implique donc : • compréhension du métier de l’entreprise • identification de la provenance de la marge et du résultat • capacité à jeter œil critique sur l’information financière passée et prévisionnelle • L’évaluation d’une entreprise est donc une application bien plus vaste qu’un simple exercice de mathématique, où l’on injecte des valeurs aux paramètres, sans prise en considération de l’environnement dans lequel la société évolue, et de ses perspectives de développement BST Réviseurs d’Entreprises Pascale Tytgat 42

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