1 / 14

Le premier appel public à l’épargne

Le premier appel public à l’épargne. 4-212-95. Pourquoi un PAPE ?. Accès à des fonds propres Accès accru aux emprunts Récolte pour les premiers investisseurs Liquidité accrue facilite les Visibilité accrue acquisitions Crédibilité accrue Rémunération des meilleurs.

franz
Télécharger la présentation

Le premier appel public à l’épargne

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Le premier appel public à l’épargne 4-212-95 Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  2. Pourquoi un PAPE ? • Accès à des fonds propres • Accès accru aux emprunts • Récolte pour les premiers investisseurs • Liquidité accrue facilite les • Visibilité accrue acquisitions • Crédibilité accrue • Rémunération des meilleurs Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  3. Désavantages • Coût : temps et argent • Perte de confidentialité • Perte de souplesse • Pression liée au rendement • Volatilité du prix • Vision à long terme sacrifiée ? • Perte du contrôle ? Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  4. Composantes du coût • Honoraires vérification et comptabilité • Frais juridiques (révisions et règlements) • Salaires accrus si de nouvelles embauches sont faites • Si C.A., rémunération des administrateurs • Rémunération des placeurs (commissions, droits ou options d’achat) • Tournée de promotion • Impression Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  5. Le coût • Attention : certains coûts sont encourus une seule fois • D’autres sont récurrents : e.g Honoraires de vérification Relations avec les investisseurs Administrateurs, etc. Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  6. Exigences Chaque bourse a ses exigences Au Canada • TSX – 5 catégories avec exigences différentes quant à l’inscription • TSX croissance – 2 groupes, chacun avec des normes différentes et à l’intérieur des groupes, des normes différentes selon les secteurs Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  7. Résultats des PAPE • Moins de sous-cotation au Canada ? Oui, d’après le CBC du 1/1/98 au 30/9/99 D’après Vijay Jog et John Hitsman – 1994 à 2000 • Valeur pre-investissement : 50 M $ • Valeur de l’émission : au moins 10 M$ Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  8. Techniques d’évaluation des courtiers pour les PAPE-recherche menée en 1999 Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  9. Techniques utilisées • Comparables - Multiples • Cours / bénéfices • Valeur entreprise / EBITDA • Valeur /Flux • Cours/ Ventes • Cours / Abonnés • Cours / Population • etc. Pas fréquent pour les entreprises en croissance Citée le plus souvent Secteur de l’internet Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  10. Détails des techniques • Comparaison avec transactionsrécentes: • même secteur • part de marché équivalente • AFM • cash flows détaillés pour 3 ans • valeur finale : Gordon ou multiples • taux d’actualisation : Intuitif ou CAPM Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  11. Techniques privilégiées Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  12. Raisons Raisons pour l’utilisation des multiples: • Difficultés de faire des prévisions quand pas de ventes et pas de bénéfices • Technique connue et répandue, bien comprise : facilite les communications Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

  13. Prise en compte du risque • abaisser le multiple ou les prévisions • abaisser les prévisions de FM futurs et/ou • ajuster le taux d’actualisation • Les ajustements sont faits de façon intuitive Louise St-Cyr, HEC Montréal, Été 2004

More Related