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Porte ouverte du 20 octobre 2008 « douleur et cancer »

Porte ouverte du 20 octobre 2008 « douleur et cancer ». Exemple d’un point d’information au Centre Hospitalier de Saint Hilaire du Harcouët. Les médicaments antalgiques 1. Il faut attendre le plus longtemps possible avant de prendre un médicament contre la douleur Vrai faux

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Porte ouverte du 20 octobre 2008 « douleur et cancer »

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Presentation Transcript


  1. Porte ouverte du 20 octobre 2008« douleur et cancer » Exemple d’un point d’information au Centre Hospitalier de Saint Hilaire du Harcouët

  2. Les médicaments antalgiques • 1. Il faut attendre le plus longtemps possible avant de prendre un médicament contre la douleur • Vrai • faux • 2. si l’on supprime ma douleur avec des médicaments, je ne pourrai plus savoir si la maladie évolue • vrai • faux • 3. les antalgiques ne soignent pas la cause de la douleur • vrai • faux • 4. si on me propose de la morphine, c’est que c’est grave • vrai • faux • 5. avec de la morphine, les gens dorment toute la journée, ce n’est pas une solution • vrai • faux • 6. la morphine est une drogue • vrai • faux • 7. si je prends de la morphine dès maintenant, plus rien ne marchera quand j’aurai encore plus mal • vrai • faux • 8. les effets indésirables de la morphine sont encore pires à supporter que la douleur • vrai • faux • Nous étions installés dans le hall d’accueil de l’hôpital • Un questionnaire sur les idées reçues sur les antalgiques était proposé à chaque visiteur

  3. Les réponses du questionnaire étaient donnés à la fin de la visite • 1. Il faut attendre le plus longtemps possible avant de prendre un médicament contre la douleur. FAUX. L’objectif des traitements contre la douleur est de soulager la douleur en continu. Il faut à la fois la soulager et l’empêcher de réapparaître. Pour cela, les antalgiques doivent être pris à heures fixes, même si la douleur n’est pas réapparue depuis la dernière prise et tant que la cause de la douleur n’a pas été éliminée. Votre médecin vous indique quand et à quel rythme prendre le traitement contre la douleur pour qu’il soit le plus efficace possible. Ce rythme dépend du temps d’action des médicaments prescrits. Il est important de respecter ces consignes. • 2. si l’on supprime ma douleur avec des médicaments, je ne pourrai plus savoir si la maladie évolue FAUX. Les patients comme leur proches pensent parfois qu’en supprimant la douleur, les antalgiques risquent de camoufler les signes d’évolution de la maladie. Ils ont peur de ne pas pouvoir surveiller l’évolution de la maladie. Mais il existe des méthodes bien plus fiables pour surveiller votre cancer (consultations et examens médicaux réguliers, surveillances de certains symptômes ).

  4. 3. les antalgiques ne soignent pas la cause de la douleur VRAI ET FAUX. Soulager la douleur permet de mieux traiter le cancer : le patient s’alimente mieux, dort mieux, est moins anxieux, supporte mieux les traitements contre le cancer. Le traitement de la douleur est ainsi, indirectement une méthode pour faciliter le traitement du cancer. Il est donc fondamental de traiter autant que possible la douleur. • 4. si on me propose de la morphine, c’est que c’est grave FAUX. L’utilisation de la morphine est liée à l’intensité de la douleur et non à la gravité de la maladie. Utiliser de la morphine ou ses dérivés est justifié dès que les autres antalgiques ne sont pas efficaces pour soulager la personne. • 5. avec de la morphine, les gens dorment toute la journée, ce n’est pas une solution VRAI ET FAUX. La somnolence est fréquente au début du traitement par morphine ou lorsque les dosages augmentent. Cet effet est dû à la fois du manque de sommeil accumulé à cause de la douleur et à l’action sédatives des opioïdes. Le malade et l’entourage ont parfois du mal à accepter cet effet indésirable. Pourtant, la somnolence est généralement passagère et s’atténue progressivement : il faut laisser au corps le temps de s’adapter au traitement et de récupérer de la fatigue causée à la douleur.

  5. 6. la morphine est une drogue VRAI ET FAUX. Les études scientifiques montrent que la morphine utilisée dans de bonnes conditions pour traiter la douleur, n’entraîne pas de toxicomanie, même si elle est prise à long terme. Les conditions d’utilisation de la morphine sont aujourd’hui basées sur des données scientifiques : La morphine est utilisée pour soulager les douleurs intenses, lorsque les traitements moins puissants ne sont plus efficaces. Elle est utilisée sous surveillance médicale stricte ; A chaque fois que possible, la voie orale est privilégiée (comprimés, gélules, solutions buvables). Le médicament est ainsi libéré progressivement dans l’organisme, alors que la toxicomanie est favorisée par une libération brutale de doses importantes de médicaments ; Les dosages de morphine sont définis progressivement, au cas par cas. Seule la dose nécessaire à chaque personne est utilisée ; Les prescriptions de morphine orale ou sous forme de patchs sont limitées à 28 jours pour éviter des utilisations inadéquates et le stockage à domicile. Après une utilisation prolongée de morphine, l’arrêt du traitement est toujours possible, mais doit cependant être progressif. Il est réalisé sous le contrôle de votre médecin. Un arrêt brutal provoque un syndrome de sevrage (bouffées de chaleur, mal-être, hallucinations, douleurs aiguës diarrhées…), lié au dérèglement de la production naturelle de morphine par le cerveau.

  6. 7. si je prends de la morphine dès maintenant, plus rien ne marchera quand j’aurai encore plus mal FAUX. Si vous avez besoin de morphine à un instant précis de la maladie, cela ne signifie pas qu’elle ne sera plus efficace à un autre moment. Par ailleurs des opioïdes bien plus puissants que la morphine sont aujourd’hui disponibles. Ils pourront être utilisés si vos douleurs ne sont pas suffisamment soulagées par la morphine. • 8. les effets indésirables de la morphine sont encore pires à supporter que la douleur NI VRAI, NI FAUX.la morphine à des effets indésirables, ils ne sont pas systématiques et peuvent être contrôlés par des traitements adaptés (antiémétiques contre les nausées en début de traitement, et des laxatifs quotidiens contre la constipation) Les effets indésirables les plus redoutés (hallucination, troubles psychiques) sont extrêmement rares et souvent transitoires. Ils surviennent en général à l’occasion d’un surdosage qui est facilement contrôlé par la diminution du dosage, ils ne touchent que 1 à 3% des patients. Extrait du guide douleur et cancer

  7. L’accueil

  8. Plusieurs stands étaient présentés Définition, cause, évaluation et principaux traitements de la douleur Présentation du réseau régional de la douleur La législation (dossier médical, loi Léonetti, droit des malades) Alimentation et cancer (avec présentation de menu) Qualité de vie et capacité fonctionnelle (présenté par l’ergothérapeute) Méthodes non médicamenteuses (Homéopathie, hypnose, réflexologie, sophrologie) La socio esthétique (avec salon détente et possibilité de masser les visiteurs)

  9. Définition, cause, évaluation et principaux traitements de la douleur • LA DOULEUR est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite en des termes impliquant une telle lésion. (Selon l’IASP :International Association for the Study of Pain) • LA SOUFFRANCE menace l’intégrité de la personne physique, psychologique et sociale avec des sentiments de perte et d’impuissance. Elle est susceptible d’affecter de façon péjorative le comportement ou le bien- être du patient. • La douleur est donc subjective : chacun ressent la douleur de façon différente en fonction de sa personnalité et de son vécu. • Toute plainte douloureuse est légitime : est douleur ce que le patient dit être douleur.

  10. LE CANCER :LES DIFFERENTES CAUSES DE DOULEUR DOULEURS NOCICEPTIVES ET /OU NEUROPATHIQUES

  11. Les douleurs neuropathiques : Elles sont liées à une ou des lésions nerveuses et donnent des sensations particulières et spécifiques. • Les antalgiques classiques ne sont pas efficaces contre ce type de douleur, seuls les antidépresseurs et les antiépileptiques à faible dose le sont.

  12. SAVOIR PARLER DE SA DOULEUR,C’EST : Indiquer sa localisation le plus précisément possible Décrire ses caractères : brûlure, torsion, arrachement, pesanteur, tension…. Analyser les circonstances qui la déclenchent ou l’augmentent Observez s’il y a des moments dans la journée où elle est plus intense. • EVALUER LA DOULEUR, POURQUOI ?  Faciliter les prises de décisions des traitements . Contrôler l’efficacité des traitements mis en route. Améliorer la relation entre le maladeet les soignants, la communication entre les soignants. • COMMENT EVALUER VOTRE DOULEUR ? Les premières fois, donner une note à sa douleur est difficile mais cela permet aux soignants de savoir si le traitement est adapté et surtout si il est efficace.

  13. LES OUTILS D’EVALUATION DE LA DOULEUR Il existe plusieurs échelles d’évaluation de la douleur L’EN = Echelle Numérique (pour les personnes communicantes) • Pouvez-vous donner une note de 0 à 10 pour situer le niveau de votre douleur ? • La note 0 correspond à « pas de douleur » La note 10 correspond à « la douleur maximale imaginable » Donner une seule note de 0 à 10 pour la douleur au moment présent L’EVA ou Echelle Visuelle Analogique (pour les personnes communicantes) Pour les enfants :EVA verticale Echelle des visages

  14. Si le patient ne peut pas le faire lui même ,il existe des outils spécifiques basés sur l’observation du patient qui permettent aux soignants d’évaluer la douleur. ECHELLE DOLOPLUS ECS

  15. La tumeur n’est pas douloureuse en elle-même : en grossissant elle comprime ou envahit une partie sensible de l’organisme. • L’apparition de douleurs dépend de sa localisation et n’est pas forcément un signe de gravité. • Certains cancers sont douloureux dès le début et d’autres ne le sont pas, même à un stade avancé de la maladie . • LES DOULEURS NOCICEPTIVES sont des douleurs déclenchées par le système nerveux en cas d’agression de l’organisme ( maladie, traumatisme, infection, inflammation…) Les antalgiques classiques sont efficaces contre ces douleurs. • LES DOULEURS MIXTES sont des douleursqui sontà la fois nociceptives et neuropathiques.

  16. LA CHIRURGIE : Elle consiste à enlever ou réduire la tumeur. Les douleurs liées à la chirurgie varient selon les personnes, la zone opérée et la technique utilisée. Elle provoque des douleurs aiguës qui doivent être traitées rapidement. Parfois elle peut entraîner , par la section ou la lésion d’un nerf, des douleurs neuropathiques . • LA CHIMIOTHERAPIE consiste à utiliser des médicaments toxiques pour les cellules cancéreuses. C’est un traitement qui agit de façon générale et qui peut avoir des effets sur les cellules saines. Le corps devient alors plus sensible aux agressions extérieures. • LA RADIOTHERAPIE utilise des rayons pour détruire la tumeur ou réduire son volume. C’est une technique indolore mais pour atteindre la tumeur, les rayons traversent les tissus sains donc au fil des séances apparaît des sensations d’échauffement et de brûlure dans la zone irradiée. En agissant directement sur sa cause, chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie ont aussi une efficacité sur la douleur liée au cancer. • LES SOINS ET EXAMENS peuvent être générateurs de douleurs. Des moyens existent pour prévenir ces douleurs : anesthésiques locaux en crème ou patch, utilisation d’un gaz antidouleur PARLEZ EN A VOTRE MEDECIN

  17. SI LA DOULEUR PERSISTE : Des consultations « douleur » existent. La demande de rendez-vous doit être accompagnée d'une lettre, la plus exhaustive possible, du médecin traitant ou d'un médecin spécialiste. Un questionnaire d'orientation sera éventuellement envoyé au patient. Le jour de la consultation, il est demandé, dans la mesure du possible, d'arriver muni de ses examens, comptes-rendus et traitements. • LA MORPHINE Contrairement aux idées reçue, la morphine ne provoque pas d’accoutumance si elle est utilisée à bon escient. Par contre, elle a de nombreux effets indésirables : somnolence, nausées, vomissements, rétention d’ urines, prurit, agitation, excitation, confusion, constipation (effet secondaire permanent), dépression respiratoire, augmentation de la pression intracrânienne, syndrome de sevrage. Beaucoup de ses effets secondaires sont transitoires et disparaissent en 3 ou 4 jours.

  18. Les traitements classiques de la douleur DOULEURS FAIBLES DOULEURS MODEREES DOULEURS INTENSES EVA de1à4 EVA de 4 à 7 EVA de 7 à 10 • LES AUTRES TRAITEMENTS Les antidépresseurs Les anticonvulsivants Les coantalgiques(AINS, antispasmodiques) • LES MOYENS PHYSIQUES ET PSYCHOLOGIQUES: stimulations thermiques( chaud, froid), stimulations électriques (TENS = neurostimulation transcutanée), l’immobilisation,kinésithérapie(massages), relaxation, hypnose, sophrologie, approche cognitivo-comportementale.

  19. LE RESEAU REGIONAL DOULEUR DE BASSE-NORMANDIE Ce réseau a pour vocation d’œuvrer pour la généralisation de la lutte contre la douleur dans tous les établissements de santé et en médecine libérale ; de développer la formation et l’information des professionnels de santé ; de favoriser la coordination des soins et obtenir une couverture géographique. Il est le coordinateur des différentes consultations antidouleur de la région. Il regroupe de nombreux médecins et autres professionnels de santé.

  20. Exemple de panneaux d’affichage

  21. La législation (dossier médical, loi Léonetti, droit des malades) • Plan national d’amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010 Priorité n°1 : améliorer la prise en charge des douleurs des populations les plus vulnérables Priorité n°2 : améliorer la formation pratique initiale et continue des professionnels de santé permet de mieux prendre en comte la douleur des patients. Priorité n° 3 : améliorer les modalités de traitement médicamenteux et d’utilisation des méthodes non pharmacologiques pour une prise en charge de qualité. Priorité n°4 : structurer la filière de soins de la douleur, en particulier pour la prise en charge des douleurs chroniques rebelles, permet de rendre plus efficace le dispositif. A l’hôpital de st hilaire, il existe un contrat d’engagement de prise en charge de la douleur .

  22. DROIT DES MALADES Loi du 4 mars 2002 relatives aux droits des malades Loi LEONETTI du 22 avril 2005 • Charte de la personne hospitalisée ( cf brochure + distribution) Point n°2 : les établissements de santé sont attentifs au soulagement de la douleur et mettent tout en œuvre pour assurer à chacun une vie digne, avec une attention particulière à la fin de vie. Point n°3 : droit à l’information, à l’autonomie et au consentement dans la prise de décision, la désignation d’une personne de confiance L’accès au dossier de soins Prendre contact avec l’équipe médicale Par vous-même ou par l’intermédiaire de votre médecin Demande écrite au directeur de l’établissement en joignant une photocopie de votre pièce d’identité Communication au plus tard dans les 8 jours pour les dossiers de moins de 5 ans (2mois pour les dossiers de plus de 5 ans) • La Personne de confiance : Consultée au cas où vous seriez hors d’état d’exprimer votre volonté et de recevoir l’information nécessaire à cette fin. Personne majeure Parent, proche ou médecin traitant Désignation par écrit (donner son nom et ses coordonnées à l’équipe soignante) Décision révocable à tout moment.

  23. Point n°4 : Autorise le malade conscient à refuser tout traitement (avant un traitement) . Le médecin respecte sa volonté après l’avoir informé des conséquences de son choix. La décision du malade est inscrite dans son dossier médical. Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté. Souhaits relatifs à sa fin de vie concernant les conditions de la limitation ou l’arrêt du traitement Etablies moins de 3 ans avant l’état d’inconscience de la personne Révocables à tout moment • Point n°8 : la personne hospitalisée est traitée avec égards. Ses croyances sont respectées. • Point n° 9 : le respect de la vie privée est garanti à toute personne ainsi que la confidentialité des informations personnelles administratives, médicales et sociales. • Point n°10 : la personne hospitalisée bénéficie d’un accès direct aux informations de santé la concernant. • Point n°11 : la personne hospitalisée peut exprimer des observations sur les soins et sur l’accueil qu’elle a reçu (cf. questionnaire de satisfaction dans le livret d’accueil) . Site Internet : www.sante.gouv.fr

  24. Exemple de panneaux d’affichage

  25. Alimentation et cancer ALIMENTATION EN COURS DE CHIMIOTHERAPIE • Influences possibles de la chimiothérapie sur votre alimentation : • perte d'appétit • perturbation du goût ou de l'odorat • nausées ou vomissements • apparition d'aphtes buccaux, de mucite buccale, pharyngée ou œsophagienne • Réponses alternatives à ces désagréments possibles: • Ne vous forcez pas à manger pendant les séances de chimiothérapie. Préférez une alimentation légère avant la perfusion. • Le petit déjeuner étant le repas le mieux toléré de la journée, tentez de l'enrichir entre les cures. Ajoutez un fruit, jus de fruits, un yaourt ou autre laitage, un fromage ou des céréales.

  26. Petits grignotages salés ou sucrés. • Si les vomissements sont fréquents, demander une prescription médicale d'anti vomitifs sous forme de suppositoires de préférence. • Pour éviter une déshydratation pensez aux boissons fraîches, bouillon salé, coca-cola,... • Dans le cas de désagréments buccaux ou pharyngaux-œsophagiens évitez les mets acides, épicées et/ ou pimentés. Il en est de même pour les préparations trop salées ou trop sucrées qui seraient susceptible de vous irriter. Par contre les aliments sous forme liquide et froids peuvent être de bons alliés (lait, laitages, potage froids, glaces,...).

  27. ALIMENTATION ENRICHIEQUELQUES RECETTES Potage de légumes 1 bol de potage de 250 ml 1 crème de gruyère 1 cuillère à soupe bombée de lait écrémé en poudre 1 cuillère à soupe de crème fraîche ou 1 noix de beurre Mélanger bien ou mixer. Assaisonner. Potage de légumes enrichi au jambon 1 bol de potage 1 tranche de jambon 1 cuillère à soupe de gruyère râpé 1 cuillère à café de crème fraîche Mixer le potage avec tous les ingrédients. Potage de légumes enrichi à l'oeuf 1 bol de potage 2 cuillères à soupe de lait écrémé en poudre 1 jaune d'oeuf battu Ajouter le lait en poudre et le jaune d'oeuf cru. Purée de légumes 150 à 200g de légumes 150 ml de lait ½ écrémé 15g de poudre de lait écrémé ou jaune d'oeuf ou crème de gruyère

  28. Crème de volaille bouillon de volaille 5g de fond de volaille 250 ml eau 50g de blanc de volaille 10g de farine 10g de farine 10g de matière grasse 1 cuillère à soupe de crème fraîche sel, poivre, curry Préparer un roux blanc, mouiller avec le bouillon, ajouter la viande et laisser cuire 10 à 15 minutes. Mixer. Ajouter la crème et assaisonner Velouté au poisson 300ml de soupe de poisson 30g de flocons de purée instantanée 30g de gruyère râpé 15g de beurre Faire cuire la soupe de poisson. Ajouter la purée instantanée, le gruyère râpé et le beurre. Bien mélanger le tout. Velouté à la viande 100g depommes de terre ou 25g de pâtes ou riz crus 100g de légumes verts 100g de viande 20g de beurre Faire cuire les légumes et les féculents. Ajouter la viande, laisser cuire 15 min à feu doux ; mixer l'ensemble. Bien mélanger le tout.

  29. Qualité de vie et capacité fonctionnelle (présenté par l’ergothérapeute)

  30. Méthodes non médicamenteuses(Homéopathie, hypnose, réflexologie, sophrologie) HOMEOPATHIE • Administration de médicaments à concentration extrêmement faible sous forme de granules, doses, gouttes … • Ceci propose des traitements visant à soulager certains symptômes : • Réduire les effets secondaires de la chimiothérapie, radiothérapie • Effets sur la cicatrisation lors de la chirurgie • Effets psychosomatiques et anxiolytiques peut apporter • un certain confort physique et moral du patient Selon le Dr Christelle CHARVET : • «  l’homéopathie s’intègre dans le parcours de soin en oncologie. Des évaluations sont en cours pour en préciser la place. La formation des médecins en homéopathie est souhaitable pour répondre à la demande des patients. »

  31. HYPNOSE • «  l’hypnose est un état modifié de conscience, différent de l’état de conscience ordinaire, dans lequel la personne va puiser les ressources dont elle dispose dans son inconscient. » Milton Erickson • De plus en plus utilisée en anesthésie, elle permet d’effectuer des examens douloureux en diminuant ou même épargnant l’utilisation de drogues. • Lors de douleurs chroniques, l’hypnose et surtout la pratique de l’autohypnose donnent au patient un moyen personnel de mieux gérer ses douleurs et les limites qu’elles imposent dans les activités quotidiennes. • L’inconscient protège aussi bien au niveau corporel qu’au niveau mental. Il se bat contre ce qu’il peut gêner en créant des solutions diverses qui peuvent être des symptômes parfois des amnésies. • L’hypnose par elle-même ne fait rien, c’est l’état hypnotique qui est utilisé pour guider la personne vers ses ressources inconscientes. • Indications : phobie, insomnie, tabagie, anxiété, dépression, troubles obsessionnels, douleurs chroniques, démarche de qualité de vie, développement personnel …

  32. REFLEXOLOGIE PLANTAIRE  • Libération de facultés d’auto guérison du corps basé sur le principe suivant : Pied = représentation miniaturisée du corps humain A chaque zone réflexe correspond un organe, une glande ou une partie spécifique du corps. • Des pressions rythmées appliquées sur les zones réflexes permettent : • De localiser les tensions • Rétablir l’équilibre dans les parties du corps correspondantes. • La réflexologie fait partie de la médecine parallèle – médecine douce. C’est un soin complémentaire et ne peut en aucun cas se substituer à un traitement médical. • Les contre-indications sont notamment : • inflammation des pieds• maladie cardiaque récente• thrombose• phlébite• début de grossesse• accident vasculaire cérébral

  33. REFLEXOLOGIE PLANTAIRE  • « La réflexologie ne prétend pas guérir des maux spécifiques, elle cherche à apporter un certain soulagement à un grand nombre d’affection. » • Indications : • stress, surmenage • maux de tête, de dos • trouble digestif, problème de peau • amélioration de la qualité de vie des personnes cancéreuses.

  34. La sophrologie • Terme créé par le Dr Alphonso CAYCEDO neuropsychiatre, pour désigner une méthode scientifique conçue par lui-même, permettant de maîtriser l’équilibre corps/ esprit, pour l’ étude de la conscience et pour la conquête des valeurs de l’home avec des procédés qui lui sont propres et originaux. • La sophrologie , ça se vit. • La méthode caycédienne est un processus vivantiel qui se déroule à travers le corps pour intégrer • C’est une méthode d’entraînement de notre potentiel positif (capacités, ressources). la sophrologie ne détient pas la vérité, il aide à faire émerger les potentialités. elle va au-delà de la relaxation pour s’intéresser aux valeurs de l’homme, à son existence. les différents exercices sont des stratégies pour dévoiler la conscience, développer ses structures, pour lever l’angoisse, construire ses projets en étant posé en soi.

  35. La sophrologie • La sophrologie nous oriente vers ce qui nous est essentiel. • elle permet de mettre entre parenthèse les contenus qui parasitent notre esprit, ce qui débouche sur une meilleure autonomie, un nouveau et meilleur vécu du quotidien. • A la fin de la séance, l’entretien dit « analyse vivantielle »,est axé sur les sensations et sentiments déclenchés, les phénomènes qui sont apparus. • Cette analyse a pour but: • D’orienter la méthode pour la séance suivante • De faire somatiser du positif • C’est une lecture phénoménologique. • La sophrologie caycédienne permet de créer un espace de rencontre avec soi-même et notre environnement, dans un état de conscience plus clair, libre et lucide. • La nécessité du SHEMA CORPOREL comme réalité vécue est un des principes de la sophrologie, C’EST LA BASE, l’assise pour se rencontrer et rencontrer l’extérieur, d’où de nombreux exercices et l’entraînement. «  il n’y a pas de conscience sans le corps, le corps est la conscience incarnée »(A.CAYCEDO) La répétition, l’entraînement débouchent sur une habitude positive, une présence à soi, une présence à ce que l’on fait, une nouvelle façon d’être. Les aléas de la vie ont moins d’impact « les conseils sont inopérants, la vivance reste » (A.CAYCEDO)

  36. La socio esthétique (avec salon détente et possibilité de masser les visiteurs)

  37. Photos avant et pendant la visite

  38. Diaporama réalisé par les membres du CLUD ,nous remercions: • Mélanie Bellaize (diététicienne) et Caroline Delacroix (ergothérapeute) pour leur participation active à notre journée • la direction du CH de ST Hilaire du Harcouët qui a accepté de nous soutenir dans notre démarche • Dr Bureau qui a proposé la diffusion de notre diaporama sur le site « Manche et santé » • Tous les visiteurs…

  39. LISTE DES MEMBRES DU CLUD CH ST HILAIRE Président : Dr TAHRAOUI L’HASSAN, praticien en médecine Vice-président : DECHANCE Christophe, IDE en médecine Secrétaire : LAIR Fabienne, faisant fonction de cadre de santé service de médecine LES MEMBRES DE DROIT : M. LE BERRE, Directeur Mme CUZIN , Directeur référent M. GESREL, Directeur adjoint en charge du secteur personnes âgées M. BRETON, Président de la CME Dr ROUSSEL, Médecin coordonnateur EHPAD Dr JUDEAUX, Pharmacienne Mme BARBE-LAUNAY, Directrice du Service des Soins Infirmiers Mlle DELAFONTAINE, Responsable Qualité Mme LEMONNIER, IDE titulaire du DU « Soins Palliatifs » Mme LAIR, IDE titulaire du DIU « Prise en charge de la douleur » LES MEMBRES VOLONTAIRES : BAZIN Annie, IDE en EHPAD BOUVET Isabelle, AS en médecine CHAPEL Nadine, ASH en EHPAD RENARD Estelle, AS en SSR CROCHET Sonia, socio-esthéticienne FOUCHER Catherine, IDE en EHPAD FOUQUE Christelle, IDE en SSR GLORIA Marina, AS en médecine GONTIER Marylène, AS en EHPAD HERGAULT Véronique, préparatrice en pharmacie LEBOUC Yves, IDE aux urgences ROBLIN Marlène, AS en SSR VAUTIER Jocelyne, AS au SSIAD

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