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Fabrication et origine Conseils et Méthodes Matériel Différentes façons d’aborder la gouache

Fabrication et origine Conseils et Méthodes Matériel Différentes façons d’aborder la gouache Sur toile et sur tissus sur papier Exemples de peintres contemporains Vidéos : La peinture : c’est pas sorcier. Dix oiseaux, gouache sur papier. École moghole, fin du XVI 27,8 x 14,7 cm.

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Fabrication et origine Conseils et Méthodes Matériel Différentes façons d’aborder la gouache

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Presentation Transcript


  1. Fabrication et origine • Conseils et Méthodes • Matériel • Différentes façons d’aborderla gouache • Sur toile et sur tissus • sur papier • Exemples de peintres contemporains • Vidéos : • La peinture : c’est pas sorcier Renaissance et culture de Coupvray - Guy Braun Dix oiseaux, gouache sur papier. École moghole, fin du XVI 27,8 x 14,7 cm

  2. La gouache appartient à la famille • des peintures à la détrempe, c’est-à-dire a la peinture à l’eau • des peintures réversibles (comme l’aquarelle) • des peintures à base de liant en solution (à partir d’une gomme mélangée à l’eau) • Son opacité liée à une plus grande densité de liant et de charge couvrante, la différencie de l’aquarelle. • Elle donne des à plats plus riches, mais contrairement à ce qu’en dit la chanson de Boby Lapointe, c’est une technique assez difficile.

  3. Fabrication et origine Deux liants possibles La gomme arabique provient d’un arbre de la famille des acacias. On peut aussi utiliser des gommes de fruitiers. Le liant méthylcellulosique aurait été le plus utilisé. Certains fabricants l'on même évoqué comme liant "traditionnel" de la gouache, ce qui est moins que jamais une information confirmée. Ce liant est disponible dans le commerce à l'état pulvérulent, beau comme une neige fraîche (voir photo ci-contre), et doit être adjoint, pour pouvoir être mêlé aux pigments, à de l'eau distillée et éventuellement à un agent conservateur. La glycérine serait souvent employée par les fabricants comme assouplissant et/ou comme retardateur de séchage. En savoir plus

  4. Recettes • Une première recette à l’aide de la gomme arabique • Un liant : 30 %de gomme ara­bique, bien que certains fabricants utilisent plutôt la dextrine. C'est une possibilité, mais, pour obtenir une peinture de consistance égale, il faudra plus de dextrine que de gomme. • Des pigments en poudre. • Un précipité de craie, qui déterminera la consistance de la peinture et son opacité. • De la glycérine : environ 5 % du poids total de la préparation. Elle servira d'agent plastifiant et humectant. • Un agent conservateur (une ou deux gouttes). • Un agent humectant (une ou deux gouttes de fiel de bœuf par exemple), nécessaire seulement s'il faut améliorer la qualité du lavis produit. • Il n'existe pas de formule absolue définissant quelle proportion de • La méthode à suivre • Broyez le pigment avec la solu­tion de gomme arabique. Si nécessaire, ajoutez de l'eau distillée pour faciliter le broyage. • Incorporez le précipité de craie jusqu'à obtention de l'intensité de couleur désirée. Mélangez bien et broyez. • Ajoutez la glycérine et mélangez convenablement. Incorporez en­suite quelques gouttes d'agent humectant (si nécessaire), puis quelques gouttes d'agent conser­vateur. • Ray Smith, Le manuel de l’artiste. Ed. Bordas et http://www.dotapea.com/gommearabaquar.htm

  5. Cours de dessin - Isabelle Labat - Fabriquer sa gouache http://www.youtube.com/watch?v=bBE8H4BRUNs

  6. Liant utilisé avec les pigments pour concevoir les gouaches traditionnelles. S’utilise également comme agent d'empâtement avant la préparation des couleurs vinyliques, des acryliques et des tempéras. Proportion pour une solution de base conseillée: 125 g de liant pour 3 litres d’eau, bien agiter. Ajouter 0,1 % d’agent conservateur. Voir aussi Il s’agit en fait d’une sorte de colle à papier peint dont les qualités de fabrication, à base de cellulose, lui confèrent la qualité de liant.

  7. Méthode • Un papier de grammage fort (+ 180 gr) est préférable ; je conseille le mi-teinte coloré sombre. • Une toile de coton, encollée et enduite de gesso légère de façon à bien accrocher la peinture. • Des pinceaux adaptés à votre travail et de l’eau en quantité (une bouteille d’eau de réserve toujours propre) et un verre pour le travail. • Si l’on fait un dessin préparatoire au crayon, prendre du HB . Il n’ya pas trop de risques de voir le crayon sous la peinture car la gouache est plus couvrante que l’aquarelle • Bien observer votre sujet et repérer les zones d’à plats dominantes en pensant aux couleurs de fond (réserves). • Ne cherchez pas les détails, ils viendront seulement à la fin. • Essayez vos couleurs sur un papier d’essai (en atelier) ou sur un coin du papier qui sera le plus sombre (en extérieur). Attention la gouache perd de sa vivacité en séchant. • Pensez aux choix techniques (aquarelle humide = ciel, eau, ombres portées, etc.) et aquarelle sur papier sec pour les détails (ombres propres des sujets précis). • Utilisez pas de couleur blanche pour adoucir les tons et dégrader les couleurs trop vives. De même, préférez une couleur composée des couleurs déjà utilisées pour créer les sombres. (Bleu outre mer + sienne brûlée ou ombre calcinée) • Pensez à attendre que la couleur soit sèche avant d’appliquer une autre couche ou un glacis à l’aquarelle. • Ayez un mouchoir en papier (ou un Sopalin) propre pour essuyer les pinceaux. • Pensez à arrêter les couleurs de fond en passant une légère couche de colle vinylique (caparol).

  8. Il est bien sûr possible de mélanger toutes les techniques à la détrempe Ainsi un fond acrylique ou à la peintue à l’œuf, sera une source de stabilité pour appliquer la gouache qui ne se mélangera pas avec la couleur de fond. Enfin, avec un pinceau très souple, il sera possible de réaliser des glacis à l’aquarelle.

  9. Il n’y a pas de pinceaux spécifiques à la peinture à la gouache. Toutefois, les pinceaux à lavis de l’aquarelle ne sont pas très utiles pour cette technique d’à plats. Les ronds,les plats la différence réside dans la virole.

  10. Différents conditionnements La gouache, comme le pastel et l’aquarelle, est d’autant plus chère qu’elle renferme une grande proportion de pigment et des pigments de qualité.

  11. La gouache sur toile Peinture tibétaine : Toile préparée et prête sur son châssis.

  12. La gouache sur toile Peinture tibétaine : Un livre clé : La peiture tibétaine de D & J Jackson Editions peuples du monde.

  13. Technique : On remarque sur cette illustration indienne sur coton, le traitement particulier de l’application de la peinture à la gouache.

  14. Technique : Le fond sombre permet de créer une impression lumineuse que la gouache à du mal à fournir. Les couleurs claires se déposent ensuite sur les couleurs sombres. Les tons sont préparés à l‘avance et non mélangés sur le tissus. Les dégradés s’obtiennent par superposition des tons sombres et non par dilution de la couleur.

  15. Sur papier Autre exemple à partir d’une miniature moghole. Gouache sur papier. Vers 1720.

  16. Sur papier Autre exemple à partir d’une miniature moghole. Gouache sur papier. Vers 1720.

  17. LA GOUACHE DE GRAND FORMAT Les dessins (1876-1888) de l'Anglais Edward Burne-Jones (1833-1898), évoquant les exploits de Persée, sont des oeuvres de très grand format, traitées à la gouache sur du papier teinté bien tendu. Nous avons affaire ici à un bel exemple de gouache poussée très loin dans la finition. La qualité mate de la surface peinte donne au tableau une spontanéité qui est renforcée par la vigueur et l'expression des coups de pinceaux. L'accomplissement du tragique destin, Edward Burne-Jones, 1876-1888. Le manuel de l’artiste, Ray Smith ed. Bordas.

  18. Exemples occidentaux Picasso, gouache. 1904

  19. Exemples occidentaux Miro

  20. Exemples occidentaux Marc Chagall 1936 – Albertina Vienne

  21. C’est pas sorcier : la peinture 1

  22. C’est pas sorcier : la peinture 2

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