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Le L-M-D

Le L-M-D. Construction de l’Espace Européen de l’Enseignement S upérieur. Version annotée et modifiée (couleur BLEUE), proposée par plusieurs enseignants de PARISXII (diaporama mis à jour le 20 juin 2003) G. Lauton. Le L-M-D. Objectifs

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Presentation Transcript


  1. Le L-M-D Construction de l’Espace Européen de l’Enseignement Supérieur Version annotée et modifiée (couleur BLEUE), proposée par plusieurs enseignants de PARISXII (diaporama mis à jour le 20 juin 2003) G. Lauton.

  2. Le L-M-D • Objectifs • participer à la construction de l'espace européen de l'enseignement supérieur : assurer une véritable lisibilité de l'architecture de l'enseignement supérieur fondée sur les 3 grades LMD • Faciliter la mobilité nationale et internationale • innover par l'organisation de nouvelles formations plus attractives et de qualité • Parcours de formation • construits sur des objectifs métiers • parcours facilitant les réorientations par des passerelles • des parcours nouveaux construits pour répondre : • aux demandes du marché de l’emploi et s’appuyant sur des compétences locales • Aux attentes de publics étudiants diversifiés, notamment ceux attirés par les sciences appliquées et la technologie. • Construire et non « habiller l’existant»

  3. Description du dispositif - Généralités MASTER DOCTORAT - Les dispositions nationales - • une architecture des études fondée sur les 3 grades : • (mais avec délivrance du DEUG et de la Maîtrise) LICENCE • une organisation des formations en semestres et en unités d’enseignement (U.E.) • la mise en œuvre du système européen de crédits capitalisables et transférables dit « système européen de crédits ECTS » • la mise en œuvre, en cas de mobilité internationale, d’une annexe descriptive au diplôme (dite « supplément au diplôme »)afin d’assurer la lisibilité des connaissances et aptitudes acquises

  4. Description du dispositif crédits DOCTORAT 300 PROFESSIONNEL RECHERCHE Diplôme intermédiaire MAITRISE MASTER VIE ACTIVE 180 LICENCE Diplôme intermédiaire DEUG BAC

  5. Liberté de choix • Profiter de la souplesse des textes pour créer des formations originales et diversifiées tout en évitant une trop grande dispersion. • Mettre en place des enseignements d'ouverture: • Pré-professionnalisation, professionnalisation, stages, projets (PRO) • Méthodologie universitaire et disciplinaire, communication, langues vivantes • Favoriser la multidisciplinarité • Mettre en place des équipes de formation et définir leurs domaines de responsabilité

  6. Les avantages du « L M D » : • Une meilleure lisibilité des formations universitaires • Aide à la mobilité des étudiants au niveau européen • Nombreux parcours individuels possibles • Renforcement du rôle fondamental des équipes de formation • Professionnalisation facilitée par les modules« PROJETS », des stages, sans que les parcours soient nécessairement identifiés « professionnels » (CDUS) • Professionnalisation facilitée par la prise en compte de la finalité dans les contenus dés le début de S1 (notamment pour une mention « Sciences pour l’Ingénieur-Technologie », en abrégé : « SPIT »)

  7. Les points qui restent à éclaircir • - Le choix des domaines de formation : (Dans le secteur scientifique la CDUS propose une seule dénomination : Licence et master en « Sciences et technologies » • -L’intégration des DUT et des IUP dans ce système de formation dans le respect de leurs savoirs-faire et de leur originalité pédagogique • (En sciences et technologies, la CDUS et la CPU proposent un glissement du dispositif IUP. Les parcours IUP, construits sur 6 semestres, conduiront ainsi au master  professionnel. La dénomination « IUP » sera mentionnée lors de la délivrance du diplôme du master) • Quid des cursus originaux offerts en IUP à bac+1? • Le mode de financement des formations.

  8. Organisation . Etaler la formation semestrielle sur 13 semaines . Conserver, à 10% près, le temps de présence actuel des enseignants devant les étudiants, mais prévoir une charge horaire augmentée compte tenu (a) des mises à niveau nécessaires selon les besoins des différents publics (b) d’un regain d’enseignements pratiques et technologiques dés (S1) et jusqu’à (S6) . Eviter le morcellement des enseignements (limiter à 4 ou 5 le nombre d’unités d’enseignement par semestre) . Veiller à diminuer le nombre d’épreuves dans le contrôle des connaissances

  9. La licence de sciences et technologies.

  10. - Le cursus licence Le diplôme de licence sanctionne des parcours types comprenant une voie à finalité « insertion professionnelle » débouchant sur une licence professionnelle une voie à finalité « poursuite d’études » débouchant sur une licence « généraliste » préparantun master une voie à finalité « poursuite d’études » et « insertion professionnelle » débouchant sur une licence (Ex. : SPIT)

  11. En licence: les fondamentaux, l’expérimentation et les stages. • Conserver un caractère très « généraliste » aux deux (ou trois) premiers semestres qui doivent concerner les enseignements fondamentaux • Offrir en « SPIT » dés S1 et jusqu’à S6 des contenus procédant des 3 volets « sciences appliquées », « technologie » et « éléments culturels » • Développer la partie expérimentale dans les parcours de formation • Intégrer un stage (en laboratoire ou en milieu professionnel) dans chaque parcours conduisant au diplôme de licence. • Permettre un libre choix (de l’ordre de 10% (20% en SPIT) d’enseignements proposés au niveau de l’université)

  12. Les IUT et la licence: un constat • DUT: 1. Les professionnels estiment qu’actuellement le diplôme « DUT » doit être maintenu en une formation en deux ans 2. Plus de 60% des étudiants poursuivent leurs études après un DUT. Un grand nombre accèdent à bac+4, une partie à bac+5, quelques uns sont nos Allocataires de Recherche. • Entrée à l’université: l’orientation actuelle des étudiants est très majoritairement liée aux critères de recrutement (sélection,…). Plutôt à la finalité visible et à l’assurance d’un diplôme reconnu bac+2 • licence professionnelle:50% des licences professionnelles sont portées par les UFR, 50% par les IUT. Peu de licences professionnelles sont portées par des équipes mixtes UFR-IUT. • Certains IUT proposent actuellement des « licences à champ large » en 6 semestres

  13. Pour une orientation positive • Dans tous les parcours mettre systématiquement en place la construction d’un projet personnel et professionnel (PPP). Oui ! • Organiser cette construction du PPP au cours des deux, voire des trois, premiers semestres. • La fin du semestre 2 deviendrait un moment naturel d’orientation entre: • un parcours de formation professionnelle court (PC), • un parcours de formation professionnelle moyen (PM), • un parcours de formation professionnelle long (PL). • La part des étudiants ayant fait un choix résolu et adapté à leurs aptitudes est importante. Ne pas présenter la voie professionnelle comme faite pour ceux qui échouent dans le volet fondamental.

  14. Propositions de la CDUS pour l ’organisation des parcours en liaison avec les IUT. • Un principe d ’équité:"Les parcours de formation ayant les mêmes objectifs doivent avoir les mêmes moyens et les mêmes méthodes de régulation des flux. Il serait à fortiori encore plus scandaleux que deux diplômes identiques aient des modalités différentes selon les structures porteuses«  • Il faut demander, avec l’aide de la CDUS, un H/E adapté à des cursus de sciences et technologies, du type IUT ou IUP, et non exiger un nivellement de tous par le bas … • Conception-mise en œuvre en commun UFR et IUT. • Au sein du domaine « sciences et technologies »: une équipe de formation unique et mixte UFR-IUT (complétée par des équipes pédagogiques liées au parcours, certaines étant UFR, d’autres IUT, d’autres mixtes) à négocier • Rôle de l’équipe de formation: - suivi, contrôle des connaissances, évaluation. - gestion des flux: sélection, orientation, PPP, adaptation personnalisée des parcours (remise à niveau,…) Sélection?

  15. Propositions pour l ’organisation des parcours (suite) : • Choix d’études PC/P(M ou L) après le baccalauréat et pouvant être confirmé ou modifié après le semestre 2 (sauf exception). • Des possibilités de modules échangeables entre IUT et UFR pour les étudiants souhaitant organiser progressivement leur orientation. Peu réaliste ! • Les orientations progressives devraient avoir pour conséquence une véritable insertion professionnelle après le DUT et après la licence professionnelle et donc un très faible nombre de poursuites d’études immédiates après ces diplômes. Verrouillage … • Une meilleure organisation des poursuites d’études différées. • Avons-nous qualité pour enfermer l’avenir des diplômés DUT dans ce choix binaire et peu adapté?

  16. CAPES,MASTER… SCHEMA LISIBILITÉ ?!? METIERS PL PM Renforcement des fondamentaux. Formation de l ’ordre de 300 heures par semestre. Semestre 5 Semestre 5 Renforcement de la professionnalisation METIERS Semestre 4 Sem. 4 Semestre 4 PC Semestre 3 Sem. 3 Semestre 3 Sem. 3 Semestre 2 Semestre 2 Semestre 1 Semestre 1 Voies d’orientations naturelles Échanges de modules Insertion professionnelle Poursuites d’études différées BAC

  17. CAPES,MASTER… SCHEMA PUREMENT CDUS UFR METIERS PL PM UFRet/ou IUT Semestre 5 Semestre 5 IUT METIERS Semestre 4 Sem. 4 Semestre 4 PC Semestre 3 Sem. 3 Semestre 3 Sem. 3 Semestre 2 Semestre 2 Semestre 1 Semestre 1 Voies d’orientations naturelles En IUT : ;;;;;;;;;;;;;;;;;;DUT En UFR: Licence Insertion professionnelle Poursuites d’études différées BAC

  18. Progression dans un parcours licence « généraliste » et la technologie? • Tout licencié « S & T » mention « marbre » de l’Université X doit avoir les mêmes compétences et les mêmes savoirs qu’un licencié « sciences et technologies » mention « marbre » des autres universités. • Les parcours  en licence « S & T » doivent s’appuyer sur des bases (ossature) solides et générales permettant des réorientations. Colorer les contenus selon la spécialité ! • Le niveau L1 doit permettre à l’étudiant de préciser son projet personnel et professionnel et doit permettre tout type d’orientation (pls disciplines). • Le niveau L2 colore la mention (voire 2 mentions) et permet des réorientations • Le niveau L3 définit la mention et la spécialité. • Cette séquence ne convient pas à tous les publics ni à toutes les finalités, notamment en Licence SPIT

  19. Progression dans un parcours licence. S6 • LST mention « marbre » S5 S4 S3 S2 S1

  20. Sciences Appliquées Sciences Appliquées Sciences Appliquées Sciences Appliquées Sciences Appliquées CM+TD+TP+TER +Projet+Stage Sciences Appliquées Technologie Math Info Méca Phys. Chim. Bio. G.Proc. Technologie Technologie Technologie Technologie Technologie Éléments Culturels Éléments Culturels Éléments Culturels Éléments Culturels Éléments Culturels Éléments Culturels Expr. Langue(s) Viv. Bureautique Sport Progression dans un parcours licence. S6 • LST mention « SPIT » : Sciences Appl. & Techn. dés S1 S5 S4 S3 S2 S1

  21. Construction d’un parcours licence. • Définir les objectifs par parcours (métiers, poursuites d’études,…) • Préciser les compétences attendues en fin de parcours. • Décliner les connaissances à acquérir. • En déduire les contenus scientifiques. • Décliner ces contenus sur six semestres avec une spécialisation progressive facilitant les réorientations. • Décliner les contenus sur 6 semestres en offrant, selon la finalité, notamment en « SPIT », des sciences appliquées et de la technologie dés le semestre S1, de façon à répondre aux attentes des étudiants attirés par ces contenus. Sinon, on les condamne à 2 ans de « solfège » avant de pouvoir toucher à « l’instrument », ce qui n’est pas une séquence favorable à la réussite !

  22. Licence : quel éventail de Mentions? • quel bilan des actuels cursus? • quel référentiel de métiers? Quelles attentes des étudiants et de la profession? • quel inventaire des compétences toutes composantes réunies? • quelles propositions concrètes venant des labos et départements? Notamment : Physique-Mathématiques, « SPIT »

  23. Licence Mention « Sciences pour l’Ingénieur – Technologie » : Quelles Spécialités ? • Source IUP : G.E.I.I., G.S.I., S.I.A.L. • Technologie Mécanique ™ • Source STPI : Biotechnologies, Mécatronique • Source Potentiel Recherche et IUT : Génie des Procédés, MécaThermique, Métrologie, Contrôle-Qualité, Traitement de l’eau, etc

  24. Le master de sciences et technologies.

  25. - Le cursus master Le diplôme de master sanctionne des parcours types comprenant une voie à finalité recherche débouchant sur un master recherche une voie à finalité professionnelle débouchant sur un master professionnel

  26. En master: une identification de l’Université. • Tout master qu’il soit « professionnel » ou « recherche » doit s’appuyer sur les compétences scientifiques des enseignants-chercheurs des laboratoires de l’université. • Eviter une spécialisation trop marquée. Faciliter les voies d’échanges entre master « pro. » et master « recherche ». Ne pas perdre l’attractivité qui a fait le succès des DESS, grâce à des contenus spécialisés « high-tech » • Construire les parcours master recherche et professionnel en fonction du potentiel des laboratoires de recherche et en liaison avec les écoles doctorales. Et les partenaires industriels?

  27. L’équipe de formation du master en « sciences et technologies ». • Une équipe unique pour l’ensemble du master « sciences et technologies ». Quelle pertinence et quelles implications de ce choix d’équipe unique? • Elle comprendra: des représentants des parcours « masters » recherche et professionnel, les directeurs d’écoles doctorales concernées. • Son rôle est d’assurer le suivi des parcours (contrôle de connaissances, évaluation, suivi des étudiants…), et de veiller à l’orientation des étudiants, en particulier entre master recherche et master professionnel. L’équipe assure le suivi de la gestion des flux: orientation, sélection.

  28. Trois schémas possibles MP MR MP MR MP MR M2 M1 LICENCE LICENCE LICENCE MR MP = Master   professionnel = Master   recherche Arrêté du 25 avril 2002 relatif aux études doctorales: Le volume horaire des enseignements est plafonné à 160 heures pour le DEA et pour la période correspondante du master recherche.

  29. Domaine sciences et technologies • Définir les objectifs par parcours (métiers, poursuites d’études,…) • Préciser les compétences attendues en fin de parcours. • Décliner les connaissances à acquérir. • En déduire les contenus scientifiques. • Décliner ces contenus sur deux semestres • CONSTRUCTION, comme en licence:

  30. Domaine sciences et technologies • CONSTRUCTION (suite): • La cohérence des flux licence-master doit être établie. Vague? • Les équipes de recherche reconnues doivent être identifiées en appui des mentions proposées. Ainsi que le potentiel d’intervention en termes d’enseignants-chercheurs et chercheurs (avec prise en compte des HDR, des PEDR…). • De plus, pour les masters professionnels, doit être précisé le degré d’intervention du milieu socio-professionnel concerné ( A exclure: les « professionnels de l’intervention ») • Expertise interne: • Une équipe de pilotage peut être chargée d’examiner la cohérence et la lisibilité de l’ensemble des masters « sciences et technologies » de l ’établissement. • Les remarques faites par cette équipe sont communiquées aux porteurs de projets, aux directeurs des écoles doctorales du domaine, et aux directeurs de laboratoires pour avis.

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