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2 nd TEMPS FORT 17 mars 2009

2 nd TEMPS FORT 17 mars 2009. ETATS GENERAUX DE LA PSYCHIATRIE ET DE LA SANTE MENTALE EN REGION POITOU-CHARENTES. GROUPE 1. Lien Médecin Généraliste, Psychiatre Libéral et structure hospitalière. Action 1 : ACCESSIBILITE DU PSYCHIATRE En libéral : 1 er rendez-vous sous 10 jours

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2 nd TEMPS FORT 17 mars 2009

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Presentation Transcript


  1. 2nd TEMPS FORT 17 mars 2009 ETATS GENERAUX DE LA PSYCHIATRIE ET DE LA SANTE MENTALE EN REGION POITOU-CHARENTES

  2. GROUPE 1 Lien Médecin Généraliste, Psychiatre Libéral et structure hospitalière

  3. Action 1 : ACCESSIBILITE DU PSYCHIATRE En libéral : 1er rendez-vous sous 10 jours A l’hôpital : une plateforme téléphonique avec un numéro unique, une unité psychiatrique d’ accueil de crise …/…

  4. Action 1 : ACCESSIBILITE DU PSYCHIATRE Favoriser auprès des psychiatres libéraux l’aménagement de plages horaires dans leur emploi du temps, pour répondre aux demandes d’avis des confrères généralisteset/ou aux demandes de premières consultations Un délai de 10 jours serait optimum

  5. Action 1 : ACCESSIBILITE DU PSYCHIATRE Une plateforme de santé mentale

  6. Action 1 : ACCESSIBILITE DU PSYCHIATRE A l’hôpital, favoriser la création d’une plateforme transversale par territoire de santé à laquelle se rattachent: -un numéro de téléphone unique (diffusé à tous les professionnels de santé et aux associations de malades) par lequel un personnel de santé mentale est joignable 24h/24 et en capacité d’orienter rapidement l’appelant (médecin ou patient) -une unité psychiatrique d’accueil et de crise (accueil ambulatoire ou en résidence de quelques jours avant réorientation vers les services hospitaliers ou les consultations à l’hôpital ou en libéral)

  7. Action 2 : le généraliste Améliorer la détection et le traitement Orienter au bon moment S’informer et se former …/…

  8. Action 2 : le généraliste -Systématiser l’usage de grilles simples et pratiques d’évaluation psychopathologique (cf.: test TSTS-Cafard) -Disposer d’un « kit psy » contenant : le numéro unique de la plateforme joignable 24h/24, un courrier type, les modèles de certificats d’hospitalisation, un mémo traitement médicamenteux d’urgence

  9. Action 2 : le généraliste -Sortir de l’isolement professionnel en participant à des réseaux, des groupes de pairs, des groupes de qualité autour de la santé mentale -la participation du médecin devrait permettre de valider des points FMC ou EPP

  10. Action 2 : le généraliste Envisager, par territoire de santé, des actions concertées sur les pathologies psychiatriques les plus fréquemment rencontrées en médecine générale (source: société française de médecine générale): troubles du sommeil, troubles anxieux, dépression, conduites addictives

  11. Action 3 : les autres professionnels Les infirmiers libéraux en réseau type ASALE La formation des infirmiers en psychiatrie Les psychologues libéraux (un vaste sujet) Les psychologues hospitaliers trop peu nombreux

  12. Action 3 : les autres professionnels Développer un réseau ASALE version santé mentale où des infirmiers libéraux motivés par la prise en compte de la souffrance morale, des psychologues libéraux et des infirmiers des secteurs psychiatriques pourraient être sollicités par les MG pour visiter ou recevoir des patients, explorer l’évolution de leurs symptômes, les écouter, les encourager à l’observance de leur traitement, les sensibiliser à l’intérêt d’une démarche psychothérapique ou de consultation psychiatrique

  13. Action 3 : les autres professionnels Concernant la formation des infirmiers en psychiatrie, au-delà des systèmes de tutorat déjà en place, une qualification reconnue de leur compétence en psychiatrie passe par un stage minimum obligatoire de 6 mois sur le terrain ( services hospitaliers, CMP ) à la rencontre de la souffrance psychologique et de la problématique de la relation thérapeutique

  14. Action 3 : les autres professionnels Les psychologues: -à l’hôpital des postes sont à créer dans lesquels le psychologue est un des acteurs des orientations de soins du service dans lequel il évolue -en libéral un dispositif permettant un remboursement des soins psychologiques, au même titre que les orthophonistes ou les kinés, serait de nature à répondre à une demande de soins en inflation. Une condition sine qua non: que les psychologues libéraux acceptent une logique de soins et donc de prescription -avec les mêmes conditions, favoriser leur implantation auprès des MG dans les maisons de santé

  15. GROUPE « Liens entre structures hopitalières, sociales et médico-sociales »

  16. Actions : Action 1: Mettre en place un cadre de concertation et de coopération adapté Action 2 : Evaluer la capacité des CMP à exercer leur rôle de partenaire de proximité Action 3 : Faciliter l’élaboration et le suivi des projets de soins et de vie par une coordination des interventions et une répartition homogène d’une offre sociale et médico-sociale régionale diversifiée

  17. conforter le rôle de la CRCSM mettre en place des instances de concertation et de régulation sur chaque territoire de santé formaliser des conventions cadres et de coopération conduire une expérimentation de prise en charge en réseau pour les troubles psychotiques élaborer un annuaire des partenaires Action 1 «Mettre en place un cadre de concertation et de coopération adapté»

  18. Problématiques et enjeux en termes de : Lisibilité  Mieux articuler, synchroniser les démarches de planification et de programmation ; rôle de la Commission Régionale Consultative de Santé Mentale : développement des coopérations, formations régionales, édition d’une note de recommandations  Mieux connaître les différents professionnels : repertoire numérique Complémentarité  Relayer avec une instance de concertation institutionnelle au niveau du territoire de santé, mise en œuvre des recommandations régionales, mais aussi initiatives et propositions, démarches de projets locaux  Cloisonnement dans la prise en charge d’un jeune enfant en psychiatrie infanto juvénile préjudiciable à la nécessaire interaction soin/éducatif/pédagogique ; une attention à porter pour les plus jeunes enfants : traitement prioritaire de la MDPH Action 1 «Mettre en place un cadre de concertation et de coopération adapté»

  19. Action 1 «Mettre en place un cadre de concertation et de coopération adapté» Accessibilité et continuité  Désarroi des travailleurs sociaux pour entrer en contact avec professionnels de la psychiatrie  Méconnaissance des acteurs  Souhaitable d’encourager les relations entre institutions et les familles : groupes de familles, aide et soins aux familles  Analyse en Vienne pour certains malades psychotiques avec souhait d’un réseau pour la prise en charge à la sortie de l’hôpital : projet association réseau ISESAM 86

  20. Modalités d’organisation Communication élargie de la note de recommandations de la CRSCM  Concertation au niveau territoire de santé (co-piloté ARS - PCG)  Mise en place d’un groupe ressources « petite enfance » (UD ARS)  Développer la clinique de concertation à partir du CMP de secteur : soutien méthodologique pour l ’analyse de la pratique; méthode transposable aux ados, aux adultes, à la petite enfance  Rédaction de trois types de conventions cadres engageant l’établissement de soins psychiatriques   Conduire une expérimentation de réseau santé mentale en Vienne.  Mettre en place une base de données informatisée réalisée en concertation avec les conseils généraux, hébergée par l’ARS Action 1 «Mettre en place un cadre de concertation et de coopération adapté»

  21. Action 1 «Mettre en place un cadre de concertation et de coopération adapté» Indicateurs Niveau de mise en œuvre des recommandations CRCSM Nombre de conventions signées Nombre de situations examinées par les groupes ressources petite enfance et la clinique de concertation Evaluation de l’expérimentation de réseau ISESAM : coût/avantage et étude d’impact sur les troubles psychotiques en Vienne.

  22. Action 2 « Evaluer la capacité des CMP à exercer leur rôle de partenaire de proximité »  Communiquer sur les interventions du CMP  Etudier implantation et organisation des CMP  Evaluer la prise en charge ambulatoire des patients

  23. Action 2 « Evaluer la capacité des CMP à exercer leur rôle de partenaire de proximité » • Problématiques et enjeux en termes de : • Lisibilité •  Faire connaître les missions des CMP : • avec des supports de communication • avec des animations spécifiques : journées portes ouvertes, journées thématiques • Accessibilité •  Présence par bassin de vie : au moins un CMP pivot par pays et des antennes •  Adapter et étendre horaires et jours d’ouverture

  24. Action 2 « Evaluer la capacité des CMP à exercer leur rôle de partenaire de proximité » Continuité  Identifier des référents  Suivre les patients pris en charge dans les structures sociales ou médico-sociales  Officialiser le suivi dans le cadre de conventions Complémentarité  CMP centrés sur les soins spécialisés pluridisciplinaires du handicap psychique  Présence des assistants sociaux pour faciliter l’accès des acteurs sociaux, médico-sociaux aux CMP  Enseignement professionnel CMP dans les IRTS et écoles para-médicales  Formations communes pour les partenaires de terrain

  25. Action 2 « Evaluer la capacité des CMP à exercer leur rôle de partenaire de proximité » • Modalités d’organisation • Implanter un CMP par bassin de vie, à partir d’une cartographie des CMP et des antennes, et plan de communication spécifique • Contractualisations établissement sanitaire CMP/ structures sociales et médico-sociales, et désignation de référents • Diversification des compétences au sein d’un CMP avec une taille critique • Organiser des temps de rencontres et de formation à l’initiative du CMP • Prévoir un temps d’évaluation régionale spécifique sur la prise en charge ambulatoire des patients (proposition Evaluation des Pratiques Professionnelles) • Etudier la participation des établissements sanitaires régionaux à une proposition de chantier de la MEAH sur l’organisation des CMP.

  26. Action 2« Evaluer la capacité des CMP à exercer leur rôle de partenaire de proximité » Indicateurs • La démarche peut s’appuyer sur des indicateurs de la MEAH cf rapport en 2008 « l’organisation des CMP » • Exemples d’indicateurs : • -% de la file active suivie en ambulatoire, • -% des effectifs soignants sur l’ambulatoire, • -délais de réponse, (en formulant précisément le niveau de réponse attendu) • -enquête de satisfaction des partenaires • Nombre de contrats signés (dont protocole SAMSAH/CMP) • Nombre de personnes formées

  27. Action 3 « Faciliter l’élaboration et le suivi des projets de soins et de vie par une coordination des interventions et une répartition homogène d’une offre sociale et médico-sociale régionale diversifiée » Produire une étude régionale des besoins associant Etat / ARH / Conseils généraux en vue d’identifier les besoins spécifiques du handicap psychique Rédiger des protocoles types précisant le niveau d’intervention et les modalités de coordination de la prise en charge autour de l’usager

  28. Action 3 « Faciliter l’élaboration et le suivi des projets de soins et de vie par une coordination des interventions et une répartition homogène d’une offre sociale et médico-sociale régionale diversifiée » • Problématiques et enjeux en termes de : • Lisibilité • Rôle de la MDPH dans l’élaboration du projet de vie • En matière de handicap psychique, projet de soins : une composante importante • Carence de la planification : PRIAC certes mais différent pour le social • Accessibilité • Cohabitation difficile avec d’autres formes de handicap • Prévoir en amont et en aval de l’hospitalisation : SAMSAH, SAVS, GEM, maisons relais, familles gouvernantes, ESAT • Privilégier la spécialisation des établissements ou d’une de leur section pour ce public particulier : ESAT pour handicapés psychiques, SAMSAH hand-psy, FAM, MAS hand-psy avec nombre de professionnels formés à la psychiatrie plus élevé

  29. Action 3 « Faciliter l’élaboration et le suivi des projets de soins et de vie par une coordination des interventions et une répartition homogène d’une offre sociale et médico-sociale régionale diversifiée » • Continuité • Le rôle des SAMSAH en matière de coordination des interventions • Non substitution aux professionnels du champ psychiatrique • Faciliter l’articulation entre l’intra et l’extra-hospitalier • Complémentarité • Utilité d’associer les CMP à l’évaluation de la MDPH, et contribution à la construction du projet de vie • Préconiser la rédaction de protocoles de collaboration entre SAMSAH, équipes de secteur, équipes mobiles de psychiatrie • Les caractéristiques intéressantes du SAMSAH • MAS et FAM hand-psy : préserver une identité professionnelle médico- sociale au sein du projet de l’établissement

  30. Action 3 « Faciliter l’élaboration et le suivi des projets de soins et de vie par une coordination des interventions et une répartition homogène d’une offre sociale et médico-sociale régionale diversifiée » • Modalités d’organisation • un groupe de travail régional co-piloté DRJSCS/ARS/Département pour : -préciser les modalités de coordination des interventions autour de la personne handicapée psychique (protocole ) -recenser les équipements existants et l’offre souhaitable sur chaque territoire de santé, tenant compte des moyens disponibles pour le handicap psychique • actualiser le PRIAC pour tenir compte des orientations propres à ce handicap • Indicateurs • rédaction de protocoles • production de l’étude de besoins (incluant enquête un jour donné, inadéquations MDPH) • nombre de places créées pour le handicap psychique sur la région

  31. GROUPE « Prise en charge et accompagnements des adolescents»

  32. Actions (Priorisées ): Action 1 Repérage des adolescents en difficulté dans les services d ’urgence Action 2 Maison des adolescents et mise en place de réseaux de santé adolescents Action 3 Améliorer la prise en charge des adolescents autistes Action 4 Développer l ’évaluation et le soin des adolescents auteurs d’abus sexuels Action 5 Renforcer la compétence des enseignants dans leurs relations aux adolescents en difficulté

  33. Action 1: «  Repérage des adolescents en difficulté dans les services d ’urgence» Mieux identifier les adolescents qui fréquentent de façon répétée les urgences (traumatismes à répétition, somatisations multiples, situations de crise….)

  34. Action 1: «  Repérer les adolescents en difficulté dans les services d ’urgence » Identifier la classe d ’âge des 12-18 ans Proposer une évaluation médico-psychologique Travail de lien avec les réseaux de proximité Moyens : 1 ETP psychologue/infirmier par service d ’urgence

  35. Action 2 : «  Maison des adolescents et mise en place de réseaux de santé adolescents» Créer une MDA dans chaque département A partir de la MDA, développer les actions : - Réseaux adolescents départementaux (Mise en lien des réseaux de proximité et organisations d ’équipes itinérantes en milieu rural) - Ressources itinérantes d’information, de prévention et d ’éducation pour la santé (Bus..)

  36. Action 2 : «  Créer une Maison des adolescents et mettre en place des réseaux de santé adolescents  » - Espace de formations inter-professionnelles et inter-institutionnelles Moyens : Pluridisciplinarité en personnel Co-financements

  37. Action 3-1 : «  Améliorer la réadaptation et l ’intégration sociale des jeunes autistes sans déficit intellectuel » Adolescents autistes de bon niveau (Asperger) Création d ’un SESSAD spécifique adossé à une unité de soins

  38. Action 3-2 : «  Améliorer l ’accueil et l ’hospitalisation des jeunes autistes en situation de crise» En concertation avec le CRA, créer 4 à 5 places d ’accueil/hospitalisation dans chaque département

  39. Action 4 : «  Développer l ’évaluation et le soin des adolescents auteurs d’abus sexuels » Population visée : les mineurs auteurs d ’abus sexuels Evaluations, prises en charge, soins en pré ou post sentenciel

  40. Action 4 : «  Développer l ’évaluation et le soin des adolescents auteurs d’abus sexuels» Une équipe de soins départementale dédiée (médecins, psychologues, infirmiers, secrétariat) Objectif : diminuer le risque de récidive

  41. Action 5 : «  Renforcer la compétence des enseignants dans leurs relations aux adolescents en difficulté » Construire et diffuser avec les équipes ressource (santé scolaire)des protocoles d ’évaluation interne et de prise en charge concertée des situations de souffrance psychique

  42. Action 5 : «  Renforcer la compétence des enseignants dans leurs relations aux adolescents en difficulté » Soutenir les actions de formation et renforcer le partenariat avec les équipes spécialisées (MDA et autres réseaux de proximité) Soutenir la création d ’un internat de collège par territoire de santé avec des moyens spécifiques

  43. GROUPE Prise en charge des personnes âgées présentant des Troubles psychiatriques

  44. Action 1: Concerne les PA psychiatriques vieillissantes Idée : Admission dans un EHPAD avec orientation psychiatrique Nécessité : - de convention avec EHPAD et services de psychiatrie , - de convention avec CMP , - d’élaboration d’un projet de vie spécifique , - de formation des personnels , - mise en place de protocoles thérapeutiques en face de situations de crise

  45. Action 2 : Concerne les PA sans atcd psychiatrique et qui décompensent sur le plan psychiatrique Accessibilité à une consultation d’évaluation géronto-psychiatriaque Consultation éventuellement complétée par une hospitalisation de jour pour évaluation Consultation adossée à un service de gériatrie Nécessité de formation des personnels , présence de psychologues avec compétences en neuro-psychologie Délégation de compétences pour réalisations de tests cognitifs

  46. Action 3 :Concerne les PA souffrant de pathologies démentielles Patient adressé soit à une consultation NPG , soit à un service de géronto-psychiatrique Nécessité d’une équipe mobile psycho-gériatrique Réalisation de bilan Nécessité de personnel formé à la psychiatrie et gériatrie Délégation de compétences aux Ide , neuropsychologues …

  47. Les problématiques et les enjeux: Reconnaissance de la psychogériatie et gérontopsychiatrie Formation des médecins traitants , valorisation du rôle du médecin coordonateur d’ehpad Possibilité d’ouverture des services de gériatrie et de psychiatrie aux internes (un semestre obligatoire validant) Création de groupes alerte /territoire de santé pour situation de crise Aide aux aidants Délégation de compétences aux IDE , neuropsychologues …

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