Les apports des TIC et des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles

1. Quatrième thème Les apports des TIC et des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles Préparé par : K. Bousaid - M. Brahmi - J. Mukenge Encadrés par : Mme Najima Daoudi

2. PLAN Introduction I- Les apports des TIC aux pratiques informationnelles Collecte de l’information Traitement de l’information Diffusion de l’information II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles Aperçu sur la recherche en nanotechnologies pour le stockage et le traitement de l’information Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles

3. Collecte Traitement Diffusion XXsiècle : évolutions scientifiques et technologiques T I C science de l’information : pluridisciplinaire Introduction (1/2) Impactdes TIC sur les pratiques informationnelles ?

4. Introduction (2/2) XXIsiècleNanosciences, Nanotechnologies Étude des phénomènes et la manipulation de matériaux aux échelles atomique, moléculaire et macromoléculaire Outils, instruments et techniques + toutes les applications issues des Nanosciences. Pratiques nouvelles issues des Nanotechnologies ? Devenir du métier du spécialiste de l’information ?

5. Consultation des usagers Repérage • accès rapide aux instruments de référence via Internet • contact direct avec les personnes ressources • en temps réel ou en trop peu de temps grâce à Internet COLLECTE I- Les apports des TIC aux pratiques informationnelles (1/3) Acquisition matérielle Sélection et Tri • en ligne par voie du e-commerce • obtention des documents en version électronique • gain de temps pour vérification matérielle • facilitation de la vérification intellectuelle

6. TRAITEMENT Matériel Intellectuel Description bibliographique Description du contenu I- Les apports des TIC aux pratiques informationnelles (2/3) • enregistrement informatisé d’information • élimination des tâches répétitives • multiplication de la capacité de stockage • génération automatique des notices bibliographiques pour les documents • Téléchargement des notices via Internet • utilisation des logiciels dédiés à l’indexation • condensation automatique • classification automatique

7. DIFFUSION Recherche Diffusion proprement dite Côté usagers Côté SID I- Les apports des TIC aux pratiques informationnelles (3/3) • meilleure diffusion sélective de l’info en local ou à distance • Accélération de la mise à disposition des sources informationnelles • développement des projets de coopération entre SID • communication rapide et plus efficace • développement de la veille, KM, etc. • facilitation de la recherche en local ou à distance (BDD et Internet) • évolution de la stratégie de recherche (moteurs de recherche, web sémantique)

8. 1- Aperçu sur la recherche en nanotechnologies pour le stockage et le traitement de l’information 1/4 • Les recherches actuelles sur les nanotechnologies : enregistrement de données avec des médias issus des recherches sur les nanomatériaux. Finalité : accroissement de la vitesse de traitement et de la capacité d'enregistrement au moindre coût. • Les dispositifs nanofabriqués, la manipulation de la matière à l’échelle atomique permet de modifier ses propriétés. Alors, on peut s’attendre à la fabrication de supports qui soient plus résistants avec en plus une plus grande capacité de stockage. • Les recherches des nanotechnologies dans le domaines de l’électronique (circuits intégrés, transistors, processeur…) notamment l’électronique moléculaire concernent le traitement et les mémoires de stockage de l’information, afin de permettre des débits de lecture et d’écriture plus élevés. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (1/11)

9. 1- Aperçu sur la recherche en nanotechnologies pour le stockage et le traitement de l’information 2/4 • La nanomagnétique assure la fonction de stockage avec l’utilisation des nanostructures pour augmenter les capacités de stockage des disques durs. (Exemple: stocker 4 000 milliards de bits par centimètre carré, donc gagner un facteur de plus de 200 par rapport aux meilleurs disques durs actuels). • La cryptographie quantique assure la fonction de sécurité. • La nanophotonique assure la fonction de transmission à haut débit . II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (2/11)

10. 1- Aperçu sur la recherche en nanotechnologies pour le stockage et le traitement de l’information 3/4 II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (3/11)

11. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (4/11) SUPPORT Capacité (G.O.) Durée audio maximum Durée vidéo maximum Nbre CD équivalents Couche CD-ROM 0.65 1h18 15min 1 métal DVD 1 face/2 couches 8.5 17h30 4h 13 métal DVD 2 face/2 couches 17 35h 8h 26 métal NANO-CD 1100 2200 h 420 h 1690 plastique 1- Aperçu sur la recherche en nanotechnologies pour le stockage et le traitement de l’information 4/4 Ci-après, l’exemple de l’évolution des capacités de stockage sur le support CD :

12. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (5/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  Si la science de l’information est le fruit de l’interdisciplinarité animée par les mathématiciens, les physiciens, les informaticiens, etc., et que les nanosciences regroupent les champs de la physique, de la chimie et de la biologie et font appel aux nanotechnologies. Les nanosciences ne feraient pas partie de l’interdisciplinarité à laquelle appartient la science de l’information ?

13. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (6/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  Si le concept de l’information est déjà polysémique et insaisissable avec les technologies de l’information et de la communication, peut on envisager une nouvelle définition de l’information avec les nanosciences ?

14. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (7/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  Si les nanotechnologies peuvent aboutir au traitement des données, leur stockage et leur communication avec des capacités largement mille fois supérieures à celles des technologies de l’information et de la communication, ne peut-on pas espérer aux chaînes informationnelles qui utiliseraient les mêmes capacités pour collecter, traiter et diffuser les informations ?

15. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (8/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  Si grâce à la convergence NBIC (Nanotechnologies, Biotechnologies, Sciences de l’Information, Sciences Cognitives), les ordinateurs utilisés aujourd’hui pour le traitement de la chaîne informationnelle devront s’adapter aux nanotechnologies (nano ordinateurs), cette dernière ne serait elle pas obligée de suivre cette évolution de peur de se retrouver sans outil de traitement par excellence ?

16. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (9/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  A la lumière des compétences actuelles exigées de l’informatiste en matière des technologies de l’information et de la communication, quelles autres compétences devra-t-il acquérir en matière des nanotechnologies pour bien jouer son rôle de gestionnaire de l’information  ?

17. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (10/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  Si le professionnel de l’information doit entre autre observer l’environnement technologique et suivre les évolutions qu’il subit afin de dégager les opportunités et les menaces qu’il offre, saura-t-il aussi facilement le faire dans le monde de l’infiniment petit (nanotechnologies)? Si oui, quels risques il pourra courir?

18. II- Les apports éventuels des Nanotechnologies aux pratiques informationnelles (11/11) 2- Réflexions sur le devenir des pratiques informationnelles  Si la fracture numérique a été plus qu’effective avec les technologies de l’information et de la communication entre les professionnels de l’information du Nord et ceux du Sud, que dire de l’éventuelle N-fracture ?

19. Merci pour votre attention

20. Webliographie http://www.recherche.gouv.fr/discours/2004/nanorecherchepublique.pdf ² http://www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=1498 http://www.formulary-france.com/logiciels-GED-EDITIQUE-LAD.html http://www.ulaval.ca/ http://www.scom.ulaval.ca/Au.fil.des.evenements/2003/12.11/voyer.html http://www.rmnt.org/EN/index.html Le traiement numérique des documents. HERMES, Paris. 1998

21. Définition : • Les technologies de l’information et de la communication désignent • «l’ensemble de technologies parmi lesquelles figure souvent l’ordinateur et qui, lorsqu’elles sont combinées ou interconnectées, permettent de numériser, de traiter, de rendre accessible (sur un écran ou un autre support) et de transmettre, en principe à n’importe quel endroit, une quantité quasi illimitée et très diversifiée de données».[1] • [1]www.cetech.gouv.qc.ca/site/francais/lexique.asp

22. * Mathématiques Statistiques Logique Informatique Télécommunications Électronique Le Coadic, Yves.La Science de l'information : aspects structurels et institutionnels d'une nouvelle interdiscipline. BBF 1984 - Paris, t. 29, n° 2