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Instance Nationale de la rénovation urbaine Mai 2006

Instance Nationale de la rénovation urbaine Mai 2006. La Rénovation urbaine en Ile-de-France. L’AORIF l’UNION SOCIALE POUR L’HABITAT IDF. Organisation professionnelle au service des organismes d’HLM franciliens (offices, E.S.H, coopératives, crédits immobiliers)

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Instance Nationale de la rénovation urbaine Mai 2006

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Presentation Transcript


  1. Instance Nationale de la rénovation urbaineMai 2006 La Rénovation urbaine en Ile-de-France

  2. L’AORIF l’UNION SOCIALE POUR L’HABITAT IDF • Organisation professionnelle au service des organismes d’HLM franciliens (offices, E.S.H, coopératives, crédits immobiliers) • 147 adhérents : plus d’1 million de logements sociaux • 30 salariés au siège et dans les huit départements

  3. LA SITUATION DU LOGEMENT SOCIAL • 1 200 000 logements sociaux en Ile-de-France • Un patrimoine social très inégalement réparti sur la région qui entraîne de fortes disparités sociales et urbaines(Données OLS) • 51 % des logements sociaux, dont l’occupation sociale est la plus précaire, sont concentréssur 8,5 % des communes (qui logent 1/3 de la population francilienne) • 54 % des communes ne possèdent pas ou peu de logements sociaux • Le parc social se paupérise : en 70, le revenu moyen des locataires HLM se situaient à 10% en dessous du revenu moyen régional. Il est aujourd’hui à 30% en dessous. Le parc social accueille deux fois plus de familles monoparentales que l’ensemble du parc.

  4. LA LOCALISATION DU PARC SOCIAL(Enquête PLS 2004)

  5. UNE SPECIALISATION TERRITORIALE MARQUEE • La géographie prioritaire de l’Ile-de-France : ZUS, ZRU, ZFU

  6. LA SITUATION DU LOGEMENT EN ILE-DE-FRANCE • Une crise majeure du logement : • La vacance est à son plus bas niveau avec un taux de 1,3%. • Une offre insuffisante : les objectifs de production du Schéma Directeur n’ont pas été respectés depuis de nombreuses années (40 000 logements contre 53 000 et maintenant 60 000). • Une production de logements sociaux qui reste néanmoins soutenue mais inférieure aux objectifs (environ 15 000 contre 20 000). • Une diminution des taux de rotation • Une demande sans cesse croissante : 350 000 demandeurs à fin 2005.

  7. LES TERRITOIRES PRIORITAIRES • 157 ZUS/ 751 au niveau national • 3 170 468 habitants en ZUS et ZRU (RGP 1999) • 145 PRUrecensés en Ile-de-France, dont 111 « reconnus » par l’ANRU(409 à l’échelle nationale)

  8. LES TERRITOIRES PRIORITAIRES • 145 projets recensés, dont 111 « reconnus » par l’ANRU • A ce jour 51 dossiers « engagés »

  9. LES TERRITOIRES PRIORITAIRES • Répartition des 111 dossiers : • 55 cercle 1 (188 France entière) • 56 cercle 2 (123 France entière)

  10. LES ENJEUX FINANCIERS • Sur 51 dossiers engagés : • 7,5 milliards d’euros d’investissements, dont : • 2,7 milliards de financement ANRU, soit 36% • 2,8 milliards de financement bailleurs, soit 37,8%

  11. LE VOLET HABITAT SOCIAL • Opérations programmées dans les 51 dossiers engagés(en nb de logements)

  12. UNE OPERATION ANRU Une opération ANRU c’est : • Une opération d’aménagement • En milieu occupé • Nécessitant de recréer un parcellaire • Structurellement déficitaire • Des opérations de réhabilitations des bâtiments et des espaces extérieurs (résidentialisation) • Des opérations de constructions, locatif social (au titre du 1 pour 1), locatif libre (intervention de l’Association foncière logement) et accession à la propriété (incitation fiscale).

  13. UNE OPERATION D’AMENAGEMENT EN MILIEU OCCUPE Un préalable : • le relogement : un processus sensible dans un marché tendu et dans un contexte d’absence d’intercommunalité. Une obligation : • la concertation dont l’échelle reste à définir (Les immeubles voués à la démolition, le quartier, la commune). Un objectif : • recréer une diversité sociale ce qui veut dire l’accueil de nouveaux habitants.

  14. UNE OPERATION D’AMENAGEMENT STRUCTURELLEMENT DEFICITAIRE • Les immeubles démolis sont souvent ceux qui dégagent un autofinancement positif pour les bailleurs. • Ceci a conduit l’ANRU à indemniser les pertes d’autofinancement et le passif. • Le coût technique des démolitions a été multiplié par 3 à 5 en cinq ans du fait des réglementations sur l’amiante et sur la gestion des déchets de chantier. • Des besoins importants de modernisation des équipements publics. • De faibles recettes en terme de charges foncières.

  15. DES OPERATIONS DE REHABILITATIONS : LE NOUVEAU « CONCEPT » DE RESIDENTIALISATION • Une volonté de dissocier l’espace public de l’espace privé. • Une réponse aux attentes des habitants en terme de sécurité et de stationnement. • Une valorisation en terme d’image des immeubles qui deviennent des résidences. Mais • Un risque de généralisation sans discernement. • Un enjeu difficile en terme de maintenance et de pérennité .

  16. DES OPERATIONS DE CONSTRUCTION Deux enjeux forts • Élargissement du périmètre de reconstitution de l’offre sociale dans un contexte de faible intercommunalité • Diversification de l’offre in situ

  17. Reconstitution sur site : entre 50 et 60 % Reconstitution hors environ 20 % site, sur commune : Reconstitution hors entre 20 et 30 % Commune (agglomération ou Département) : Un aléa non négligeable : les terrains destinés aux programmes hors commune ne sont pas toujours identifiés. LA LOCALISATION PREVISIONNELLE DES PROGRAMMES DE RECONSTRUCTION DES LOGEMENTS DEMOLIS

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