1 / 13

LA SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT)

LA SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). LES MALADIES DE LA CORNE ANTERIEURE. Atteinte des 2 motoneurones SLA : Formes familiales Formes sporadiques SLP Atteinte isolée du 2 ème motoneurone Aiguë : PAA Subaiguë : Lymphome Post- radique

job
Télécharger la présentation

LA SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT)

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. LA SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE(MALADIE DE CHARCOT)

  2. LES MALADIES DE LA CORNE ANTERIEURE • Atteinte des 2 motoneurones • SLA : • Formes familiales • Formes sporadiques • SLP • Atteinte isolée du 2ème motoneurone • Aiguë : PAA • Subaiguë : • Lymphome • Post-radique • Ischémie médullaire antérieure • Chronique • Neuronopathie motrice acquise • Paralysie bulbaire progressive • neuronopathies motrices héréditaires : ASP

  3. DEFINITION • La sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une maladieneurodégénérativeaffectant les neurones moteurs centraux (MNC) et périphériques (MNP). • Elle est, de loin la plus fréquente des maladies du motoneurone, groupe de maladies très variées dans leur pronostic. • C’est une maladie primitive du neurone, autrement appelée neuronopathie.

  4. PHYSIOPATHOLOGIE • Charcot en 1877 (Maladie de Charcot) • Plus d’un siècle après, les recherches étiologiques demeurent infructueuses: • Certain s incriminent un processus immunitaire, • d’autres tentent d’élaborer des modèles viraux • Depuis le début des années 90 3 découvertes: • Mutations sur le gène de l’enzyme superoxydedismutase (SOD) dans des cas SLA familiales • Mutations sur les chaines lourdes des neurofilaments dans des cas de SLA sporadiques • Excitotoxicité du système glutamatergique ( Riluzole)

  5. CLASSIFICATION • SLA Familiale • SLA familiale type I (AD) SOD-1 (16 – 18 ans) • SLA familiale type II (AR) Ch.2q33-35 (+25 ans) • SLA familiale type III (AR) Ch15 (18 -80 ans) • Sporadique

  6. EPIDEMIOLOGIE • Apparaît dans les 5ème et 6ème décade de la vie • Affecte 5 à 10 personnes pour 100000 • Sex-ratio : 1,5 /1 en faveur des hommes • Décès dans les 5 ans des suites d’atteinte respiratoire

  7. DESCRIPTION CLINIQUE • Syndrome d’atteinte du MNP : Il associe soit simultanément soit successivement les signes suivants: • Déficit moteur progressif • Amyotrophie, localisée au début • Fasciculations • Crampes • Syndrome d’atteinte du MNC • ROT vifs , diffusés, parfois polycinétiques • Spasticité • Signe de Babinski • Syndrome d’atteinte pseudo-bulbaire • Rires et pleures spasmodiques, • Dysarthrie

  8. EVOLUTION • Les symptômes sont asymétrique au début. • La maladie est implacablement progressive touchant de plus en plus de muscle jusqu’à ce que finalement l’atteinte ait une distribution symétrique dans toutes les régions. • Même aux stades avancés les fonctions sensitives, intestinales et cognitives sont préservées. • Le décès survient par paralysie respiratoire. • La médiane de survie est entre 3 et 5 ans. De très rares cas de stabilisation ont été décrits

  9. EXPLORATIONS PARACLINIQUES • EMG confirme le diagnostic: • Élimine une neuropathie et une atteinte sensitive • Montre des signes de dénervation diffuses • Biologie et IRM médullaire et encéphalique permettent de faire les diagnostics différentiels • NMBC, • CM Cervicale • Cancers, maladies systémiques, endocrinopathies

  10. FORMES DE DEBUT DE SLA • Début au MS (40% des cas) • Début au MI (20 à 25% des cas) • La forme bulbaire de SLA (30% des cas) • Plus tardif 65 ans • Prédominance féminine : 3 femmes / 1 homme • Evolution plus rapide : inférieure à 30 mois • Atteinte des noyaux moteurs du TC à l’exception des noyaux occulo-moteurs

  11. SLA FAMILIALES • 5 à 10% des SLA ont une prédisposition familiale • Détection de mutation sur le gène SOD-1 dans 15 à 20% des SLAF soit 2% des SLA • 3 groupes • SLAF type I : • Transmission AD (SOD-1) chromosome 21 • Début vers 46 ans et évolution rapide conduisant au décès au bout de 3 ans • SLA type II : • Transmission AR Chromosome 2 • Début plus précoce vers 12 ans et évolution plus lente 15 à 20 ans. • SLA type III • Transmission AR Chromosome 15 • Début à l’âge adulte

  12. SLA SPORADIQUES • 90 à 95% des cas • Pas de trausmission héréditaire • Mort neuronale liée à des neurotransmetteurs excitotoxiques comme le glutamate en excès par défaut de recapture post-synaptique ou défaut de transporteur du glutamate

  13. TRAITEMENT • Pas de traitement • Riluzole : amélioration de 30% • Vitamine E (SLA sporadique) • Mesures de réadaptation • Rééducation kinésithérapeutique • Orthophonie : Synthétiseur de parole • Ergothérapie : Attelles des releveurs et des extenseurs • Nutrition : Gastrostomie • Prise en charge respiratoire : • Ventilation à pression positive • Trachéotomie • Respirateur • Traitement symptomatique • Stase salivaire, la constipation, les douleurs, spasticité, crampes

More Related