1 / 20

TRAUMATISMES CRANIENS

TRAUMATISMES CRANIENS. JP LASSERRE. EPIDEMIOLOGIE. Principale cause de mortalité et de handicap sévère avant 45 ans Cause principale: les accidents de la voie publique ( 50%) Ces accidents sont en voie de diminution 2 ième cause, les chutes. CLINIQUE.

minya
Télécharger la présentation

TRAUMATISMES CRANIENS

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. TRAUMATISMES CRANIENS JP LASSERRE

  2. EPIDEMIOLOGIE • Principale cause de mortalité et de handicap sévère avant 45 ans • Cause principale: les accidents de la voie publique ( 50%) • Ces accidents sont en voie de diminution • 2ième cause, les chutes.

  3. CLINIQUE • Les manifestations cliniques dépendent de l’importance de l’impact et des facteurs associés: • âge • pathologies préexistantes autres • traumatismes associés (rachis cervical, visage…)

  4. TROIS CATEGORIES PRINCIPALES • Traumatisme crânien léger : score de Glasgow > 12 • Traumatisme crânien modéré : score de Glasgow = 9 à 12 • Traumatisme crânien grave : score de Glasgow </= 8

  5. TRAUMATISMES CRANIOENCEPHALIQUES GRAVES • 10 % • Coma d’emblée ou secondaire (Glasgow inférieur ou égal à 8) • Signes radiologiques: - fractures • Contusion cérébrale • Hématomes : extra-dural ( urgence ++), sous-dural aigu, sous-dural chronique, intracérébral

  6. EXEMPLE DE TCEG • Plaie crânio cérébrale Contusions +/- hémorragiques • Hématome : intra cérébral ? • Œdème cérébral diffus • HTIC • Risque d’engagement • volet

  7. ETUDE EN ILLE DE FRANCE 2010PHASE AIGUE • 504 patients • Délai moyen avant hospitalisation=110 mn • À 48 h 12% ont eu besoin d’une chirurgie • 2/3 ont une autre lésion • Mortalité = 45% • : 2 avec la mise d’une PIC • X 3 si hypotension, mydriase • pas corrélée avec la chirurgie.

  8. MÊME ETUDE A UN AN 518 patients GOS-E 47 % de décès

  9. SUITE ETUDE ILLE DE FRANCE • Reprise du travail: • Pas de corrélation avec le score de Glasgow initial • Corrélation avec âge et DEX • Fardeau de l’aidant: • 50% sensation de fardeau • corrélé avec GOSE, DEX… mais pas avec Glasgow initial

  10. ENTRE LES DEUX : LE CRF • Passage en unité d’éveil • Les patients présentent des troubles de la conscience, déficits neurologiques et neuropsychologiques, troubles du comportement variés • Pas de corrélation obligatoire avec le score de Glasgow initial ( TCEG d’évolution favorable*)

  11. EVOLUTION • Amélioration physique: schématiquement l’essentiel de la récupération neurologique se fait dans les 6 premiers mois • Amélioration neuropsychologique: un travail réalisé à Verdaichen 1991 a permis d’objectiver une courbe de progression plus étalée dans le temps

  12. NEUROPSYCHOLOGIEApproche RV • Statistiquement: progression rapide sur 6 mois, plus progressive de 6 mois à 1 an, plus lente par la suite • plafonnement vers 18 mois- 2 ans • Récupération suit , moyennant d’importants décalages, les stades de développement de l’enfant 0 6 mois 1 an 1 an 1/2

  13. COMPLICATIONS • Epilepsie post-traumatique( 15-20%) • Crises végétatives • Infection • Hydrocéphalie • Troubles vasculaires • Troubles neuroendocriniens ( diabète insipide) • Troubles psychiques…

  14. COMMENT S’Y RETROUVER? DIFFERENTS TABLEAUX: • Ralentis, mutiques • somnolents • Confus • Agités • Euphoriques • Désinhibés • Affabulateurs • Délirants • Coléreux, violents…

  15. L’ ABORD DU PATIENT • calmement • toujours se présenter • présenter les autres intervenants • observer, écouter • apprécier la qualité du contact • l’ existence d’une altération de l’humeur • la présence d’une agitation, de phénomènes hallucinatoires ou délirants.

  16. ON PEUT SE FAIRE UNE IDEE DU NIVEAU DE CONSCIENCE

  17. PLACE DE L’INTELLIGENCE RELATIONNELLE • Empathie : • valeur ajoutée aux soins • Communication: • transmission des informations à l’équipe • qu’il s’agisse de déviance… • ou de performance !

  18. LES PRISES EN CHARGE • Médecin • Infirmières • aides-soignants • Agents techniques • kinésithérapeutes • Ergothérapeutes • Orthophoniste • Psychomotricien • Psychologue, AS

  19. APRES L’UE • EVC-EPR • Centre de rééducation • Retour à domicile ENCADRE • médecin traitant, kinésithérapeute orthophoniste référent • YMCA Colomiers, CMSO, UEROS • accompagnement de la reprise professionnelle • association FTC

  20. BIBLIOGRAPHIE • CAMBIER J, MASSON M, DEHEN H (2000). Traumatismes crâniens. Abrégés de Neurologie. Editions MASSON.10ième édition. pp 439-449 • CAMBIER J, MASSON M, DEHEN H (2000). Vigilance et conscience. Sommeil et coma. Abrégés de Neurologie. Editions MASSON.10ième édition. pp 117-133 . LASSERRE JP, TOUSSAINT Ph, CLAMENS J, RICHAUD J, DUBOIS G, TOUSSAINT G (1991). Estimation précoce et suivi neuropsychologique de patients traumatisés crâniens graves. Annales de rééducation fonctionnelle, Vol 34, n° 4,283-302.

More Related