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Toxicomanie et violence chez les jeunes de la rue

P G Erickson, fv. 2008. 2. quipe du YPP. ENQUTEUSE PRINCIPALEPatricia Erickson, CSTMCoenquteurs/collaborateurs Edward Adlaf Jennifer ButtersDeborah GoodmanAndy HathawayPaul LinksLori RossCarol StrikeChris WekerleBruce Leslie . PARTENAIRES COMMUNAUTAIRESToronto Children'

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Toxicomanie et violence chez les jeunes de la rue

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Presentation Transcript


    1. Toxicomanie et violence chez les jeunes de la rue Rapport sur le Youth Pathways Project Patricia G. Erickson, Ph.D. Scientifique principale, CSTM

    2. P G Erickson, fv. 2008 2 quipe du YPP ENQUTEUSE PRINCIPALE Patricia Erickson, CSTM Coenquteurs/collaborateurs Edward Adlaf Jennifer Butters Deborah Goodman Andy Hathaway Paul Links Lori Ross Carol Strike Chris Wekerle Bruce Leslie PARTENAIRES COMMUNAUTAIRES Toronto Childrens Aid Society Catholic Childrens Aid Society SHOUT Clinic Personnel responsable de la diffusion de la recherche Katharine King Tara Fidler Tyler Frederick Maritt Kirst Nora Ottaway Christine Wong-Chong quipe pluridisciplinaire de chercheurs, ainsi que des partenaires communautaires. Fonds provenant de deux organismes sant et recherche sociale pour deux projets pilotes, principalement.quipe pluridisciplinaire de chercheurs, ainsi que des partenaires communautaires. Fonds provenant de deux organismes sant et recherche sociale pour deux projets pilotes, principalement.

    3. P G Erickson, fv. 2008 3 Soutien financier fourni par : Filles CRSH Subvention stratgique sur le phnomne des sans-abri et la diversit Garons IRSC - Subvention pour un projet pilote de lISFH Diffusion CRSH Approches novatrices en matire de diversit

    4. P G Erickson, fv. 2008 4 Les jeunes : une population spciale? La jeunesse : une tape vulnrable de la vie Besoin dautonomie conjugu des aptitudes dcisionnelles potentiellement sous-dveloppes Risques et dangers propres lge Sous-groupes de la population et risque lev Dans quelle mesure les politiques et les programmes parviennent-ils cibler les jeunes? (Poulin, 2006 : www.ccsa.ca)

    5. P G Erickson, fv. 2008 5 Jeunes risque lev : Sexe, violence et sant Un cadre conceptuel : Jeunes intgrs vs jeunes marginaliss

    7. P G Erickson, fv. 2008 7 Les jeunes sans-abri : une population vulnrable Contexte Familles dysfonctionnelles; dcrochage scolaire Antcdents dagressions physiques et sexuelles Sant physique et mentale Taux de mortalit et de morbidit levs Dpression, tentatives de suicide Activits criminelles et victimisation Taux levs de toxicomanie et problmes de drogue Surdose, drogues injectables risque important

    8. P G Erickson, fv. 2008 8 Des affiches ont t installes sur 40 bacs de recyclage dans les coins de rue de la zone cible. Des affiches ont t installes sur 40 bacs de recyclage dans les coins de rue de la zone cible.

    9. P G Erickson, fv. 2008 9 Point de vue des jeunes La vie dans la rue est difficile Toutefois, il y a des points positifs et des aspects ngatifs Il est difficile dabandonner la rue Mais un grand nombre de jeunes russissent le faire De jeunes femmes et de jeunes hommes vivent dans un climat de peur et de vulnrabilit dans la rue

    10. P G Erickson, fv. 2008 10 Vivre dans la rue Il faudrait que ce soit plus difficile daboutir dans la rue, parce quune fois quon y est, cest vraiment dur den sortir; cest facile dy rester. (un jeune homme) Ce nest pas facile de vivre dans un refuge. On a affaire des gens malpropres ou qui sen foutent. Cest plus facile de sen sortir si on a de laide dune personne positive. (une jeune femme)

    11. P G Erickson, fv. 2008 11 Aspects positifs de la vie dans la rue jeunes femmes Je vis selon mes propres rgles. La vie dans la rue me donne un avantage. Je ne suis peut-tre pas bonne lcole, mais je compense dans dautres domaines. Je sais comment survivre. Je me suis amliore par moi-mme. Jai beaucoup appris et je suis jeune jai des rseaux de soutien et je suis prte suivre les rgles et je suis jeune, pas comme les autres vieux dans la rue.

    12. P G Erickson, fv. 2008 12 Aspects positifs de la vie dans la rue jeunes hommes La rue est un monde compltement diffrent. On en voit plus quune personne qui est alle dans une cole prive. On voit ce qui est autour de nous; on ne fait pas de plans, on vit au jour le jour. Ce chemin est fait pour nous; tu fais donc ce que tas envie de faire. On a manger et un abri Toronto. Tu peux chercher du travail et prendre le temps de rflchir ce que tu veux faire. Y a pas de parents non plus.

    13. P G Erickson, fv. 2008 13 Aspects ngatifs de la vie dans la rue jeunes femmes Cest vraiment pas terrible, la vie dans la rue. Tu te sens lcart de la socit. Cest incroyable quel point cest dgueulasse. Je dirais aux enfants de ne pas se faire jeter la rue. coutez vos parents. Personne ne veut passer des journes compltes sans manger. Jessaie de faire peur aux enfants gts que je vois dans les refuges pour quils retournent la maison et quils ne fassent pas de btises. Si tu peux retourner la maison, fais-le.

    14. P G Erickson, fv. 2008 14 Aspects ngatifs Jeunes hommes Dans les refuges, tu perds tes affaires et tu peux attraper des maladies. Cest trs facile de tomber malade dans ces endroits-l. Jai vcu avec ma mre dans un refuge quand jtais plus jeune. Jen garde de mauvais souvenirs. Je minquite de ne pas avoir davenir. Jai peur de sortir de la rue.

    15. P G Erickson, fv. 2008 15 OBJECTIF GNRAL de lTUDE Examiner les facteurs qui influent sur les trajectoires de jeunes femmes et de jeunes hommes sans-abri Plus particulirement, comprendre les facteurs qui contribuent la violence, surtout aux problmes et la vente de drogues Comment? Combiner des mthodes quantitatives et qualitatives au sein dune quipe pluridisciplinaire de chercheurs AUJOURDHUI : Prsenter des donnes de base sur 150 jeunes de la rue (femmes n=75; hommes n=75)

    16. P G Erickson, fv. 2008 16 MTHODES du YPP Conception : Base de rfrence, puis court suivi Collecte de donnes : Les intervieweurs sont alls rencontrer les jeunes et ont ralis des entrevues individuelles Recrutement : Jeunes femmes et jeunes hommes de 16 21 ans provenant dagences soccupant des jeunes de la rue Entrevues menes de dcembre 2004 aot 2006 Collecte de donnes : sondage et questions ouvertes Suivi : Taux de russite denviron 50 % Il sagit de jeunes pris en charge. Un grand nombre dentre eux vivent dans des familles daccueil ou reoivent une aide au titre de lentretien et des soins tendus, vivent seuls et reoivent une allocation.Il sagit de jeunes pris en charge. Un grand nombre dentre eux vivent dans des familles daccueil ou reoivent une aide au titre de lentretien et des soins tendus, vivent seuls et reoivent une allocation.

    17. P G Erickson, fv. 2008 17 DFINITIONS Jeune de la rue sans-abri : Des jeunes dau plus 24 ans qui sont absolument, priodiquement ou temporairement sans logis ou qui courent un risque substantiel de se retrouver dans la rue dans un avenir rapproch. (Daly) Les jeunes qui, au cours des 12 derniers mois, ont eu recours rgulirement des services pour les jeunes de la rue et/ou ont eu besoin dun endroit o rester au moins une fois. (Roy) Aspect cl : instabilit sur le plan du logement

    18. P G Erickson, fv. 2008 18 APERU de lexpos : PROFILS Donnes dmographiques Scurit et stabilit sur le plan du logement Sant mentale Violence Consommation et problmes de drogues Prvoir la violence Dans leurs propres mots : www.tyss.org

    19. Caractristiques de lchantillon Les femmes sont plus susceptibles de dclarer quelles sont bisexuelles. Les hommes : htros ou gais. Un moyen de dfense pour les femmes?Les femmes sont plus susceptibles de dclarer quelles sont bisexuelles. Les hommes : htros ou gais. Un moyen de dfense pour les femmes?

    20. Diversit - suite Peu dimmigrants ou de rfugis chez les jeunes de la rue (hommes ou femmes), ce qui limite lanalyse de la diversit. Toronto, il est frquent que la langue parle la maison ne soit pas langlais.Peu dimmigrants ou de rfugis chez les jeunes de la rue (hommes ou femmes), ce qui limite lanalyse de la diversit. Toronto, il est frquent que la langue parle la maison ne soit pas langlais.

    21. Dmnagements au cours des 4 derniers mois Un groupe mobile. Le nombre de dmnagements est trs semblable entre les hommes et les femmes.Un groupe mobile. Le nombre de dmnagements est trs semblable entre les hommes et les femmes.

    22. Type de logement o le rpondant est rest le plus longtemps Encore ici, les chiffres sont trs semblables entre les hommes et les femmes. La plupart frquentent des centres pour itinrants ou des refuges, ou encore des logements lous.Encore ici, les chiffres sont trs semblables entre les hommes et les femmes. La plupart frquentent des centres pour itinrants ou des refuges, ou encore des logements lous.

    23. Scurit endroit o le rpondant habite actuellement La majorit (environ 80 %) des hommes et des femmes se sentent en scurit. Les femmes sont plus susceptibles de se sentir plutt peu ou assez peu en scurit lendroit o elles habitent actuellement. Comme il y a trs peu de diffrences entre les divers endroits, est-ce surtout une question de perception de la scurit entre les sexes?La majorit (environ 80 %) des hommes et des femmes se sentent en scurit. Les femmes sont plus susceptibles de se sentir plutt peu ou assez peu en scurit lendroit o elles habitent actuellement. Comme il y a trs peu de diffrences entre les divers endroits, est-ce surtout une question de perception de la scurit entre les sexes?

    24. Sources de revenus - 4 derniers mois Les femmes sont plus susceptibles dobtenir de largent de leur famille ou dune agence; les hommes, dactivits illgales.Les femmes sont plus susceptibles dobtenir de largent de leur famille ou dune agence; les hommes, dactivits illgales.

    25. Sant mentale Auto-valuation Diagnostique Suicide

    26. Sant mentale Les hommes et les femmes prsentent le mme pourcentage pour la cote excellente . Les femmes sont deux fois plus portes que les hommes se donner une valuation passable ou mauvaise . Les chiffres sont semblables pour ce qui est du diagnostic de sant mentale. Toutefois, les femmes sont plus susceptibles de croire quelles ont un problme de sant mentale.Les hommes et les femmes prsentent le mme pourcentage pour la cote excellente . Les femmes sont deux fois plus portes que les hommes se donner une valuation passable ou mauvaise . Les chiffres sont semblables pour ce qui est du diagnostic de sant mentale. Toutefois, les femmes sont plus susceptibles de croire quelles ont un problme de sant mentale.

    27. Sant mentale Les hommes et les femmes prsentent le mme pourcentage pour la cote excellente . Les femmes sont deux fois plus portes que les hommes se donner une valuation passable ou mauvaise . Les chiffres sont semblables pour ce qui est du diagnostic de sant mentale. Toutefois, les femmes sont plus susceptibles de croire quelles ont un problme de sant mentale.Les hommes et les femmes prsentent le mme pourcentage pour la cote excellente . Les femmes sont deux fois plus portes que les hommes se donner une valuation passable ou mauvaise . Les chiffres sont semblables pour ce qui est du diagnostic de sant mentale. Toutefois, les femmes sont plus susceptibles de croire quelles ont un problme de sant mentale.

    28. Violence et antcdents criminels Victimisation et criminalit

    29. Victimisation 12 derniers mois Les hommes et les femmes prsentent des pourcentages semblables au chapitre des agressions physiques. Pour ce qui est des agressions sexuelles, le pourcentage est plus lev chez les femmes.Les hommes et les femmes prsentent des pourcentages semblables au chapitre des agressions physiques. Pour ce qui est des agressions sexuelles, le pourcentage est plus lev chez les femmes.

    30. Victimisation lie lutilisation dune arme 12 derniers mois

    31. Victimisation lie lutilisation dune arme 12 derniers mois

    32. Perptration de voies de fait 12 derniers mois

    33. Activits criminelles 12 derniers mois Le pourcentage est plus lev chez les femmes pour ce qui est de blesser physiquement leur partenaire et de commettre des vols. Le pourcentage chez les hommes est plus lev dans toutes les autres catgories. La moiti des hommes et le tiers des femmes ont vendu de la drogue.Le pourcentage est plus lev chez les femmes pour ce qui est de blesser physiquement leur partenaire et de commettre des vols. Le pourcentage chez les hommes est plus lev dans toutes les autres catgories. La moiti des hommes et le tiers des femmes ont vendu de la drogue.

    34. Nombre darrestations Plus dhommes sont arrts, et ce, plus souvent.Plus dhommes sont arrts, et ce, plus souvent.

    35. Profil de la toxicomanie chez les jeunes Dans la population gnrale Dans le groupe de jeunes de la rue Consommation problmatique de drogue chez les jeunes de la rue

    37. P G Erickson, fv. 2008 37 Jeunes de la rue : consommation de drogue ou dalcool (%) 12 derniers mois Les niveaux de consommation de la dernire anne ne sont pas trs diffrents. Les hommes consomment plus dalcool, de marijuana, de cocane en poudre et de crack, mais seule leur consommation damphtamines est significativement plus leve. Les femmes consomment plus dhallucinognes, dhrone et de drogues injectables. Les niveaux de consommation de la dernire anne ne sont pas trs diffrents. Les hommes consomment plus dalcool, de marijuana, de cocane en poudre et de crack, mais seule leur consommation damphtamines est significativement plus leve. Les femmes consomment plus dhallucinognes, dhrone et de drogues injectables.

    38. P G Erickson, fv. 2008 38 ge moyen de la premire consommation de drogue ou dalcool [jeunes de la rue] Les hommes commencent consommer de lalcool et de la marijuana plus jeunes que les femmes, mais ces dernires sont plus prcoces dans leur consommation de crack et dhrone. Peu de diffrences dans lensemble.Les hommes commencent consommer de lalcool et de la marijuana plus jeunes que les femmes, mais ces dernires sont plus prcoces dans leur consommation de crack et dhrone. Peu de diffrences dans lensemble.

    39. P G Erickson, fv. 2008 39 Problmes de consommation dalcool 12 derniers mois Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme dalcool plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme dalcool plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.

    40. P G Erickson, fv. 2008 40 Problmes de consommation de cannabis 12 derniers mois Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.

    41. P G Erickson, fv. 2008 41 Problmes de consommation dhallucinognes 12 derniers mois Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.

    42. P G Erickson, fv. 2008 42 Problmes de consommation damphtamines 12 derniers mois Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.

    43. P G Erickson, fv. 2008 43 Problmes de consommation de cocane en poudre 12 derniers mois Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.Ces indicateurs font ressortir une dpendance, voire un problme de drogue plus grave. Les hommes et les femmes ont essay de diminuer leur consommation, avec un succs mitig, mais les femmes sont plus susceptibles de ressentir une dpendance.

    44. P G Erickson, fv. 2008 44 Problmes de consommation de crack 12 derniers mois Encore ici, un fort pourcentage dhommes et de femmes ont essay de diminuer leur consommation. Les femmes semblent prouver plus de problmes de consommation de crack que les hommes. Les sentiments de dpendance sont peu prs les mmes, tant pour les hommes que pour les femmes.Encore ici, un fort pourcentage dhommes et de femmes ont essay de diminuer leur consommation. Les femmes semblent prouver plus de problmes de consommation de crack que les hommes. Les sentiments de dpendance sont peu prs les mmes, tant pour les hommes que pour les femmes.

    45. P G Erickson, fv. 2008 45 Problmes de consommation dhrone 12 derniers mois Les femmes signalent avoir plus de problmes et moins de succs dans leurs efforts en vue de diminuer leur consommation dhrone que les hommes.Les femmes signalent avoir plus de problmes et moins de succs dans leurs efforts en vue de diminuer leur consommation dhrone que les hommes.

    46. Services de sant Demande leve pour des services mdicaux; demande beaucoup moins grande pour le traitement de la toxicomanie

    47. P G Erickson, fv. 2008 47 Utilisation des services de sant 4 derniers mois Plus dhommes que de femmes ont recours un traitement de la toxicomanie, mais les taux sont peu levs comparativement aux autres services de sant qui sont plus susceptibles dtre utiliss par les femmes.Plus dhommes que de femmes ont recours un traitement de la toxicomanie, mais les taux sont peu levs comparativement aux autres services de sant qui sont plus susceptibles dtre utiliss par les femmes.

    48. P G Erickson, fv. 2008 48 Accs aux services et utilisation + Un des avantages, cest de pouvoir obtenir du counseling. Pour les jeunes de la rue, laccs est plus facile. Beaucoup de portes souvrent. a te rend plus fute aussi tu sais vers qui te tourner. (jeune femme) - Ce qui est fait ne nous touche pas. Les programmes conus pour trouver les personnes qui sont laisses pour compte crent encore plus dexclus. (jeune femme)

    49. Violence et victimisation

    50. Victimes dune infraction commise laide dune arme

    51. Violence perptre

    52. P G Erickson, fv. 2008 52 Conclusions : Violence Victimisation Problmes de drogue, la vente nest pas importante; le logement scuritaire est un facteur de protection; le fait dtre un homme et de porter des armes fait augmenter les risques pour la protection? Criminalit Le fait de porter un couteau et de vendre moins souvent de la drogue fait augmenter lgrement les risques de violence contre autrui; toutefois, seule la vente de drogue (peu importe laquelle) est un facteur important dans la rduction de la violence. La plupart des variables ne sont pas significatives.

    53. P G Erickson, fv. 2008 53 Conclusions : Prvention Le traitement des dpendances et des problmes de sant mentale devrait reprsenter des priorits en matire de sant publique, afin de prvenir des dcs chez les jeunes. (Elise Roy et coll., JAMA, 2004) Hbergement et autres soutiens sociaux Interventions visant aider amliorer la qualit de vie et les chances de rinsertion sociale

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