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Présentation Diététique. MAIGRIR, MIEUX S‘ALIMENTER, MIEUX VIVRE C’EST POSSIBLE !!! EN COOPERATION AVEC LES NUTRITIONNISTES. Dossier Diététiciens. A Dubost. Novembre 2008. Dossier Diététique. Agenda Objectif de ce papier / réponse à une problématique Notre proposition
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Présentation Diététique MAIGRIR, MIEUX S‘ALIMENTER, MIEUX VIVRE C’EST POSSIBLE !!! EN COOPERATION AVEC LES NUTRITIONNISTES Dossier Diététiciens A Dubost Novembre 2008
Dossier Diététique • Agenda • Objectif de ce papier / réponse à une problématique • Notre proposition • Organisation • Chiffrage du projet • Annexes • L’obésité en France : • Quelques rapports et chiffres sur l’obésité • Les conséquences de l’obésité • Analyse des produits proposés : • Gammes de produit définis • Définition du système global • Intégration du produit sur le marché • Accord avec les nutritionnistes (partenariat) • les prochaines étapes • Divers
Dossier Diététique • Objectif de ce papier • Ce papier a pour objet de présenter un nouveau service destiné à accompagner les régimes prescrits par des nutritionnistes diététiciens sur la cible de leurs patients et leur permettre de pouvoir mettre en place avec beaucoup de rigueur les recommandations caloriques de chaque régime prescrit • La recommandation du diététicien est traitée par un laboratoire qui prépare avec la contribution d’un chef de cuisine et de personnels formé à la conception de repas précis sur le plan calorique , des menus , composés de plats frais correspondants aux prescriptions des médecins • Afin de faciliter les prises de repas recommandées , un service de livraison à domicile est proposé dans le package • Afin de pérenniser l’organisation, un système de partenariat , respectant les codes de la déontologie médicale sera proposé .
Dossier Diététique • La réponse à une problématique • Un(e) patient (e) sujet(te) à de l’obésité vient consulter un spécialiste diététicien et se trouve confronté à un « régime » classique ou strict. • Compte tenu des contraintes de travail entre autre, ou divers handicaps, il est difficile de concevoir les repas proposés et respecter les contraintes des régimes. • De ce fait , les recommandations des praticiens ne sont pas peu ou mal respectées et le régime proposé a une efficacité réduite . • Le praticien se trouve dés lors confronté à une problématique de mise en place de sa prescription , dont le non respect annule l’effet demandé.
Dossier Diététique • Notre proposition: • Un service de mise en place de repas fonction des régimes recommandés confectionnés par des spécialistes culinaires formés en la matière . • Les repas peuvent être réceptionnés directement en passant au laboratoire et conservés pour deux /trois jours dans le réfrigérateur du patient ou livrés à domicile ou au bureau fonction du niveau de service requis ou des contraintes des patients. • Le praticien peut de ce fait suivre l’évolution de ses patients et optimiser les régimes par un respect strict des prescriptions. • Démarré en RP , ce projet peut ensuite être étendu en province et se généraliser sous une bannière cautionnée par l’ordre des médecins avec un contrôle strict des procédures et matières utilisées .
Dossier Diététique • Nutrition, surpoids et obésité : où en est-t-on en France ? • De nombreux facteurs influencent l'apparition des principales pathologies • qui touchent les Français (maladies cardiovasculaires, cancers, obésité, • diabète, ostéoporose...). • Ils sont en partie liés à l'environnement et au mode de vie : tabagisme, • alcoolisme, insuffisance d'exercice physique... • Parmi ces facteurs, l'alimentation joue un rôle essentiel. • L’alimentation est un facteur sur lequel les possibilités d'intervention • existent tant au niveau individuel qu'en terme de santé publique et de • Prévention : • Information sur la composition d'un régime alimentaire quotidien • équilibré, • Renforcement de la formation des professionnels de santé, • Amélioration de la restauration scolaire...).
Dossier Diététique • Organisation: Contrat avec des nutritionnistes Société Diet. service Exclusivité , apport de clientèle Exclusivité , Sous traitance fabrication Société Casa Pasta Consommateurs finaux Livraison des repas
Dossier Diététique • Organisation: circuit financier Les consommateurs Payent d’avance 1 mois de repas Société Diet. service Financement du BFR Paiement PR repas Contribution loyers et salaires Société Casa Pasta
Dossier Diététique • Organisation: Gammes de produits • Recommandation du diététicien sur les apports journaliers par patient ; likes/ dislikes par patient • Réception des contraintes par patient et établissement du cahier charges par patient :menus sur un base semaine pour 1 mois • Validation par le patient et paiement du mois de repas • Démarrage de la prestation, suivi du diététicien avec courbe de poids • Possibilité de commande le jour A pour le jour B ; modification adresse de livraison en fonction des rendez vous et des contraintes de déplacement • 15 jours avant la fin du mois n validation du mois suivant et paiement mois suivant Possibilité de segmenter les menus : festif / tradition Contrat avec le diététicien : Partenariat exclusif Contrat d’approvisionnement avec Casa Pasta ; exclusivité d’approvisionnement
Dossier Diététique • Organisation: Développement/ extensions possibles • Possibilité d’extension vers le marché du troisième âge en proposant une gamme de plats équilibrés en fonction des problématiques de carence ( calcium, fibres, vitamines, etc.…) • Travail en collaboration avec des gérontologues ( déclinaison du business model) • Possibilité d’extension vers le marché des sportifs en proposant une gamme de plats équilibrés en fonction des besoins nutritionnels ( muscles, endurance, etc..) ( apports protéiniques , fibres, vitamines, etc. Travail en collaboration avec des médecins sportifs ( déclinaison du business model) et association avec des centres de sports/ remise en forme
Dossier Diététique • Chiffrage du projet : Hypothèses du plan • Nombre de repas jour : 180 repas midi et 180 repas soir • prix de vente : 30€ TTC par repas , livré à domicile, RP • Coût de revient : 14€ +2.5€ de marge pour la fabrication • Livraison par mobylette / scooter appartenant à Casa Pasta • Plats à réchauffer ou froids • Prescripteurs médecins • 5% sur la marge dégagée / commission d’apport
Dossier Diététique • Chiffrage du projet : chiffres clés
Dossier Diététique • Chiffrage du projet : charges de personnels
Dossier Diététique • Chiffrage du projet : Estimation du Chiffre d’affaires
Dossier Diététique • Chiffrage du projet : estimation compte de résultats
Dossier Diététique • Chiffrage du projet : estimation compte de résultats
Dossier Diététique • Chiffrage du projet
Dossier Diététique • Chiffrage du projet
Dossier Diététique • Chiffrage du projet
Dossier Diététique • Nutrition, surpoids et obésité : où en est-t-on en France ? • La nutrition : un des facteurs majeurs contribuant à la survenue de • diverses pathologies. Elle n'est pas l'unique cause de ces pathologies, • mais en constitue un facteur favorisant, essentiel parmi d'autres facteurs • d'environnement ou génétique. C'est un facteur pour lequel il est possible • d'intervenir. Reconnue par l'OMS comme une maladie grave à l'origine • de complications sévères parfois mortelles, l'obésité est également un • enjeu majeur de santé publique à l'échelon mondial. • La santé et la nutrition • Si la nutrition représente un facteur de risque, elle peut aussi être un facteur • de protection. Les grandes carences alimentaires, qui persistent dans de • très nombreux pays en développement, conduisent à des malnutritions. • La relation entre nutrition et santé est maintenant, dans nos sociétés • industrialisées, d'une nature différente. Il s'agit le plus souvent d'excès, les • carences ne concernant que des groupes particuliers (personnes âgées • en institution, populations en situation de grande précarité, par exemple). • L'alimentation et l'état nutritionnel qui en résulte participent de façon • majeure à la survenue des maladies les plus répandues.
Dossier Diététique • Les principaux chiffres relatifs à la nutrition en France: • L’alimentation et l'état nutritionnel participent de façon essentielle au • développement et à l'expression clinique des maladies qui sont • aujourd'hui les plus répandues en France, comme dans l'ensemble des pays • industrialisés : • Près d'un adulte sur 5 présente une cholestérolémie supérieure à 2,50 g/l. • Les maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde, accidents vasculaires • cérébraux...) sont aujourd'hui la première cause de mortalité en France (32 % des • décès), à l'origine de près de 170 000 décès chaque année. • Les tumeurs malignes représentent 29 % de l'ensemble des décès chez • l'homme et 23 % chez la femme. Le nombre de nouveaux cas est estimé à • 280 000 par an. La nutrition intervient sur certains types de cancers • (notamment oro-pharyngés et digestifs) • L'ostéoporose, qui entraîne une fragilité osseuse exposant les patients à • un risque de fractures (en particulier du col du fémur) concernerait 10 % des • femmes à 50 ans, 20 % à 60 ans et 40 % à 75 ans. • La prévalence du diabète, tous âges confondus, est estimée entre 2 % et 2,5 % • de la population générale (plus de 80 % des diabètes sont liés à des surcharges • et à des déséquilibres nutritionnels). • L'hypercholestérolémie concerne près d'un adulte sur cinq (supérieure à 2,50 g/1).
Dossier Diététique • La surcharge pondérale et l'obésité • L'obésité correspond à une augmentation excessive de la masse grasse de • l'organisme dans une proportion telle, qu'elle peut avoir une influence sur l'état • de santé (IOTF, 1998). • La mesure de référence internationale actuelle est l'indice de masse corporelle • (IMC) [ou indice de Quételet ou Body Mass Index (BMI)], égal au rapport du poids • (en kg) sur le carré de la taille (en mètres) (IMC = P/T² en kg/m²). • Ce choix repose principalement sur les associations entre, d'une part IMC et • pourcentage de graisse corporelle, et d'autre part IMC et taux de mortalité. • Chez l'adulte, on considère actuellement que : • l'intervalle de l'IMC associé au moindre risque pour la santé est situé entre 18,5 • et 24,9 kg/m² ; • le « surpoids » correspond à l'intervalle d'IMC entre 25 et 29,9 kg/m² ; • « l'obésité » est définie par un IMC > ou = 30 kg/m² quels que soient l'âge et le sexe; • « l'obésité sévère » par un IMC supérieur à 35 kg/m² et inférieur à 40 kg/m² et • l'obésité massive » par un IMC supérieur à 40 kg/m². • Certaines limitations de l'utilisation de l'IMC sont à mentionner. • Sur de larges échantillons, il existe en général une bonne corrélation entre l'IMC et • le pourcentage de graisse corporelle.
Dossier Diététique • La surcharge pondérale et l'obésité ( suite) • Cependant, lors de comparaisons entre populations très différentes, l'IMC qui • est avant tout une mesure de corpulence ne renseigne qu'imparfaitement sur la • composition corporelle (masse grasse, masse maigre). • D'autre part, l'IMC ne mesure pas la répartition du tissu adipeux dont dépend, en • partie, le risque de complications associées à l'obésité. • C'est notamment le cas de l'adiposité abdominale, mesurée par le tour de taille • ou par le rapport tour de taille/tour de hanches, qui est associée à une • augmentation de la mortalité cardiovasculaire. • Chez l'enfant, l'obésité peut se définir par des valeurs supérieures au 97e centile • de la distribution de l'IMC pour une classe d'âge donnée (WHO, 2000) ; • par exemple, à l'âge de 10 ans, l'obésité est définie, en France, par une valeur • de l'IMC supérieure ou égale à 20 kg/m2 (valeur correspondant, à cet âge, • au 97e centile de la population de référence française).
Dossier Diététique • Les pathologies liées à l'obésité • Reconnue par l'OMS comme une maladie grave à l'origine de complications • sévères parfois mortelles, l'obésité est un enjeu majeur de santé publique à • l'échelon mondial. • Plus la quantité de graisses dans le corps est importante, plus l'organisme a besoin • d’'insuline. • Au-delà d'un seuil, la production d'insuline est dépassée, c'est le développement • du diabète : • Une personne obèse a trois fois plus de risque d'être diabétique qu'une personne • non obèse. • Plus de 80% des diabètes de type 2 peuvent être attribués à l'obésité. • L'excès de sucre expose alors à l'hypertension artérielle (HTA), aux infarctus • cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux (AVC), à des problèmes • d'ophtalmologie et des risques de plaies cutanées notamment des pieds. • Les problèmes respiratoires concernent les apnées du sommeil (pauses respiratoires • de 5 ou 10 secondes avec 20 à 30% des sujets obèses (1/4) qui souffrent d'apnées • du sommeil. • Les problèmes rhumatologiques peuvent être très handicapants, avec des douleurs • fréquentes et des lésions d'arthrose sur les hanches, genoux et vertèbres. • L'excès de graisses dans le sang, avec hypercholestérolémie, souvent associée • à l'obésité renforce les risques cardiovasculaires. L'excès de graisses dans les • veines est à l'origine de jambes lourdes, de varices et de phlébites altérant la • qualité de vie. • Différentes études montrent une relation entre excès de poids et tous les types de • cancer chez l'homme, en particulier de l'estomac, et de la prostate ou du rein • chez l'homme ou du sein et de l'utérus chez la femme. • Le risque opératoire est majoré par l'existence d'une obésité et de ses complications.
Dossier Diététique • Evolution du surpoids et de l'obésité en France • Les résultats de deux études, l'enquête nationale nutrition santé - ENNS - • réalisée par l'Institut de veille sanitaire - INVS - et une autre de l'Institut national • du cancer - INCA - réalisées en 2006-2007 montrent : • une prévalence de l'obésité adulte (IMC [1] > 30 kg/m²) de 16,9% et de surpoids • (25,0 kg/m² ≤ IMC ≤ 29,9 kg/m2, obésité non incluse) de 32,4% ; • un pourcentage d'obèses semblable chez les hommes et les femmes mais une • prévalence de surpoids plus élevée chez les hommes ; • une prévalence de l'obésité chez les enfants [2] de 3 à 17 ans de 3,5% et celle • de surpoids de 14,3%, identique chez les garçons et les filles ; • une prévalence de l'obésité qui augmente avec l'âge pour atteindre 24% chez • les 55-74 ans chez les hommes et les femmes ; • une prévalence de l'obésité sévère (indice de masse corporelle > 35 et < 40) • à 3,4%. • Il n'existe pas de chiffres antérieurs obtenus dans les mêmes conditions et permettant • une comparaison directe. • Les études OBEPI (enquête INSERM/SOFRES/ROCHE ) menées tous les 3 ans depuis • 1997 sur un échantillon national d'adultes (par déclaration téléphonique) donnent • en 2006 une prévalence de l'obésité de 12,4%, avec, entre 2003 et 2006, une • tendance au ralentissement de la courbe de prévalence d'obésité.
Dossier Diététique • Evolution du surpoids et de l'obésité en France • Cette tendance est confirmée par une analyse dans les centres d'examen de • santé du Centre Ouest depuis 1995 (plus de 330 000 sujets au total ). • Les études montrent que le ralentissement observé concerne essentiellement • les catégories aisées de la population .Une étude menée avec l'Education • nationale chez les enfants de CE1-CE2 âgés de 7 à 9 ans montre une prévalence • stable du surpoids à 18,1% et de l'obésité à 4%. • Comme pour les adultes, il existe une différence entre les enfants issus de • catégories aisées pour lesquels la tendance est à la diminution et ceux issus • de catégories défavorisées dont la fréquence d'obésité continue à croître • légèrement. • A noter enfin que cette stabilisation mise en évidence chez les enfants est réalisée • à un niveau de prévalence qui comparée à celle existant dans les autres pays • européens demeure moins élevée. • IMC = poids (en kg) / taille au carré (en m²) • Chez l'enfant, l'obésité est définie selon des courbes, en fonction de valeurs de • l'indice de masse corporelle - IMC - qui varient selon l'âge et le sexe. • Le rapport de la DREES « L'état de santé de la population en France » de 2007 note • que les évolutions des années 2000 ne montrent pas d'infléchissement mais plutôt • une augmentation de l'obésité en particulier chez les femmes .Il est donc prématurité • d'affirmer la stabilisation de l'obésité infantile : il ne s'agit pour l'instant que de • tendances statistiques affirmées sur deux mesures successives dans le temps. • Une troisième mesure a minima est impérative pour affirmer une stabilisation . • Derrière cette stabilisation apparente globale se cache un creusement des • Inégalités socio-économiques particulièrement préoccupantes .
Dossier Diététique • Quelques chiffres concernant l'Union Européenne • La France, les Pays-Bas et la Suède sont les pays où la • prévalence de l'obésité infantile est la moins importante. • Pour les adultes, en Allemagne, 20 % des adultes souffrent d'obésité, • avec 66 % des hommes et 51 % des femmes en surpoids • (étude 2005 - 2007). • 75 millions d'enfants vivent dans l'Union européenne : 22 millions sont en • surpoids, soit 29 % d'entre eux et 5,1 millions sont obèses, soit 6,8 % • d'entre eux. • Il y aurait 300 000 enfants obèses supplémentaires en Europe tous les ans • (données de l'organisation internationale pour l'étude de l'obésité - OIEO), • En Suède, 17,6 % des garçons et 27,4 % des filles de 6 à 11 ans sont en • surpoids (étude - IASO - International Association for the Study of Obesity), • les filles de 4 ans ont 6 fois plus de risque d'être obèses aujourd'hui qu'il • y a 20 ans. • Au Royaume-Uni, une des nations les plus touchées en Europe, • 29 % soit 1 enfant ou adolescent sur 3 est en surpoids ou obèse.
Dossier Diététique • Objectif général en commun avec l’état • Le Programme National Nutrition-Santé (PNNS) a comme objectif • général d’améliorer l’état de santé de l’ensemble de la population en • agissant sur l’un de ses déterminants majeurs qu’est la nutrition. • Neuf objectifs nutritionnels prioritaires en terme de Santé Publique • Augmenter la consommation de fruits et légumes. • Réduire de 25% le nombre de petits consommateurs de fruits et légumes. • Augmenter la consommation de calcium . • Réduire de 25% le nombre des personnes ayant des apports calciques en • dessous des Apports Nutritionnels Conseillés , tout en réduisant de 25% de • la prévalence des déficiences en vitamine D. • Réduire les apports lipidiques à moins de 35% de l’apport énergétique • journalier. • Augmenter l’apport glucidique à plus de 50% de l’apport énergétique • journalier, en particulier l’apport en fibres de 50% • Réduire de 25% l’apport en sucres simples • Réduire la consommation d’alcool à moins de 20g par jour dans la • population générale.
Dossier Diététique • Conséquences psychologiques de l’obésité • L'obésité peut engendrer :- des perturbations de l'image du corps : la personne obèse rejette • souvent ce corps qu'elle trouve laid,- une mésestime de soi : on se culpabilise, on se dégoûte même,- un sentiment d'exclusion et d'incompréhension dû à l'intolérance • sociale et médicale qui entoure l'obésité,- des états dépressifs dus à des régimes trop restrictifs ou à des échecs • thérapeutiques répétés. • Conséquences sociales De la même façon, l'obésité peut entraîner :- des arrêts de travail pour raisons médicales,- des difficultés à l'embauche,- une moindre rémunération,- un rejet et discrimination sociale chez l'adulte comme chez l'enfant,- une altération de la qualité de vie.
Dossier Diététique • Conséquences économiques de de l’obésité : • En France : L'obésité est malheureusement en augmentation. Sa fréquence (en terme d'épidémiologie, on parle de prévalence) est de 7% environ. Enquête SOFRES 1997, 8,4% des hommes et 7,9% des femmes de plus de 15 ans sont obèses, indice de masse corporelle de plus de 30 kg par mètre-carré. Chiffres plus inquiétants si l'on parle simplement du surpoids (à partir de 25 kg par mètre-carré) : on atteint alors 36,7% de la population. • Les coûts de l'obésité. • Les coûts directs sont les dépenses qui seraient, à l'intérieur du système de • santé, attribuées à un autre poste en l'absence de la pathologie : pour • l'essentiel des dépenses médicales liées à l'obésité. • Les coûts indirects sont les journées de travail perdues, gains non perçus. • Les coûts directs ont été par exemple évalués à 5,5% des dépenses de • santé aux Etats-Unis, à 4% aux Pays-Bas, ce qui représente plusieurs milliardsde dollars ou d'euros. • Il y a d'autre part une corrélation entre BMI (index de masse corporelle) et • co-morbidité (c'est-à-dire maladies associées à l'obésité). corrélation • significative entre BMI d'une part, et un ensemble associant coûts des soins, • nombre de consultations auprès de médecins généralistes ou spécialistes, • et nombre de journées d'hospitalisation par an supplémentaires.
Dossier Diététique • Une gamme de produits autour de recettes fraîches , et gourmandes destinées à rendre le régime facile et convivial • Une gamme de plats centrés autour de salades gourmandes, de plats cuisinés diététiques et variés • Des desserts conviviaux , créatifs et ne portant pas atteinte à la ration calorique journalière.
Dossier Diététique • Une place dans les entrées réservée à la salade • La salade est intéressante sur un plan diététique • Consommée crue et en salade, la laitue • constitue un hors-d'œuvre rafraîchissant et digeste, • qu'il est intéressant de prévoir régulièrement • dans les repas pour ses qualités nutritionnelles, et notamment sa • Haute densité minérale et vitaminique. Elle est particulièrement • appréciée dans les régimes minceur, pour son faible apport • énergétique (13 calories aux 100 g) et l'impression de satiété • qu'elle procure. • Elle peut bien entendu être aussi consommée en plat de légume • cuit. • Dans tous les cas, pour bénéficier au maximum de sa "discrétion" • calorique, il est souhaitable de limiter les corps gras d'assaisonnement.
Dossier Diététique • Gammes de produits • La composition de la salade ouvre une gamme infinie de produits • mélangeant les cultures • La salade diététique fait référence à une nouvelle catégorie de • consommation en France . • L idée de salade diététique a un lien direct avec la préoccupation d une • alimentation saine et variée . • le domaine de la diététique en en pleine expansion en France du a ses • vertus alimentaires et médicales . • Le concept même développe une multitude de gammes : • - Salade régime (femmes tout âge principe de base sur la diététique) • - Salade beauté ( segment senior « idée de salade aux minéraux actif » ) • - Salade exotique (fruits /légumes , dessert , enfants, AV multiculturel / compos libre) • - Salade gastronomique ( actifs H F « travailleur » , généralisation du produit • - Salade junior ( salade exclusivement enfants bas âges jusqu’à 10 ans • à dissocier du repas adulte)
Dossier Diététique Gammes de produits - Vive la variété ! En les variant avec d'autres aliments, poissons, viandes, oeufs, légumineuses, les salades prennent la place du plat principal. Faciles à préparer, elles se plient à tous les mélanges et expriment la personnalité des terroirs : salades niçoise, landaise, fermière, parisienne ou suédoise. Adeptes de la sobriété et du dénuement zen, composez vos salades en monochromie : rouge-tomates, vert-laitue, blanc-endive...3 salades sur le pouce . Ce système de formule de salade lie le bien être et la gourmandise . En effet le produit frais associé comme il faut peut mettre en avant des vertus .
Dossier Diététique Gammes de produits - 1)La salade minceur Ingrédients :150 g de laitue 150 g de roquette150 g de poulet grillé coupé en morceaux Préparation :Pour l'assaisonnement préparer un jus de légumes, en passant tomates, carottes et céleri au blender, ajouter une pointe de moutarde et une cuillère de vinaigre. Les plus : Une salade deux fois moins grasse et deux fois plus riche en vitamines grâce à sa vinaigrette et aux légumes. Cette formule fait référence à une gamme de produits ouverte au grand public et également à un programme prédéfini et varié avec L’aide de nutritionnistes répertoriés sur le site
Dossier Diététique Gammes de produits - Des feuilles contre les kilos !!!!! Bien que peu caloriques, les salades jouent un rôle central sur le rassasiement. Une récente étude américaine* vient d'en apporter la preuve. En ajoutant une salade au repas, les scientifiques américains ont eu l'incroyable surprise de constater que la valeur calorique de celui-ci diminuait. L'explication est simple : la salade rassasie grâce à sa teneur en fibres tout en apportant un minimum de calories. Conséquence, une fois l'entrée avalée et la faim calmée, on fait moins honneur au reste du repas. En effet, dans l'étude, plus la portion de salade est importante, plus les apports caloriques du repas diminuent : avec 3 bols de salades en entrée, les apports caloriques chutaient de 12 % alors qu'en consommant un bol et demi de salade, l'addition calorique du repas ne diminuait plus que de 7 %. Pour adapter l'étude américaine à la maison : éviter de noyer la salade sous la vinaigrette, la charcuterie ou le fromage
Dossier Diététique • salade luxe / prestige • - Salade de gambas mandarine • 38.45 € • - Salade de gambas aneth • 66.60 € • - Salade de fruit de mer • 40.40 €
Salade de melon au poisson fumé • Quand la chaleur est pesante, l'idée même • de cuisiner peut en décourager plus d'un. • Ouvrir son four préchauffé à 240° ou manger • un plat chaud n'est pas très tentant. • Ce n'est pas vraiment le cas en ce moment • mais mieux vaut être prêt ! Voici de quoi • préparer les beaux jours avec une salade • rafraîchissante, mélangeant le sucré et le salé. • Melon/poisson fumé, une association qui nous • ferait presque oublier le traditionnel • melon/jambon .
salade aux truffes : • Salade de caviar : Salade de homard • Ces exemples de salades font référence a une catégories de clientèles aisées , ayant pour objectif de goûter à des produits « haut de gamme »
Dossier Diététique • Gammes de produits : les plats minceur • Une gamme de plats étudiés pour leur faible apport calorique , dont la recette est validée par le nutritionniste et propre à chaque régime • Des recettes à base de poisson maigre , avec un principe sauçant et des légumes destinés à apporter la dose de fibres quotidienne • Fil directeur des recettes : de la gourmandise, du gout et un beau visuel pour marquer et booster l’appétence . • Présentation en barquettes micro-ondables ou à réchauffer au four classique • Possibilité de « doser » les calories en fonction des régimes , du strict au permissif • -
La cible du produit ainsi que de ses gammes A noter une gamme de produits importante pour ce qui concerne la cible Des personnes âgées avec définition d’une gamme bleue • Gamme SENIOR : Ciblée personne âgée avec un programme nutritionnel • Adapté pour remédier aux carences protéiniques . • Programme faisant référence à un service de qualité nutritionnelle • ayant la possibilité et les ressources pour livrer à domicile . • Ce système peut aider les personnes ne pouvant plus se déplacer • (ex : maladie longues durée ) et adaptés à une prescription médicale • précise • L'importance du repas : Vieillissement physique, sensoriel, physiologique, • dépression… autant de raisons qui peuvent pousser une personne âgée à • mal se nourrir . • Or, le repas est un moment particulièrement important de la journée : • il la rythme. Encore faut-il inciter la personne âgée à se nourrir et surtout à • se nourrir de manière adaptée aux besoins énergétiques et compenser • les manques tout en gardant des repas attrayants . • Les personnes âgées : conserver leurs habitudes alimentaires, avec des • repas traditionnels, et des aliments faciles à mâcher et surtout goûteux.
Dossier Diététique • Définition du système de livraison fonctionnant sur deux modules : • Cette deuxième partie du système complètement étanche à la première • en terme de consommation passe en premier lieu par une consultation • préalable par un nutritionniste en partenariat avec nous et le site • Internet . • Cette consultation va pouvoir nous renseigner sur les besoins nutritionnels • d’un patient et de le classifier dans nos formules régimes personnalisés . • Ces formules basées sur une durée prédéfinie nécessite un paiement • adapté à la consommation du patient et antérieur au début du projet • de santé . • Cela va permettre au patient de suivre la prescription du diététicien à • la lettre sans écart et avec du plaisir gustatif. • Nous pouvons traiter en terme nutritionnel n’ importe quelle demande • ou besoin avec la coopération de nos nutritionnistes –partenaires et • l’ informatisation de notre système illustré ci-dessus .
Dossier Diététique • Définition du système de livraison fonctionnant sur deux modules : • Nous avons comme objectif de mettre en application un système de • livraison totalement informatisé via le « yield management » ( logiciel de • gestion de stocks et livraisons ) • Ce système fonctionne de la manière suivante : • Un pc central va nous permettre de stocker les fichiers clients , et • personnaliser et lier avec un programme de régime défini par un • nutritionniste en contrat avec nous , • soit personnaliser dans le cadre d’une consommation publique qui • va donner un maximum de choix à celui qui composera librement • sa salade sur le site Internet et choisira ses plats fonction de sa • Consommation calorique journalière autorisée.
Dossier Diététique • Définition du système de livraison fonctionnant sur deux modules : • Ainsi nous allons pouvoir diviser le site en deux parties : • - Partie consommation grand public : • consommation de produits frais issus du commerce équitable • ( produit de qualité, bio , hors saison) . • Libre consommation de repas ayant comme support la salade (entre autre) • composable avec une multitude de produits sur le site Internet . • - commande = site Internet • - programme de production = cuisine • - k, l x = client à livrer après commande Ce dessin illustre notre système informatisé de commande et de livraison . Nous parlons de commande anticipée plus adaptées à la catégorie « régime » cependant la partie grand public livre une salade de qualité et libre dans sa composition avec une multitude de produits de qualité directement composable sur le site Internet et rapidement livrées . Ce système s approvisionne sur les stocks régime afin de ne pas avoir de perte
Dossier Diététique • Définition du système de livraison fonctionnant sur deux modules : • Partie consommation régime : • livraison de repas diététique sur une période déterminée par une consultation • préalable par un nutritionniste sous contrat avec nous définissant les apports • nécessaires afin de suivre la prescription sans écart (assurance sur les objectifs) . • schéma de distribution de la section régime : - client = modèle 0, 1, 2, 3 • - validation = nutri - soin • - expert vente = = nutritionnistes
Dossier Diététique • Accord « cadre » avec les nutritionnistes : • Mise en commun de ressources de sorte à permettre, en respectant strictement le cadre des prérogatives des praticiens , la mise à disposition de produits 100% fiables sur le plan diététique et aux normes alimentaires modernes. • Dans le cadre d’un partenariat , nous sommes « support » au service des prescriptions pour réussir ensemble l’aboutissement du régime proposé. C’est le praticien qui décide et recommande ; nous exécutons stricto sensu et rendons compte du protocole. • Dans le cadre des « bonnes pratiques » médicales, notre société effectue sa prestation , avec un cahier des charges strict et participe au suivi du patient en informant le praticien des produits consommés et adapte les composantes des plats en fonction des recommandations du praticien. • Un liaison Internet permet de renseigner et de garder le contact avec les patients et le praticien et de servir de cheville ouvrière du système global
Dossier Diététique • Prochaines étapes : • Présentation du projet et mise en place d’un pilote auprès de deux/ trois diététiciens • Mise en place de notre laboratoire et recrutement de l’équipe cuisine avec un chef formé à la diététique et sa brigade • Test sur une période 6 mois à un an sur un échantillon de personnes présentant un obésité reconnue et validation du pilote sur les aspects • Respect des prescriptions • Efficacité et rigueur de notre démarche par rapport à un groupe « placébo » • Contenu du partenariat et mise en évidence des bénéfices mutuels • Extension ensuite en région parisienne et si succès et validation au national
Dossier Diététique • Aliments enrichis : effet de mode ou réels bénéfices ? • - jus d’orange enrichis • Dans le rayon céréales pour petit déjeuner, on a du mal à trouver un • produit qui ne soit pas enrichi non seulement en vitamines, mais aussi en • fer. Et la contagion gagne les biscuits et les barres. Même remarque pour • le lait, qui est maintenant proposé additionné de fer, de zinc ou de • magnésium ; ou pour le jus d'orange qu'on trouve désormais enrichi • en calcium. • - Réel argument nutritionnel ? • Ces produits mettent généralement en avant leur vocation nutritionnelle : • ils ont pour ambition de nous éviter les inconvénients de carences • éventuelles. Comme les besoins en fer des enfants et des adolescents • sont élevés, on enrichit avec ce minéral les céréales et les biscuits • qu'ils consomment volontiers. • Les jeunes femmes qui font régulièrement des régimes manquent souvent • de fer et de magnésium... Pour y remédier, c'est dans leur lait écrémé • préféré que l'on va rajouter ces minéraux. Vous prenez souvent du jus • d'orange le matin ou au goûter plutôt que du lait... On va additionner ce • jus de fruits en calcium. Qu'importe alors si certains produits sont écartés • de l'alimentation, les enrichissement permettent d'avoir bonne • conscience !