1 / 46

CONTRACEPTION

CONTRACEPTION. Méthodes, Contre-indications,Surveillance Ph . Faucher. 86 % des femmes âgées de 20 à 24 ans utilisaient la pilule en 2000 contre 78 % en 1988. L’utilisation du dispositif intra utérin a progressé de 1978 à 1988 et est relativement stable depuis .

aqua
Télécharger la présentation

CONTRACEPTION

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. CONTRACEPTION Méthodes, Contre-indications,Surveillance Ph . Faucher

  2. 86 % des femmes âgées de 20 à 24 ans utilisaient la pilule en 2000 contre 78 % en 1988 L’utilisation du dispositif intra utérin a progressé de 1978 à 1988 et est relativement stable depuis Population & sociétés n°381 Juillet-Août 2002

  3. Le paradoxe • Taux stable d’IVG depuis 2O ans: 220 OOO/ an Nombre d’avortement par femme: 0,53 40% des femmes ont eu un avortement dans leur vie • Forte prévalence contraceptive et médicalisation croissante de la contraception moins de 5% des femmes n’utilisent pas de contraception alors qu’elles sont exposées à une grossesse et ne la souhaitent pas 80% des femmes interrogées utilisent pilule(56%) ou stérilet(15%) (INSERM enquête cocon, 2000)

  4. Efficacité des différentes méthodes de contraception

  5. Contraception Hormonale 1) Contraception orale a) Contraception oestroprogestative

  6. * L ’éthinylestradiol, œstrogène de synthèse, reste le seul estrogène employé. Son dosage est progressivement passé de 100 µg (pilules macrodosées) à 50 µg (pilules normodosées) puis maintenant à 30,20,15 µg (pilules minidosées).Cette réduction des doses d  ’estrogène a été rendue possible par la mise au point de nouveaux progestatifs * Trois classes de progestatifs sont utilisées. Tous ces progestatifs dérivent de la 19-Nor-Testostérone mais se différencient par la structure de leur noyau et par leur affinité aux récepteurs de la progestérone et aux androgènes. - Progestatifs de 1ère génération :noréthistérone,lynestrénol - Progestatifs de 2ème génération : lévonorgestrel -Progestatifs de 3ème génération : gestodène,désogestrel,norgestimate * Formulations séquentielles ou combinées * Formulations monophasiques, biphasiques et triphasiques

  7. Types de COC Monophasique: Toutes les 21 pilules actives comprennent la même quantité d’ Œstrogène/Progestatif (E/P) Biphasique: Les 21 pilules actives contiennent 2 combinaisons différentes d'E/P (par exemple, 10/11) Triphasique: Les 21 pilules actives contiennent 3 combinaisons différentes d'E/P (par exemple, 6/5/10)

  8. Mécanismes d’action Supprime l'ovulation Change l'endomètre rendant la nidation plus difficile Épaissit la glaire cervicale (empêchant la pénétration du sperme)

  9. Avantages / InconvénientsRisquesContre indications

  10. Avantages • Très efficace si utilisé de manière journalière (taux de grossesse 0,1 à 51 pour 100 femmes pendant la première année d'utilisation) • Efficace immédiatement si commencé le septième jour du cycle • Examen gynécologique pas nécessaire pour commencer l’utilisation • N'interfère pas avec les rapports sexuels • Peu d’effets secondaires • Pratique et facile à utiliser • La patiente peut en arrêter l'utilisation 1 Source: Hatcher et al 1998.

  11. Avantages sur le plan de la santé • Diminue le flot menstruel (règles moins abondantes, durée plus courte) • Diminue les dysménorrhées • Peut améliorer l'anémie • Protège contre les cancers des ovaires et de l’endomètre • Diminue les maladies bénignes des seins et des kystes ovariens • Prévient la grossesse extra-utérine • Protège contre certaines causes de MIP

  12. Limitations • Dépend de l'utilisatrice (demande une motivation continue et un emploi quotidien) • nausées, vertiges, des seins sensibles ou des maux de tête peuvent survenir • L’efficacité risque d'être moindre avec la prise de certains médicaments • L’oubli augmente l’échec de la méthode • Peut retarder le retour de la fécondité • De graves effets secondaires sont possibles (rares) • Ne protège pas contre les MST (par exemple VHB, VIH/SIDA)

  13. Risque veineux thromboembolique et contraception orale • - Femmes en bonne santé de 15 à 44 ans ne prenant pas de contraception oestroprogestative : 5 à 10 cas pour 100 000 années-femmes - Femmes prenant une pilule oestroprogestative contenant moins de 50 µg d ’ethinyloestradiol associé à du lévonorgestrel : 20 cas pour 100 000 années-femmes d ’utilisation - Femmes prenant une pilule oestroprogestative contenant au moins 20 µg d ’ethyniloestradiol associée au desogestrel ou au gestodène : 30 à 40 cas pour 100 000 années-femmes d ’utilisation • Rappel : le risque thromboembolique veineux associé à la prise de toute pilule oestroprogestative est plus faible que le risque thromboembolique veineux associé à la grossesse qui est d’environ 60 cas pour 100 000 grossesses; Par ailleurs les femmes non traitées porteuses d ’une mutation du facteur V de Leiden ont un risque de 80 pour 100 000

  14. Risque artériel thromboembolique et contraception orale • Accidents coronariens : fréquence X par 3-4 dans les années 1970 et par 1-2 dans les études plus récentes (1985-1990) • AVC : incidence X 1,2 à 2,9 • Cet excès de risque ,lorsque la dose d ’EE est inférieure à 50µg, est limité aux femmes à risque (HTA, Tabac, surpoids)

  15. * Le risque est plus élevé au cours de la première année de contraception, quel que soit le contraceptif oestroprogestatif utilisé * En fait, près de 99,95% des femmes utilisant une contraception orale par oestroprogestatifs ne connaîtront aucun problème sérieux. * La contraception oestroprogestative est contre-indiquée en cas d’antécédent ou de maladie thromboembolique veineux (phlébite, embolie pulmonaire) ou en cas d’infarctus du myocarde ou d’accident vasculaire cérébral, passés ou récents * un certain nombre de facteurs de risque doivent être pris en compte lors de la prescription de contraceptifs oestroprogestatifs, notamment l’obésité, la période suivant l’accouchement, une intervention chirurgicale récente et des antécédents familiaux de thrombose veineuse. * Il peut être nécessaire d’interrompre la contraception orale ou de commencer un traitement préventif d’une complication thromboembolique veineuse en cas d’intervention chirurgicale, de fracture, d’immobilisation prolongée ou d’alitement.

  16. Cancer et contraception orale • La contraception orale OP est associée à une diminution de 40 et 50 % respectivement du risque de cancer de l ’ovaire et de l ’endomètre • Cancer du sein: Méta analyse d ’Oxford :54 études,153 536 femmes dont 53 297 atteintes d ’un cancer du sein --> augmentation faible du risque : RR= 1,07 +/- 0,02 --> le risque est plus élevé chez les utilisatrices récentes puis diminue progressivement pour rejoindre celui des non utilisatrices 10 après l ’arrêt de la COP. --> celles qui débutent une CO moins de 5 ans après leur premières règles ont le risque le plus élevé

  17. Contre indications absolues de la contraception oestroprogestative ( WHO 2000) • Grossesse • Cancer du sein • Allaitement < 6 semaines du postpartum(<20e j en France si pas de FDR) • Age >35 ans et Tabagisme ( > 15 cig/j) • HTA ( S > 160 mm Hg ou D > 100 mm Hg ) • Diabète avec néphropathie, rétinopathie, neuropathie, vasculopathie, ou > 20 ans • Phlébite (antécédent ou actuelle) • Embolie pulmonaire ( antécédent ou actuelle) • Anomalies constitutionnelles ou acquises de la coagulation • Chirurgie avec immobilisation prolongée • Cardiopathie ischémique (antécédent ou actuelle) • Cardiopathie valvulaire avec complications • AVC • Migraine avec symptômes neurologiques focaux ou Migraine+âge > 35ans • Hépatite virale active • Cirrhose hépatique sévère ( décompensée) • Tumeur du foie ( maligne ou bénigne)

  18. Pas de restrictions ( WHO 2000) • Post partum > 21 jours sans allaitement (lendemain de l ’arrêt du Parlodel) • Post abortum • Antécédent de pré éclampsie ou de diabète gestationnel • Varices • Antécédent familial de cancer du sein • Tumeur bénigne du sein et de l ’ovaire • Cancer de l ’endomètre ou de l ’ovaire (dans l ’attente du traitement) • SIDA, VIH + , Tuberculose, Hépatite virale , Paludisme, MST • Fibromes • Maladie throphoblastique • Epilepsie • Endométriose • Thalassémie, Anémie ferriprive • Pathologie thyroïdiene: hypo ou hyperthyroïdie, goitre

  19. PrescriptionConseils aux patientesSurveillance

  20. Quand commencer ? • A n'importe quel moment si l’on est raisonnablement sûr que la cliente n'est pas enceinte. • Jour 1 à 7 du cycle menstruel • Post partum: • après 6 mois si la cliente utilise la méthode MAMA • après 3 semaines si la cliente n’allaite pas • Post avortement (immédiatement ou dans les 7 premiers jours)

  21. Effets Indésirables La contraception orale en France en 2001 : résultats d'une enquête par sondage portant sur 3609 femmes âgées de 15 à 45 ans M. N. Laveissière, C. Pélissier , M. G. Lê

  22. Prise de Poids sous COC 16% 10% 4% Facteurs associés à la prise de poids chez les femmes utilisant des contraceptifs oraux : enquête par sondage réalisée en 2001 auprès de 1665 femmes M. G. Lê, M. N. Laveissière, C. Pélissier

  23. Surveillance biologique de la contraception orale oestroprogestative ( ANAES 1998) • Femme sans antécédent personnel ou familial de maladie métabolique ou thromboembolique, qui ne fume pas et dont l ’examen clinique est normal - Premier bilan 3 à 6 mois après le début de l ’utilisation - Cholestérol total, triglycérides,glycémie à jeun - A renouveler tous les 5 ans si ces examens sont normaux • Femme ayant des antécédents familiaux thrombo-emboliques veineux documentés ( ayant touché un ou plusieurs sujets de moins de 50 ans) --> Etude de l ’hémostase

  24. Femme à risque d ’hyperlipidémie-Faire pratiquer un bilant biologique avant le traitement oestroprogestatif et 3 à 6 mois après : Cholestérol total, Triglycérides, glycémie à jeun - Si ces examens sont normaux , ce bilan est à renouveler tous les 5 ans • Femme à risque de diabète :- obèses ( > 120 % du poids idéal ou IMC > 27kg/m2 - ont un parent diabétique - font partie d ’ethnie à risque (afro-américaine, hispano américaine, origine américaine) - ont eu un nouveau né > 4kg ou un diabète gestationnel - ont une HTA - ont un HDL < 0,35g/l et/ou triglycéridémie > 2,5g/l -sont diagnostiquées comme intolérantes aux hydrates de carbone --> Glycémie a jeun avant le début de la contraception à renouveler 3 à 6 mois après / si Nle tous les 5 ans

  25. Surveillance clinique de la contraception hormonale • Avant l ’initiation de la contraception OP , seule la prise de la TA est indispensable chez les femmes asymptomatiques. L ’examen des seins et l ’examen gynécologique ne sont pas nécessaires ( WHO 2000). • Lors de la surveillance d ’une femme sous contraception OP, la surveillance de la TA et du poids sont nécessaires. L ’examen clinique des seins et l ’examen gynécologique ( dont le frottis) s ’intègrent dans les politiques de dépistage et de prévention des pathologies gynécologiques de la femme.

  26. Hyperlipidémies et COC • Il est possible de prescrire un COC en cas d’hypercholestérolémie modérée ( < 3g/l) chez les femmes de moins de 35ans en associant un régime et en surveillant la cholestérolémie • La COC ne doit pas être prescrite en cas d’hypertryglycéridémie > 2g/l mais il peut y avoir discussion si l’anomalie est corrigée, en l’absence de tabagisme associé

  27. Diabète et COC • La diabétogénicité des pilules paraît limitée; il est rarement possible d’observer des déséquilibres du diabète sous l’effet des COC • Le problème est plu sà l’effet des COC sur les lipides circulants et sur la coagulation • Les OP peuvent être utilisés s’il n’y a pas de dyslipidémie,si la TA est normale, en l’absence de tabagisme, de micro ou macro-angiopathie,et si le daibète n’évolue pas depuis plus de 15 ans. • La rétinopathie diabétique est une contre indication • Attention à la prise de poids sous COC en cas de diabète de type II

  28. Interaction médicamenteuse et contraception orale • La rifampicine : induction enzymatique (cytochrome P450 hépatique); 27 grossesses rapportées • Les anticonvulsivants sauf la Dépakine • La griséofuline • Avec les antibiotiques le risque est mineur : ampicillines,cyclines • Antirétroviraux

  29. Réunion de consensus sur les oublis de piluleParis le 24 Janvier 2003 • Oubli < 12 h pour OP et < 3h pour micro prog: prendre la dernière pilule oubliée et continuer les comprimés restants à l’heure habituelle • Oubli > 12h pour OP et > 3h pour micro prog : - prendre la dernière pilule oubliée - continuer les comprimés suivants - prendre des précautions contraceptives supplémantaires jusqu’au premier comprimé de la plaquette suivante - utiliser la contraception d’urgence si un rapport sexuel a eu lieu dans les 5 jours précédant l’oubli

  30. Comment améliorer l’observance de la contraception orale? • Carte qui sonne , portable • Supprimer la pause de 7 jours : -Varnoline continu - Les OP à 15 μg d’EE -Enchainer les plaquettes • La méthode “Quick Start”

  31. Durée de la prescription • Décret n° 2002-1216 du 30 septembre 2002 relatif à la prescription de médicaments en dénomination commune et modifiant le code de la santé publique (J.O n° 230 du 2 octobre 2002) • “Toute ordonnance comportant la prescription d'un médicament pour une durée de traitement supérieure à un mois doit, pour permettre la prise en charge de ce médicament, indiquer soit le nombre de renouvellements de la prescription par périodes maximales d'un mois, soit la durée totale de traitement, dans la limite de douze mois. Pour les médicaments contraceptifs, le renouvellement de la prescription peut se faire par périodes maximales de trois mois”

  32. Contraception Hormonale 1) Contraception orale b) Contraception micro-progestative

  33. Suppriment l’ovulation Diminuent le transport du sperme dans le tractus génital supérieur (trompes de Fallope) Changent l'endomètre rendant la nidation plus difficile Épaississent la glaire cervicale (empêchent la pénétration des spermatozoïdes)

  34. Les progestatifs microdosés • Les micropilules au levonorgestrel( Microval ) - Inhibition de l ’ovulation dans 50% des cas, diminution de la perméabilité aux spermatozoïdes,déphasage de l ’endomètre troublant la nidation, ralentissement de l ’œuf dans la trompe -Prise quotidienne, même pendant les règles, très méticuleusement car l ’efficacité peut être perdue 27 h après la dernière dose Les troubles des règles sont la principale cause d ’arrêt ; kystes fonctionnels ovariens, GEU (?) -Efficacité: 0,5 à 3 % AF • Le désogestrel 75µg en continu ( Cérazette) - suppression de l ’ovulation dans 100 % des cas -20 % d ’aménorrhée, 30 % moins de 2 épisodes de saignements/trimestre, 40 % 3 à 5 épisodes, 10 % plus de 6

  35. Avantages sur le plan contraceptif • Efficace si prise à la même heure chaque jour (de 0,05 à 5 grossesses pour 100 femmes pendant la première année d’utilisation) • Efficace immédiatement (< 24 heures) • Examen gynécologique pas nécessaire avant l’utilisation • N’interfère pas avec les rapports sexuels • N’affecte pas l’allaitement maternel • Retour immédiat de la fécondité après arrêt

  36. Avantages sur le plan contraceptif suite • Peu d’effets secondaires • Commode et facile à utiliser • La patiente peut arrêter l’utilisation • Peut être fournie par un personnel non médical formé • Ne contient pas d’œstrogènes

  37. Limitations • Cause des changements dans les modes de saignements menstruels • Peut entraîner une prise ou une perte de poids • Dépend de l’utilisatrice (demande une motivation continue et une utilisation quotidienne) • Doit être prise à la même heure chaque jour

  38. Limitations (suite) • L’oubli augmente l’échec de la méthode : -supérieur à 3h pour Microval -supérieur à 12 h pour Cerazette • L’efficacité peut être diminuée avec la prise de certains médicaments pour l’épilepsie (phénitoïne et barbituriques) ou la tuberculose (rifampicine) • Ne protège pas contre les MST (par exemple, VHB, VIH/SIDA)

  39. Quand commencer ? • Au jour 1 du cycle menstruel • N’importe quand du moment que vous êtes raisonnablement sûr que la patiente n’est pas enceinte • Post-partum: • Après 6 mois si utilisation de la méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée (MAMA) • Après 6 semaines si allaitement maternel mais n’utilise pas MAMA • Immédiatement ou après 6 semaines si n’allaite pas • Après avortement (immédiatement)

  40. Effets secondaires • Aménorrhée • Métrorragies • Douleurs pelviennes • Prise ou perte de poids • Maux de tête • Nausée/vertiges/vomissements

  41. Les contre indications absolues d ’une contraception progestative ( WHO 2000) • Cancer du sein • Grossesse • Saignements inexpliqués • (Phlébites ; Embolies pulmonaires ) • En post partum , la micropilule progestative est utilisable dès le 10eme jour en cas d ’allaitement et dès le 20 eme jour chez les femmes sous bromocriptine ; la contraception injectable est utilisable dès la fin du premier mois chez la femme qui allaite, et dès la fin de la première semaine chez la femme qui n ’allaite pas.

  42. Contraception Hormonale 2) Contraception injectable a) Dépoprovera

  43. Dépo-Provera (DMPA): 150 mg d’acétate de dépot-médroxyprogestérone injecté par voie intramusculaire tous les 3 mois • Très efficaces (0,3 grossesses pour 100 femmes pendant la première année d’utilisation) • Contre indications absolues et relatives de la contraception progestative • Attention en cas d ’antécédent ou de cardiopathie ischémique en cours, de diabète avec atteinte organique et d ’utilisation concomitante avec des drogues affectant les enzymes hépatiques

  44. Limitations • Troubles des règles • Prise de poids fréquente • Doit revenir pour une injection tous les 3 mois • Le retour de la fertilité peut être retardé pendant environ 7 à 9 mois (en moyenne) après abandon • Diminution significative de la densité osseuse , peu importante et réversible à l ’arrêt de cette contraception (Etude de la WHO sur 2474 femmes :Petitti Obstet Gynecol 2000;97:736-44).

More Related