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Objectifs. Mettre en place une formation aux risques d'origine
E N D
1. Education la prvention des risques lectriques
2. Objectifs Mettre en place une formation aux risques dorigine lectrique intgre au sciences exprimentales.
Etre apte veiller sa propre scurit et celle des personnes places sous sa responsabilit.
3. Education la prvention des risques lectriques Prvention des risques professionnels de lAcadmie dAmiens
4. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
5. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
6. Introduction 1/3 " L'cole n'a pas forcment la responsabilit de tous les apprentissages. Elle ne peut cependant l'luder en ce qui concerne l'ducation relative l'environnement, la sant et la scurit. Les sciences exprimentales doivent contribuer avec leurs moyens construire les savoirs pertinents, par exemple pour identifier et analyser les facteurs de risques dans des situations complexes.
7. Introduction 2/3 L'ducation la scurit est une partie constitutive des sciences exprimentales : elle est rendue ncessaire par les activits exprimentales que font les lves, la responsabilit qui leur est confie dans les investigations et les ralisations. Ces activits ne peuvent tre rendues totalement exemptes de risques, pour soi, les autres, les biens ou l 'environnement.
8. Introduction 3/3 II est souhaitable qu'un thme concernant la scurit puisse faire l'objet d'un projet au Collge et au Lyce pour mettre en place les notions fondamentales (risques, erreur, dfaillance et leurs consquences, prvention et protection, cots) et rflchir aux comportements individuels et collectifs. Extrait de la dclaration du Conseil National des Programmes en date du 13 novembre 1991 sur l'enseignement des sciences exprimentales
9. Q C M
10. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
11. Textes rglementaires et normes LA LOI : vote par l'assemble nationale, elle dfinit des objectifs atteindre.
LE DECRET : il dcoule d'une loi et est sign par le ministre du gouvernement concern, il prcise les buts atteindre.
L'ARRETE : il est sign par le ministre du gouvernement concern, il prcise les moyens.
LA CIRCULAIRE : mise par les ministres, elle est destine aux fonctionnaires; elle analyse les textes et dtermine une ligne d'action.
LA NOTE TECHNIQUE : mise par les ministres, elle donne une interprtation technique d'un point particulier.
12. Textes rglementaires et normes
13. Dcret du 14 novembre 1988 62 articles rpartis en 7 sections
Les sections 3, 4 et 5 qui sont les parties matresses du dcret , traitent de la prvention des risques d'lectrocution, des risques de brlure, incendie et explosion d'origine lectrique.
Les sections 2 et 6, contribuent viter l'apparition du risque et traitent l'excution, la surveillance, l'entretien et la vrification des installations lectriques.
Les sections 1 et 7 contiennent des mesures plus gnrales ou administratives.
14. Les normes Il existe trois normalisations en lectricit:
Internationale : la CEI Comit Electrotechnique Internationale
Europenne : le CENELEC Comit Europen de Normalisation Electrotechnique
Franaise : l'UTE Union Technique de l'Electricit
16. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
17. Gnralits Llectricit, la plus rpandue des sources dnergie, est devenue familire par son utilisation en milieu industriel ou domestique.
Llectricit est par contre pour beaucoup de personnes une notion abstraite car elle est invisible.
Les risques lis une mauvaise utilisation sont par consquent mal perus, ce qui se traduit malheureusement par de nombreux accidents plus ou moins graves chez les personnes averties ou non de ces dangers.
18. Accidents du travail dorigine lectrique chaque anne en France
19. Accidents du travail mortels dorigine lectrique chaque anne en France
20. Risque relatif d'accident avec arrt par ge des salaris et par secteurs d'activit
21. Diffrents risques daccidents dorigine lectrique. Gnralits Les sources de courants :
22. Cas particulier de la distribution lectrique : Schma de Liaison la Terre : TT Le neutre est reli la terre. La terre est trs bonne conductrice du courant lectrique, sa rsistance est faible.
Le potentiel de la terre est partout prsent : terre battue lextrieur, sol en bton arm dans les btiments, charpente mtallique, lments conducteurs relis intentionnellement ou de fait au potentiel de la terre.
Le corps humain est donc frquemment en contact avec le potentiel de la terre ; cest pour cela quil est important de contrler lapparition sur certains lments conducteurs accessibles dun potentiel diffrent de celui de la terre.
TENSION DE CONTACT : Diffrence de potentiel apparaissant lors dun dfaut disolement entre des parties simultanment accessibles.
23. Accidents dorigine lectrique
24. Causes d'accident Lorigine de l'accident dpend des types de contact entre la personne et l'lment sous tension. Ces types de contact sont de deux sortes : - Contact direct : contact de personne avec une partie active d'un circuit lectrique. - Contact indirect : contact de personnes avec une masse mise accidentellement sous tension la suite d'un dfaut d'isolement.
Parfois il nest pas ncessaire dtablir un contact physique pour causer un accident.
Court-circuit : contact ralis par un objet mtallique entre une masse et une partie active sous tension ou entre deux parties actives sous tension.
25. Contact direct : Contact entre une partie active sous tension et un lment conducteur reli la terre.
TRS FRQUENT
26. Contact direct : Contact entre une partie active sous tension et une autre partie active sous tension. FRQUENT
27. Contact indirect Contact entre une masse mise accidentellement sous tension et un lment conducteur reli la terre. RELATIVEMENT FRQUENT
28. Contact indirect Contact entre une masse mise accidentellement sous tension et une autre masse mise accidentellement sous tension. TRS RARE
29. Court-circuit
30. Formes dlectrisation
31. Origine des risques : Les risques sont diffrents suivant :
- Les caractristiques du courant,
- Les conditions d'humidit, le temps de passage,
- Le trajet du courant dans le corps,
- Ltat physiologique de la personne.
32. Rle de la tension Le dbut du processus d'lectrisation n'est perceptible qu' partir d'une certaine valeur de tension. Un contact entre deux bornes d'une batterie de voiture (12 ou 24 V) n'occasionne aucune sensation au niveau du corps humain. Par contre, un mme contact aux bornes d'une prise de courant (240 V) se traduira par une sensation douloureuse, voire un coma.
En fait, notre corps est protg par la peau, qui reprsente une barrire physiologique s'opposant aux sensations de l'lectricit.
Laugmentation de la tension applique au niveau de la peau entrane la perforation de celle-ci.
33. Tension limite conventionnelle de contact
34. Impdance du corps humain Les tissus du corps humain peuvent tre reprsents par une succession de rsistances R et de ractances X, le tout constituant une impdance Z :
L'impdance : Z2 = R2 + X2
35. Variation de la rsistance du corps humain en fonction de la tension de contact et de ltat de la peau
36. Valeurs moyenne de la rsistance du corps humain en fonction de la tension de contact et des diffrentes conditions dhumidit de la peau
37. Rle de lintensit L'intensit est dtermine par la tension et l'impdance du corps humain.
- Effets physiques (brlures)
- Effets sur les muscles
- Effets sur le cur
- Effets sur le systme nerveux
38. Les brlures par arc sont dues lintense chaleur dgage par effet Joule au cours de la production de larc lectrique ainsi quaux projections de particules mtalliques en fusion. Ce sont les plus frquentes tant en basse tension, quen haute tension.
En basse tension elles sont localises aux parties dcouvertes (mains et faces).
Les arcs peuvent entraner galement des conjonctivites, des brlures cornennes.
Brlures par arc
39. Les brlures lectrothermiques sont provoques par lnergie dissipe par effet Joule tout le long du trajet du courant.
Ces brlures sont toujours plus tendues quelles napparaissent lors dun premier examen, car aux brlures superficielles sassocient des brlures profondes, le long du trajet du courant, et en particulier au niveau des masses musculaires.
Dans les heures qui suivent ce type de brlure, un blocage temporaire des reins (parfois mortel) peut apparatre d de la libration dans le sang de myoglobine, libration cause par la brlure des tissus musculaires internes. Brlures lectrothermiques
40. Effets sur les muscles L'intensit est dtermine par la valeur de la tension de contact et l'impdance du corps humain.
Pour ce qui nous concerne, on distingue, au niveau du corps humain :
les muscles moteurs commands par le cerveau (cas des muscles des membres)
les muscles auto rflexes qui fonctionnent automatiquement, tels la cage thoracique et le cur.
41. Muscles moteurs Les muscles assurent par leur contractibilit et leur lasticit les mouvements du corps. Les muscles antagonistes par leurs actions opposes permettent la flexion et l'extension des membres. C'est le cas du biceps et du triceps du bras.
Le cerveau ne contrle plus les muscles parcourus par un courant lectrique, ce qui a pour effet de provoquer de violentes contractions.
Ces conditions, gnrant des mouvements intempestifs, se traduisent par le non lcher de la pice, objet de contact, ou par rpulsion, compte tenu de la nature du muscle sollicit (flchisseur ou extenseur).
42. Muscles cages thoracique La cage thoracique fonctionne automatiquement sous le contrle du cervelet qui commande les nombreux muscles concerns par la fonction respiratoire (diaphragme notamment).
Lasphyxie d'origine respiratoire peut donc tre due l'action du courant lectrique au niveau :
des muscles thoraciques provoquant la ttanisation,
du cervelet entranant l'arrt respiratoire pur et simple.
43. Cycle cardiaque et fibrillation Le cur possde ses propres systmes de commande automatique. C'est durant la phase de repolarisation ventriculaire que le cur est le plus vulnrable
44. Le seuil de fibrillation ventriculaire dpend :
des paramtres physiologiques (anatomie du corps, tat des fonctions cardiaques, etc.)
des paramtres lectriques (dure et parcours du courant, forme de courant, etc.)
En courant alternatif (50 ou 60 Hz), le seuil de fibrillation dcrot considrablement si la dure de passage du courant est prolonge au-del d'un cycle cardiaque. Cycle cardiaque et fibrillation (suite)
45. Effet du courant lectrique Les effets se manifestent diffremment partir de seuils qui sont fonction :
du type de courant : alternatif ou continu,
du domaine de frquence de la tension,
du type d'onde de courant.
Le choc lectrique peut avoir des effets secondaires, parfois plus dangereux que l'lectrisation
traumatisme suite une chute,
troubles auditifs, de la vue,
troubles nerveux, etc.
46. Cycle zone temps /courant des effets du courant alternatif (15 100 Hz) sur des personnes.
47. Les donnes prsentes proviennent dexprimentations faites directement sur l'homme jusqu'au seuil de contraction. Les autres phnomnes ont t provoqus sur des animaux. Elles rsument les effets produits par un courant alternatif (50/60 Hz) suivant l'intensit du courant et son temps de passage. Effets du passage du courant alternatif 50/60 Hz
48. Impdance de la peau pour des frquences suprieures 100 Hz L'impdance de la peau est pratiquement inversement proportionnelle la frquence pour des tensions de contact de quelques dizaines de volts.
On estime qu' 500 Hz, l'impdance de la peau est environ le dixime de celle 50 Hz, elle peut donc tre nglige dans beaucoup de cas.
l'impdance totale du corps humain peut tre assimile son impdance interne Zi.
49. Effets du courant alternatif passant dans le corps humain pour les frquences suprieures 100 Hz Lnergie lectrique sous la forme de courant alternatif de frquence suprieure 50/60 Hz est de plus en plus utilise dans les matriels lectriques modernes :
Aviation (400 Hz),
Les outils portatifs et le soudage lectrique (100, 200, 300 Hz et jusqu' 450 Hz),
L'lectrothrapie (quelques kHz),
Les alimentations de puissance de 20 kHz 1 GHz.
50. Seuil de lcher en fonction de lintensit et de la frquence du courant.
51. Autres effets du courant pour des frquences suprieures 10 000 Hz. Pour des frquences comprises entre 10 kHz et 100 kHz, le seuil de perception s'lve approximativement de 10 mA 100 mA.
A des frquences suprieures 100 kHz, une sensation de chaleur au lieu de picotement caractrise le seuil de perception pour des courants de quelques centaines de milliampres.
Avec des courants de quelques ampres, l'apparition de brlures est probable en fonction du temps de passage du courant.
52. Les effets du courant continu Le courant continu entrane les mmes consquences que le courant alternatif de 50 Hz avec un facteur dquivalence en ce qui concerne les seuils de 4.
53. Autres effets du courant continu Pour des courants infrieurs 300 mA environ, une sensation de chaleur est sentie dans les extrmits pendant le passage du courant.
Les courants transversaux d'intensit au plus gale 300 mA passant travers le corps humain pendant plusieurs minutes peuvent provoquer des arythmies cardiaques rversibles, des brlures, des vertiges et parfois l'inconscience.
Au dessus de 300 mA, l'inconscience se produit frquemment.
54. Effets de llectrisation en fonction du type et de la valeur de la tension En courant alternatif
en dessous de 50 V absence d'accident mortel ;
entre 50 et 500 V, on constate de plus grand pourcentage de fibrillation cardiaque ;
pour des tensions de l'ordre de 500 1 000 V il y a principalement syncope respiratoire et brlures ;
partir d'environ 1 000 V les brlures internes de type hmorragique avec libration de myoglobine (blocage des reins).
55. Effets de llectrisation en fonction du type et de la valeur de la tension En courant continu
en dessous de 120 V absence d'accident mortel ;
entre 120 et 750 V, tensions peu rpandues, o l'on constate des effets d'lectrolyse et des brlures par effet Joule ;
partir d'environ 750 V les accidents entranent surtout des brlures internes et externes.
56. Conclusions Tous les divers aspects du risque lectrique et les gravits engendres ont amen le lgislateur crer des domaines de tension afin de dfinir ensuite la prvention mettre en uvre.
57. DOMAINE DE TENSION
58. Plan dintervention dun S S T
59. Prvention des risques lectriques
60. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
61. Prvention des risques lectriques
62. Prvention des risques lectriques
63. Schmas des liaisons la terre
64. Schmas des liaisons la terre
65. Schmas des liaisons la terre
66. Le rgime TT
67. Le dispositif diffrentiel
68. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
69. Rinvestissement
70. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
71. Sommaire Objectifs
Introduction
Lgislation
Sensibilisation aux risques lectriques
Prvention des risques lectrique
Rinvestissement
Evaluation
Bibliographie, ressources
72. Pour en savoir plus L'Institut National de Recherche et de Scurit a dit plusieurs publications relatives au risque lectrique et sa prvention :
ED1501 Le risque lectrique
ED723 Protection des travailleurs dans les tablissements qui mettent en uvre des courants lectriques
ED017 La nouvelle publication UTEC18-510
Catalogue des publications ED318
Catalogue des affiches ED390
Catalogue des audiovisuels et aides pdagogiques ED492
Catalogue gnral (CD-Rom) CD1
73. Pour en savoir plus Centre Ressources
Prvention des risques professionnels
Lyce J.B. Delambre
3, Rue Montaigne
80084 Amiens Cedex 2
Tel, fax, Rpondeur : 03 22 66 30 94
Adresse lectronique : CENTRE-RESSOURCES.PRP.AMIENS@wanadoo.fr
74. LES CAISSES REGIONALES D'ASSURANCE MALADIE Les Caisses rgionales d'assurance maladie disposent, pour diminuer les risques professionnels dans leur rgion, d'un service prvention. Les ingnieurs-conseils et de contrleurs de scurit sont mme non seulement de dceler les risques professionnels, mais galement de prconiser les mesures prventives les mieux adaptes et d'apporter, par leurs conseils, par la diffusion de la documentation dite par l'institut national de recherche et de scurit, une aide particulirement efficace l'action des comits d'hygine, de scurit et des conditions de travail.
75. L'INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SECURITE
L'lnstitut National de Recherche et de Scurit (INRS) est une association dclare sans but lucratif (loi du 1er juillet 1901) L'INRS recueille, labore et diffuse toute documentation intressant l'hygine et la scurit du travail
Il forme des techniciens de la prvention et procde en son centre de recherche de Nancy aux tudes permettant d'amliorer les conditions de scurit et l'hygine de travail
76. http://www.ac-amiens.fr/
77. Limpdance de la peau varie pour chaque individu en fonction, essentiellement, des paramtres suivants : Impdance de contact
78. Ttanisation des muscles respiratoires Lorsque que le trajet du courant intresse les muscles respiratoires (intercostaux, pectoraux et diaphragme) il se produit une asphyxie ventilatoire avec cyanose (syncope bleu). La mort peut survenir en trois minutes environ si le courant nest pas interrompu.
79. Dfinition : Impdance interne Limpdance interne (Zi) est sensiblement toujours la mme pour un mme individu, sauf si la surface de contact est trs faible, auquel cas elle augmente.
80. Schma quivalent
81. Dfinition : Dfaut disolement Dfaillance de lisolation dune partie active dun circuit lectrique entranant une perte disolement de cette partie active pouvant aller jusqu' une liaison accidentelle entre deux points de potentiels diffrents (dfaut franc).
82. Dfinition : Masse Partie conductrice dun matriel lectrique susceptible dtre touche par une personne, qui nest pas normalement sous tension mais peut le devenir en cas de
dfaut disolement
des parties actives de ce matriel.
83. Dfinition : Partie active Toute partie conductrice destine tre sous tension en service normal.
84. Dfinition : Conditions BB1 Condition BB1 (article 322.2 NF C 15-100)
La peau est sche, le sol prsente une rsistance importante, y compris la prsence de chaussures, et les personnes se trouvent dans des locaux (ou emplacements) secs ou humides (condition dinfluences externes AD1, AD2 et AD3).
85. Dfinition : Conditions BB2 Condition BB2 (article 322.2 NF C 15-100)
La peau est mouille, le sol prsente une rsistance faible, et les personnes se trouvent dans des locaux (ou emplacements) mouills (condition dinfluences externes AD4, AD5 et AD6).
86. Dfinition : Conditions BB3 Condition BB3 (article 322.2 NF C 15-100)
La peau est immerge dans leau, il existe une infinit de points de contact et la rsistance totale du corps humain se rduit la rsistance interne.
87. Secousse lectrique Cest le rsultat de la contraction du muscle provoqu par une excitation unique et brve. Le mouvement de rflexe peut entraner des dangers secondaires tels que le lcher dun outil, la chute dune chelle ou dun chafaudage, laccrochage par des parties de machines en mouvement.
88. Contraction musculaire Si lon interrompt rythmiquement le passage du courant continu dans un muscle, on observe une srie de secousses successives qui se rapprochent quand la frquence des interruptions slve. Lorsque le muscle na plus le temps de se relcher (f = 50 Hz), cest le phnomne de contracture permanente ou ttanos lectrique.
Suivant le type de muscle mis en jeu :
muscle flchisseur : le sujet est incapable de lcher prise.
muscle extenseur : le sujet peut tre projet.
89. La trs basse tension TBT
90. La trs basse tension de scurit TBTS
91. La trs basse tension de scurit TBTP
92. La trs basse tension de scurit TBTF
93. Classe disolation
94. Classe I
95. Classe II
96. Classe III
97. Les catgories de surtension ou dinstallation
98. LA PRATIQUE DES CATEGORIES DE SURTENSION
99. Protection contre les contacts directs
100. Indice de protection
101. Protection contre les contacts indirects
102. Coupure automatique
103. Sparation des circuits
104. Protection contre les contacts indirects
105. Pour en savoir plus Centre Ressources
Prvention des risques professionnels
Lyce J.B. Delambre
3, Rue Montaigne
80084 Amiens Cedex 2
Tel, fax, Rpondeur : 03 22 66 30 94
Adresse lectronique : CENTRE-RESSOURCES.PRP.AMIENS@wanadoo.fr
