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CONVERGER VERS UNE INTEROP RABILIT DES APPLICATIONS D TABLISSEMENTS : M THODES ET OUTILS

SOMMAIRE. INTRODUCTIONL'INTEROPRABILITUNE SOLUTON D'CHANGE DANS LE SI : L'ESBCONCLUSION. Confrence "Converger vers une interoprabilit des applications des tablissements : mthodes et outils". Confrence GCS Tlsant Lorraine. 17.06.2009. 1.. INTRODUCTION. Confrence GCS Tlsant Lorrai

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CONVERGER VERS UNE INTEROP RABILIT DES APPLICATIONS D TABLISSEMENTS : M THODES ET OUTILS

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    1. Version 1 CONVERGER VERS UNE INTEROPÉRABILITÉ DES APPLICATIONS D'ÉTABLISSEMENTS : MÉTHODES ET OUTILS 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    2. SOMMAIRE INTRODUCTION L'INTEROPÉRABILITÉ UNE SOLUTON D'ÉCHANGE DANS LE SI : L'ESB CONCLUSION Conférence "Converger vers une interopérabilité des applications des établissements : méthodes et outils" Conférence GCS Télésanté Lorraine Préciser la durée : environ 45 min Préciser la durée : environ 45 min

    3. 17.06.2009 1. INTRODUCTION Conférence GCS Télésanté Lorraine

    4. 1. GÉNÈSE DE CETTE PRÉSENTATION Au départ était la démarche du G5 ayant pour but de définir les caractéristiques techniques pour la mise en place d'un ESB afin de : Conduire une démarche de choix de produit ESB S'assurer que lors du choix d'une solution applicative, cette dernière puisse fonctionner avec un ESB La démarche s'est rapidement heurtée à une problématique plus large : l'interopérabilité La démarche du G5 a entamé une réponse à cette problématique qu'il est nécessaire d'affiner et de partager d'où cette conférence organisée par le GCS Télésanté 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine Réponse entamée sous la forme d'un document commun d'interopérabilitéRéponse entamée sous la forme d'un document commun d'interopérabilité

    5. 1. PRÉSENTATION FONTAINE CONSULTANTS 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    6. 1. PRÉSENTATION FONTAINE CONSULTANTS 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    7. 1. PRÉSENTATION FONTAINE CONSULTANTS 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    8. 1. PRÉSENTATION FONTAINE CONSULTANTS 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    9. 2. L’INTEROPÉRABILITÉ Conférence GCS Télésanté Lorraine 17.06.2009

    10. 2. QU'EST CE QUE L'INTEROPÉRABILITÉ ? Une autre vision : L'interopérabilité est la capacité de systèmes hétérogènes à échanger leurs données, de sorte que celles émises par l'un puissent être reconnues et interprétées par les autres, utilisées et traitées et cela avec le minimum d'effort au moment de la mise en œuvre Concrètement, l'interopérabilité cherche à permettre à des applications souvent conçues en "silo" de partager des données communes (ex : données patient) L'interopérabilité, c'est : Souvent un compromis Ensuite, une volonté Après, un effort… constant Enfin, un investissement payant ! (car il vaut mieux prévoir que subir) 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine Interopérabilité signifie : on sait à l’avance que cela va marcher sans trop d’effort à la mise en place C’est une faculté. Elle se travaille donc et demande un effort. Compromis entre un coût important ponctuel (on prend une prestation de service pour réaliser une « interopérabilité spécifique »(i.e. un développement spécifique limité à ce cas précis) ou un effort constant (on « investit » au fur et à mesure dans l’interopérabilité pour gagner du temps quand il faudra vraiment connecter les applis Interopérabilité signifie : on sait à l’avance que cela va marcher sans trop d’effort à la mise en place C’est une faculté. Elle se travaille donc et demande un effort. Compromis entre un coût important ponctuel (on prend une prestation de service pour réaliser une « interopérabilité spécifique »(i.e. un développement spécifique limité à ce cas précis) ou un effort constant (on « investit » au fur et à mesure dans l’interopérabilité pour gagner du temps quand il faudra vraiment connecter les applis

    11. 2. LES DIFFÉRENTS DOMAINES DE L'INTEROPÉRABILITÉ L'intéropérabilité doit couvrir plusieurs domaines pour remplir pleinement sa mission: Domaine technique ? Pouvoir communiquer et échanger l'information Domaine syntaxique ? Savoir communiquer Domaine sémantique ? Comprendre l’information Domaine sécurité ? Sécuriser l’information Domaine processus ? Rendre le service attendu 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine Technique : les technologies, protocoles, standards et normes techniques utilisés doivent être compatibles et pouvoir fonctionner ensemble Syntaxique : formater les données Sémantique : donne le sens aux informations Processus : les composants doivent savoir quoi faire Domaines: Parabole avec un couple - Technique : etre en présence (physique, tel, mail, ….) - Semantique : parler la même langue (argot, patois, langue différente) - Processus : Si ta femme est en face, parle le même langue que toi mais qu’elle n’écoute pas car il y a la starac à la télé… Domaines: Parabole avec le domaine de la santé - Technique : IT en général - Semantique : normes et standards santé (IHE, HL7, etc. ) - Processus : processus propres à l’établissement ou au domaine de santé (c’est pour cela que les progiciels existent) Technique : les technologies, protocoles, standards et normes techniques utilisés doivent être compatibles et pouvoir fonctionner ensemble Syntaxique : formater les données Sémantique : donne le sens aux informations Processus : les composants doivent savoir quoi faire Domaines: Parabole avec un couple - Technique : etre en présence (physique, tel, mail, ….) - Semantique : parler la même langue (argot, patois, langue différente) - Processus : Si ta femme est en face, parle le même langue que toi mais qu’elle n’écoute pas car il y a la starac à la télé… Domaines: Parabole avec le domaine de la santé - Technique : IT en général - Semantique : normes et standards santé (IHE, HL7, etc. ) - Processus : processus propres à l’établissement ou au domaine de santé (c’est pour cela que les progiciels existent)

    12. 2. OU S'APPLIQUE L'INTEROPÉRABILITÉ ? Les composants informatiques devant interopérer peuvent être gérés par des entités différentes Ainsi, l'intéropérabilité peut intervenir à plusieurs niveaux : À l'intérieur d'un établissement (cas des applications du SIH de l'établissement) À un niveau local entre plusieurs ES y compris la médecine de ville À un niveau régional (par exemple par des initiatives régionales comme le GCS Télésanté) À un niveau national (par exemple dans le cadre de projets nationaux comme le DMP) À un niveau international (par exemple dans le cadre de normalisation ou standardisation internationales comme HL7 ou IHE) 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine Chaque niveau vient avec son lot de difficulté et spécificité. Hors d’établissement : non maitrise de tous les composants informatiques National : plus de contraintes (peut être même légales) à respecter… International : barrière de la langue pour la sémantiqueChaque niveau vient avec son lot de difficulté et spécificité. Hors d’établissement : non maitrise de tous les composants informatiques National : plus de contraintes (peut être même légales) à respecter… International : barrière de la langue pour la sémantique

    13. 2. QUELS SONT LES ENJEUX… Éviter les interactions médicamenteuses et les accidents médicaux Rendre un meilleur service aux patients et améliorer la qualité de soin Limiter la redondance des soins et optimiser les ressources allouées pour la santé Réduire des coûts IT pour les établissements Assurer la pérénnité des solutions IT 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    14. 2. …ET POURQUOI CE N'EST PAS SIMPLE Pour garantir l'interopérabilité, il faudrait décrire de manière non ambigüe et exhaustive le mécanisme d'échange (technologies, interfaces, protocoles, données échangées, retour attendu)… …et que les parties impliquées implémentent scrupuleusement ce qui est décrit. Or ceci est très difficile car : Il y a une multitude de facteur de divergence : technologies, protocoles, offres, processus métiers, langues, spécificités nationales, etc. Il y a un manque de communication entre les parties… … qui n’est pas entièrement comblé par les normes et standards définis ou en cours qui sont parfois incomplets et/ou interprétables Il peut de même exister plusieurs normes pour un même sujet et objectif Les acteurs, qui ont leur propre intérêt, interpretent ou ne respectent pas scrupuleusement ce qui est défini (notamment les éditeurs de logiciel) C'est un investissement coûteux en ressources avec un retour qui n'est pas toujours ni immédiat ni même parfois identifiable 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine Normes : +sieurs normes pour un même périmètre, une même application : int vs France, Propriétaire vs « open » Normes : +sieurs normes pour un même périmètre, une même application : int vs France, Propriétaire vs « open »

    15. 2. ETAT DE L'ART ET SOLUTIONS Des référentiels… Le Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI) de l'administration La déclinaison pour le domaine de la santé effectuée par le GMSIH …qui définissent les normes et standards à utiliser Attention, il ne suffit pas de demander la conformité à telle norme ou standard Il faut utiliser ce qu'offrent ces normes et standards pour décrire le plus précisement possible l'échange attendu Cas IHE : fournit une nomenclature, des concepts, et même des cas complets (quintuplet) pré-définis et utilisable tel quel ! Des projets fédérateurs (par exemple le DMP) qui vont obligatoirement et naturellement impliquer des contraintes d'interopérabilité… …mais qui vont aussi fournir les moyens et travailler à cette dernière 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine RGI enfin disponible ce matin !!! Remarque : - Plus on est précis et plus on restreint ? ce qui est l’effet voulu mais qui peut aussi s’avérer trop restrictif pour les réponses. RGI enfin disponible ce matin !!! Remarque : - Plus on est précis et plus on restreint ? ce qui est l’effet voulu mais qui peut aussi s’avérer trop restrictif pour les réponses.

    16. 2. QUELQUES PRINCIPES POUR L'INTEROPÉRABILITÉ Le diable est dans les détails ! Les solutions pour l'interopérabilité doivent être exhaustives et non ambiguës Pas la peine de réinventer la roue ! S'appuyer sur les référentiels, normes, standards et travaux existants Les paroles s'envolent et les écrits restent ! Formaliser pour : partager, contractualiser, capitaliser… Cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage ! Assurer l'interopérabilité nécessite un effort constant (veille, etc.) La technologie n'est pas la solution mais peut aider ! L'interopérabilité doit être aussi et surtout être assurée au niveau sémantique L'interopérabilité ne vaut que si elle est partagée par tous ! L'interopérabilité doit être un effort commun pour un bénéfice commun 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine Expliquer chacune des maximes 1. Doit être non ambiguë et exhausitif 2. Tout spécifier de zero ne sert à rien. Il faut s’appuyer tant que possible sur les référentiels, normes et standards existants (IHE, HL7,etc.) et les organismes (GCS, GMSIH, etc.) 3. Il faut formaliser pour : - Partager - contractualiser – capitaliser 4. Assurer l’interopérabilité est un effort de longue haleine et constant 5. L’interopérabilité n’est pas qu’un pb technique ! Et donc la technologie seule ne peut pas resoudre le pb. 6. L’interop pour soi tout seul dans son coin n’a pas grand intérêt… Expliquer chacune des maximes 1. Doit être non ambiguë et exhausitif 2. Tout spécifier de zero ne sert à rien. Il faut s’appuyer tant que possible sur les référentiels, normes et standards existants (IHE, HL7,etc.) et les organismes (GCS, GMSIH, etc.) 3. Il faut formaliser pour : - Partager - contractualiser – capitaliser 4. Assurer l’interopérabilité est un effort de longue haleine et constant 5. L’interopérabilité n’est pas qu’un pb technique ! Et donc la technologie seule ne peut pas resoudre le pb. 6. L’interop pour soi tout seul dans son coin n’a pas grand intérêt…

    17. 3. UNE SOLUTION D'ÉCHANGE DANS LE SI : L'ESB Conférence GCS Télésanté Lorraine 17.06.2009

    18. 3. Nature : middleware qui gère la communication, la médiation et l'intégration des services dans une architecture orientée services Fonction : route, transforme, enrichie, vérifie, valide et permet d'exploiter des messages entre différents services. Intérêt : garanti le couplage lâche en évitant le codage d'interface point à point permettant ainsi l'agilité du SIH. 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine QU'EST CE QU'UN ESB ?

    19. 3. ETL (Extract – Transform – Load) Technologie middleware permettant de faire des synchronisation massive de données (utilisé essentiellement pour les bases de données) Mode push au niveau données EAI (Enterprise Application Integration) Technologie middleware permettant d'assurer l'intégration entre applications c'est à dire qu'une information générée par un évenement sur une application est routée à d'autres applications pour être prise en compte et traitée (architecture orientée progiciels) Mode push ESB (Entreprise Service Bus) Technologie middleware permettant d'assurer qu'une requete d'un "client" est acheminée jusqu'au fournisseur de service et que la réponse soit retournée au client (architecture orientée service – SOA) Mode pull (requète/réponse) 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine POSITIONNEMENT PAR RAPPORT AUX AUTRES OUTILS Le terme de SOA est peut être galvaudée aujourd’hui mais les principes fondateurs restent toutefois valables. Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ? Le terme de SOA est peut être galvaudée aujourd’hui mais les principes fondateurs restent toutefois valables. Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ?

    20. 3. Bien qu’il puisse fonctionner comme un EAI, l’ESB est un outils d’intégration spécialisé pour les architectures orientée services (SOA) Ainsi afin de tirer pleinement partie d’un ESB, il est donc nécessaire d’avoir un SI urbanisé et dont les applications proposent des services pouvant être consommés tel que: La possibilité pour les applications de fonctionner avec un référentiel externe (pour accéder aux données de référence par exemple), En corollaire, pour les applications possédant des données de référence, la possibilité de mettre à disposition des services (de niveau fonctionnel/métier) adressables par les autres applications, La possibilité d'accès distant via les TIC et les nombreuses normes et technologies liées à Internet (Web Service, SOAP, …), Un mode de fonctionnement orienté temps réel, Un découpage fonctionnel clair entre les différentes applications qui permet de savoir quelle application rend quel service avec quelles données, etc. 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine QUEL EST LE CADRE D'UTILISATION D'UN ESB ? Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ? Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ?

    21. 3. Un ESB apporte principalement : Un ensemble de services d’échange de données et de gestion des flux Le transport lui même avec une garantie de qualité de services, La sécurité, Le routage, L'orchestration La transformation de données, Des mécanismes de contrôle sur les flux (alertes, validation, etc.) Une administration centralisée de la configuration Des connecteurs spécialisés De la haute disponibilité… 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine APPORTS D'UN ESB IMPORTANT : Les connecteurs qui peuvent faire le lien avec une technologie, un format de données, etc. Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ? IMPORTANT : Les connecteurs qui peuvent faire le lien avec une technologie, un format de données, etc. Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ?

    22. 3. 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine SCHÉMA DE PRINCIPE Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ? Quizz : Etant donné le paysage applicatif dans les ES, pourquoi l’EAI est présent et l’ESB absent ?

    23. 3. Un marché avec de nombreux acteurs (liste non exhaustive) : Des généralistes : Oracle (incluant BEA, Sun), IBM, Software AG, Tibco, etc. Des spécialisés : SonicSoftware, Fiorano, etc. Des acteurs Open soucre : Mule, Apache, ObjectWeb, etc. Le marché arrive à maturité du point de vue … Des produits, Des normes Des technologies De la vision … mais est encore en consolidation : plusieurs rachats en 2008 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine LE MARCHÉ Solutions données à titre d’exemple Note il ne semble pas exister d’outils qui se dit de nature ESB dans le domaine de la santé => signification en soiSolutions données à titre d’exemple Note il ne semble pas exister d’outils qui se dit de nature ESB dans le domaine de la santé => signification en soi

    24. 3. La tarification de ce type de solution est propre à chaque éditeur et peut dépendre de : Du nombre de processeurs (virtuels ou non) utilisés, Des connecteurs associés, De la disponibilité requise (HA) De la taille de l'établissement, Du commercial… Coût de ce type de solution : environ 40K€.cpu Nécessité de contacter les éditeurs pour avoir des informations tarifaires précises Les gros editeurs (Bea, Oracle, IBM…), de part leur clientèle de grands comptes auront peut être des politiques tarifaires plus élevées Opportunité : Bénéficier de la crise actuelle pour négocier avec les éditeurs ? 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine LE COÛT Le coût est donner à titre d’exemple pour avoir l’ordre de grandeur.Le coût est donner à titre d’exemple pour avoir l’ordre de grandeur.

    25. 3. Une étude poussée est nécessaire pour prendre en compte : Les besoins et contraintes de l'établissement (par exemple : criticité) L'existant en terme SI et de standards en place Les orientations d'organismes ad hoc regionaux ou nationaux (GCS, GMSIH) Les fonctions et orientation des produits (respect des normes et standards, pérennité) Le prix des solutions, de leur mise en œuvre et de fonctionnement 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine COMMENT CHOISIR SON ESB ? Solution orientée santé : bien vérifier soit possibilité de faire du webservice, soit possibilité d’intégration avec un ESB, ou possibilité de réversibilitéSolution orientée santé : bien vérifier soit possibilité de faire du webservice, soit possibilité d’intégration avec un ESB, ou possibilité de réversibilité

    26. 4. CONCLUSION Conférence GCS Télésanté Lorraine 17.06.2009

    27. 4. CONCLUSION L'ESB n'est pas une solution miracle au problème d'interopérabilité ! Pour répondre à la problématique d'interopérabilité, il faut : Spécifier scrupuleusement ce que l'on veut, Restreindre les possibilités de choix afin d'éviter celles que l'on ne souhaite pas et enfin converger vers un cœur de solutions (technologies, nomenclatures, normes, etc.) que l'on souhaite pérénniser dans son SI. Pour l'implémentation de ces solutions, l'ESB peut apporter de la flexibilité, réactivité et simplicité en plus de réponses au différent niveau de l’interopérabilité : Toutefois ne pas oublier un prérequis important : la démarche d’urbanisation! Elle doit s'incrire dans une mise en place progressive Tout en s’assurant de la gestion des interfaces (maintenance, gestion, version…) Mise en place de référentiels transverses Pour laquelle il est nécessaire de s'entourer des compétences ad hoc 17.06.2009 Conférence GCS Télésanté Lorraine

    28. 5. QUESTIONS / RÉPONSES Conférence GCS Télésanté Lorraine 17.06.2009

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