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Intérêt de la Glycémie Post Prandiale dans la prise en charge du Diabète de Type 2 Pr: Hassan EL GHOMARI A

Intérêt de la Glycémie Post Prandiale dans la prise en charge du Diabète de Type 2 Pr: Hassan EL GHOMARI A. POSSIBLE MECANISM OF OF  CELL FAILURE IN TYPE 2 DIABETES. Insulin resistance (obesity, overfeading, physical inactivity, genetic factors?). Primary factors of

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Intérêt de la Glycémie Post Prandiale dans la prise en charge du Diabète de Type 2 Pr: Hassan EL GHOMARI A

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Presentation Transcript


  1. Intérêt de la Glycémie Post Prandiale dans la prise en charge du Diabète de Type 2Pr: Hassan EL GHOMARIA

  2. POSSIBLE MECANISM OF OF  CELL FAILURE IN TYPE 2 DIABETES Insulin resistance (obesity, overfeading, physical inactivity, genetic factors?) Primary factors of dysfunction (genetic) b-cell overstimulation (b-cell stress) H Y P E R G L Y C A E M I A Compensatory increase of functional b cell mass « Robust » b cell « Susceptible » b cell N O R M O G L Y C A E M I A Permanent sustained compensation Intolerance to glucose Early T2D b cell failure overt and late T2D Secondary factors of dysfunction (metabolic environment)

  3. POSSIBLE MECANISM OF OF  CELL FAILURE IN TYPE 2 DIABETES Insulin resistance (obesity, overfeading, physical inactivity, genetic factors?) Primary factors of dysfunction (genetic) b-cell overstimulation (b-cell stress) H Y P E R G L Y C A E M I A Compensatory increase of functional b cell mass « Robust » b cell « Susceptible » b cell N O R M O G L Y C A E M I A Permanent sustained compensation Intolerance to glucose Early T2D b cell failure over and late T2D Secondary factors of dysfunction (metabolic environment)

  4. La Progression naturelle du diabète de type 2 DIAGNOSTIC 350 300 250 200 150 100 50 Glucose Post-repas Glucose À jeun Glucose (mg/dl) 250 200 150 100 50 0 Insulinoresistance Niveau Insuline Fonction RelativeCell  (%) Insuffisance Cell  Obésité IGT Diabète Hyperglycaemie Non contrôlée CHANGEMENTS MACROVASCULAIRES Manifestations Cliniques CHANGEMENTS MICROVASCULAIRES Years -10 -5 0 5 10 15 20 25 30 Ramlo-Halsted B, et al. Prim Care 1999;26:771−89.

  5. Hyperglycémie post-prandiale : Une anomalie au cœur du diabète de type 2

  6. Insulinorésistance Anomalies de l’insulinosécrétion  Ces deux anomalies provoquent une élévation de la glycémie dont l’hyperglycémie post-prandiale est l’altération la plus précoce Physiopathologie du diabète de type 2 LEBOVITZ HE. Insulin secretagogues : old and new. Diabetes Reviews 1999 ; 7 : 139- 153 (Adapté de l’UKPDS 16).

  7. Postprandial hyperglycaemia Oxidative stress Endothelial dysfunction Insulin resistance -Cell dysfunction Metabolic syndrome Cardiovascular disease Type 2 diabetes The ‘common soil’ hypothesis Ceriello A, et al. Arterioscler Thromb Vasc Biol 2004;22:816–23.

  8. L’hyperglycémie post-prandiale :Une anomalie précocedans le développement du diabète de type 2

  9. La place de la GPP dans la prise en charge du diabète de type II

  10. Est-ce qu’une GPP à : 2,40 g/l 1,40 g/l C’est trop haut ? Signification de ces valeurs absolues ?

  11. Est-ce qu’une GPP à : 2,40 g/l C’est trop haut ? Signification de ces valeurs absolues ? La glycémie préprandiale était à : 3,28 2,28 1,28 Cela dépend de la glycémie préprandiale

  12. Valeur relative : Le delta glycémique ou excursion glycémique post-prandiale ∆ = GPP – G° Valeurs souhaitables, en moyenne : > 0,30 g/l < 0,50 g/l

  13. L’amplitude et la durée des hyperglycémies post-prandiales sont toutes deux augmentées dans le diabète de type 2 AVIGNON A, RADAUCEANU A, MONNIER L. Non fasting plasma glucose is a better marker of diabetic control than fasting plasma glucose in type 2 diabetes. Diabetes Care 20 : 1822 – 1826, 1997.

  14. Alimentation= Source d’ennuis On ne mange pas, la glycémie reste complètement étalé et stable

  15. Pourquoi la glycémie à jeun et la glycémie postprandiale ? • Parce que tout individu passe une partie de sa vie • à la fois en période basale (état de jeûne • et post absorptif) et en période postprandiale

  16. Pourquoi la glycémie à jeun et la glycémie postprandiale ? • Parce que tout individu passe une partie de sa vie • à la fois en période basale (état de jeûne • et postabsorptif) et en période postprandiale • Parce que chez tout diabétique l ’hyperglycémie • globale peut être subdivisée en hyperglycémie • basale et prandiale

  17. Glycémie (mg/dl) HbA1c 7-8% avec une augmentation modérée de la Gà jeun 300 200 100 5% Heures de la journée 12 19 8 Hyperglycémie basale Post prandiale > Traitement prandial est probablement un meilleur choix qu’un traitement basal

  18. Glycémie (mg/dl) HbA1c 7- 8% Avec une augmentation notable de la Gà jeun 300 200 100 5% 12 19 8 Heures de la journée Hyperglycémie Postprandiale Basale > Fixer d’abord l’hyperglycémie basale avec un traitement basal , puis ajouter un traitement prandial si nécessaire

  19. The glucose triad: for optimal management we should target... HbA1c The long-term average glucose level FPG The basal glucose level PPG The peak glucose level

  20. [ HbA1c ] from 0 to 3 months = 0 3months FG (t) dt+ 0 3months PPG (t) dt

  21. MAIS EN PRATIQUE … • Cette même étude (Monier) ainsi qu’un travail mené par Pr. G. SLAMA rappelle que la journée chez un individu normalement nourri peut être divisée en 3 périodes : • Etat de jeûne : période qui commence environ 10 à 12 heures après la dernière prise alimentaire. • Etat post-prandial : suit immédiatement l’ingestion d’un repas (phase de digestion et d’absorption des constituants alimentaires). • Etat post-absorptif : succède à l’état post-prandial et s’étale sur une durée de l’ordre de 6 heures. Considérant qu’une période post-prandiale dure en moyenne 4 heures et une période post-absorptive 6 heures, la période de jeûne réelle ne dure que 2 à 4 heures dans une journée. Il y a un intérêt supérieur à surveiller et à normaliser la GPP

  22. HbA1c GPP G° = + L’EQUILIBRE DES DEUX EST NECESSAIRE A LA NORMALISATION DE L’HbA1c

  23. CONTRIBUTION DE LA GLYCÉMIE POSTPRANDIALE À L ’HYPERGLYCÉMIE GLOBALE

  24. La période post-prandiale est importante, en particulier chez les patients présentant une intolérance au glucose ou un diabète de type 2 • Période post-prandiale : environ 50 % du nycthémère • Deux anomalies métaboliques, potentiellement délétères sont susceptibles de survenir en post-prandial : • l’hyperglycémie • l’hyperlipidémie Monnier.L : Intérêt de la détermination de la glycémie post-prandiale dans le diabète de type 2 : Diabétolodie et facteurs de risque vol 5-42 : 265-269 Ginsberg.H.N : Post-prandial dyslipidemia : An atherogenic disorder common in patients with diabetes mellitus : Am.J.Cardiol : 2001 ; 88 (suppl) : 9H – 15H

  25. Leçons fournies par l’étude des profils glycémiques diurnes

  26. Relative contribution (%) Fasting Postprandial 60 40 20 1 2 3 4 5 0 < 7.3 7.3-8.4 8.5-9.2 9.3-10.2 >10.2 Quintiles of HbA1c L. Monnier, H. Lapinski, C. Colette Diabetes Care 2003;26:881-885 80

  27. 6.5 7 7.5 8 8.5 9 9.5 Completetreatments with pharmacological interventions acting on: • FASTING • GLYCAEMIA • POST • PRANDIAL • GLYCAEMIA HbA1c

  28. VOTRE OBJECTIF THERAPEUTIQUE ? NORMALISER L’HbA1c Elle est fortement corrélée aux complications micro et macrovasculaires du diabète

  29. Leçons fournies par l’étude des profils glycémiques par CGMS

  30. Daily glycemic variation (mmol/L) with worsening type 2 diabetes Breakfast 15 Fasting (nocturnal period) Postprandial (daytime period) 14 13 12 11.5 11 ≥ 9 10 7- 7.9 8-8.9 9 10.0 6.5-6.9 8 7 8.4 4.4 < 6.5 Morning Period 6 0.7 5 0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 Diabetes Duration (yrs) L Monnier ,C Colette, G Dunseathand D Owens . Diabetes Care. 2007;30:263-269

  31. Sommes nous capables de définir des normes précises en matière d’évaluation de la « dysglycémie » du diabétique ? « LA TRILOGIE DES SEPT » 

  32. Glycemic goals for clinical management of diabetes ADA IDF ACE HbA1c < 7% < 6.5% < 6.5% Premeal glucose 90-130mg/dl <100mg/dl <110mg/dl Postmeal glucose <180mg/dl <140mg/dl <140mg/dl

  33. HbA1c < 7% Glucose Triad or Theory of the Three « Sevens  » Glucose after lunch < 7mmol/l Marker of HbA1c < 7% with a high specificity Fasting glucose < 7mmol/l Definition of diabetes

  34. Diabète = hyperglycémie mais aussi plein d’autres choses !

  35. I- Quand mesurer la GPP ? a- 1H, 1H30, 2H, 2H30 ? b- 4 glycémies par jour

  36. L’hyperglycémie post-prandiale est susceptible de promouvoir et/ou d’aggraver l’hyperglycémie à jeun : • L’hyperglycémie post-prandiale, via la gluco-toxicité, favorise : • la résistance à l’insuline • le déficit sécrétoire de la cellule ß Rossetti et al : Glucose Toxicity : Diabetes Care 1990,13:610-30

  37. Complications L’hyperglycémie post-prandiale :Un facteur de risquecardio-vasculaire indépendant MEIGS.J : Fasting and post-challenge glycemia and cardio-vascular disease Risk : Diabetes Care 2002 ; 25 : 1845-1850

  38. Toxique par les réactions de glycation qui altèrent la structure des protéines : de la paroi vasculaire du globule rouge du HDL et LDL cholestérol A l’origine d’un stress oxydatif : formation de radicaux libres impliqués dans le développement de l’athérome et de l’HTA Associée à une hyper-coagulation transitoire Responsable d’une altération de la fonction endothéliale Complications Hyperglycémie post-prandialeUn paramètre essentiel dans la genèse des complications vasculaires du diabète de type 2 Virally.M.L :Hyperglycémie post-prandiale, un paramètre essentiel dans la génèse des complications vasculaires du diabète de type 2 : Sang Thrombose Vaisseaux n°10 ; 12 : 667-672

  39. Diabetes Intervention Study, 1997 : La glycémie post-prandiale et non la glycémie à jeun, est un facteur prédictif d’infarctus du myocarde et de mortalité DECODE Study, 1999 : La mortalité cardio-vasculaire est mieux corrélée à la glycémie 2h après charge en glucose qu’à la glycémie à jeun qui ne permet pas d’identifier les sujets à risque Funagata Study, 1999 : l’intolérance au glucose est un facteur de risque cardiovasculaire et non l’hyperglycémie modérée à jeun Paris Prospective study, 1999 : La mortalité cardiovasculaire augmente avec la glycémie 2h après charge en glucose Hyperglycémie postprandialeLes études épidémiologiques la désignent comme un facteur de risque indépendant de mortalité cardiovasculaire Virally.M.L :Hyperglycémie post-prandiale, un paramètre essentiel dans la génèse des complications vasculaires du diabète de type 2 : Sang Thrombose Vaisseaux n°10 ; 12 : 667-672

  40. Diabetes Intervention Study, 1997 : La glycémie post-prandiale et non la glycémie à jeun, est un facteur prédictif d’infarctus du myocarde et de mortalité DECODE Study, 1999 : La mortalité cardio-vasculaire est mieux corrélée à la glycémie 2h après charge en glucose qu’à la glycémie à jeun qui ne permet pas d’identifier les sujets à risque Funagata Study, 1999 : l’intolérance au glucose est un facteur de risque cardiovasculaire et non l’hyperglycémie modérée à jeun Paris Prospective study, 1999 : La mortalité cardiovasculaire augmente avec la glycémie 2h après charge en glucose Hyperglycémie postprandialeLes études épidémiologiques la désignent comme un facteur de risque indépendant de mortalité cardiovasculaire Virally.M.L :Hyperglycémie post-prandiale, un paramètre essentiel dans la génèse des complications vasculaires du diabète de type 2 : Sang Thrombose Vaisseaux n°10 ; 12 : 667-672

  41. Etude DIS L’hyperglycémie post prandiale est un facteur de risque cardiovasculaire indépendant Selon niveau de la glycémie à jeun Selon le niveau de la glycémie post prandiale 0,79-1,1 g/l 0,79-1,44 g/l NS NS p< 0,05 p<0,05 ≤ 1,4 g/l ≤ 1,8 g/l 250 250 > 1,4 g/l > 1,8 g/l 200 200 Incidence /1000 150 150 100 100 50 50 0 0 Infarctus du myocarde Mortalité Infarctus du myocarde Mortalité Hanefeld et al : Risk factors for myocardial infarction and death in newly detected NIDDM : The Diabetes Intervention Study, 11 year follow-up : Diabetologia 1996 ; 39 : 1577-1583

  42. Etude DECODE :L’hyperglycémie post-prandiale est associée à une augmentation du risque de mortalité par infarctus indépendamment de la glycémie à jeun • 18048 hommes et 7316 femmes • suivi moyen : 7,3 ans Risque relatif de mortalité selon les résultats de la glycémie à jeun et de l’HGPO 2,5 2 1,5 1 > 2 0,5 1,4 -1,99 Glycémie 2h (g/l) 0 < 1,4 < 1,1 1,1 - 1,24 1,25 - 1,4 > 1,4 Glycémie a jeun (g/l) The DECODE study group : Glucose tolerance and mortality : comparison of WHO and American Diabetes Association Criteria, The Lancet, 1999 ; 354 : 617-621

  43. Postprandial hyperglycaemia islinked to cardiovascular mortality DECODA 20041 DECODE 20012 Honolulu Heart Program 19878 Pacific and Indian Ocean 19993 Postprandial hyperglycaemia Cardiovascular mortality Diabetes Intervention Study 19967 Funagata Diabetes Study 19994 Rancho Bernardo Study 19986 Whitehall, Paris and Helsinki Study 19985 DECODA: Diabetes Epidemiology: Collaborative Analysis of Diagnostic Criteria in Asia,DECODE: Diabetes Epidemiology: Collaborative Analysis of Diagnostic Criteria in Europe 1. Nakagami T, et al. Diabetologia 2004;47:385–94. 2. DECODE. Arch Intern Med 2001;161:397–405.3. Shaw J, et al. Diabetologia 1999;42:1050–54. 4. Tominaga M, et al. Diabetes Care 1999;22;920–24.5. Balkau B, et al. Diabetes Care 1998;21:360–67. 6. Barrett-Connor E, et al. Diabetes Care 1998;21:1236–39.7. Hanefeld M, et al. Diabetologia 1996;39:1577–83. 8. Donahue R. Diabetes 1987;36:689–92.

  44. Data from seven double-blind, placebo-controlled randomised trials Multiple centres across Europe and North America 2,180 type 2 diabetes patients(mean duration 6.7 years; mean HbA1c 8.5%) Minimum trial duration of 52 weeks Endpoint – Effectiveness of acarbose in the primary prevention of cardiovascular events MeRIA – meta-analysis of acarbose therapy in type 2 diabetes patients Hanefeld M, et al. Eur Heart J 2004;25:10–16. MeRIA: Meta-analysis of Risk Improvement with Acarbose

  45. 0 0.5 1.0 1.5 2.0 Acarbose was associated with a risk reduction in cardiovascular events in type 2 diabetes patients Cardiovascular event No. of patients RRR(%) Favours p Acarbose (n=1,248) Placebo (n=932) Acarbose Placebo Cardiovascular death 5 6 38 AMI 9 19 64 Angina 26 25 21 Heart failure 7 10 45 Revascularisation 6 5 22 Peripheral vascular disorder 14 14 25 Stroke/cerebrovascular event 10 10 25 Any cardiovascular event 76 88 35 0.44 0.01 0.39 0.23 0.68 0.46 0.53 0.01 Hanefeld M, et al. Eur Heart J 2004;25:10–16. AMI: acute myocardial infarction, RRR: relative risk reduction

  46. Double-blind, placebo-controlled randomised trial Multiple centres across Europe and Canada 1,429 individuals with IGT Mean follow-up of 3.3 years Primary endpoint –Efficacy of Acarbose in reducing the progression of IGT to diabetes Secondary endpoint – Efficacy of acarbose in reducing the incidence of cardiovascular events STOP NIDDM STOP-NIDDM –acarbose therapy in individuals with IGT IGT: impaired glucose tolerance, STOP-NIDDM: Study to Prevent Non-insulin Dependent Diabetes Mellitus Chiasson JL, et al. JAMA 2003;290:486–94.

  47. STOP NIDDM Effect of acarbose onthe incidence of myocardial infarction Acarbose (n = 682) Placebo (n = 686) P-value No. of clinical MIs 1 12 0.0226* No. of silent MIs 1 7 0.0390** Total No. of MIs 2 19 0.0002** *According to Cox proportional hazards model** According to 2 analysis Adapted from: Chiasson, J.-L. et al. JAMA 290: 486-494, 2003

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