1 / 51

Indications cliniques des composites

Indications cliniques des composites. Rappels:. Les trois composants principaux des composites: Une matrice organique (40% volume) Des charges (60% volume) Un agent de liaison. Rappels:. Les propriétés mécaniques des composites: La résistance à la compression La résistance à la traction

usoa
Télécharger la présentation

Indications cliniques des composites

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Indications cliniques des composites

  2. Rappels: • Les trois composants principaux des composites: • Une matrice organique (40% volume) • Des charges (60% volume) • Un agent de liaison

  3. Rappels: • Les propriétés mécaniques des composites: • La résistance à la compression • La résistance à la traction • Le module d’élasticité • La dureté • La résistance à l’abrasion

  4. Rappels: • Les propriétés physiques: • Expansion thermique • Le retrait de polymérisation • L’absorption hydrique • La porosité

  5. Les propriétés esthétiques • La couleur est perçue par l’œil qui distingue la longueur d’onde dominante, la brillance et la saturation; le rôle des pigments est primordial • L’indice de réfraction doit se rapprocher de celui des tissus dentaires avoisinants, condition d’un effet esthétique correct • La translucidité et l’opacité. La translucidité permet la pénétration diffuse de la lumière, l’opacité l’empêche; là encore, ces qualités doivent être comparables à celles des tissus durs voisins. • L’aptitude au polissage. La surface du matériau doit apparaître lisse comme l’émail. Seuls les composites à petites charges peuvent assurer ce type de résultat; c’est un critère de choix essentiel pour les restaurations antérieures visibles.

  6. Les propriétés esthétiques

  7. Les propriétés esthétiques Les facteurs cliniques de modulation: • Le choix délicat de la teinte • La connaissance incertaine de la translucidité du matériau • Les modifications de la teinte dans le temps • Le recours à des éléments modificateurs ou correcteurs.

  8. Les propriétés esthétiques • La translucidité: les composites microchargés, du fait de leur teneur relativement élevée en matière organique, sont plus translucides que les autres catégories. • Les modifications de teinte dans le temps: • intrinsèque: due à une réaction incomplète de polymérisation (remet en cause toute la restauration): surtout fréquente dans les premiers composites traditionnels. • Extrinsèque: liées aux propriétés de surface du matériau obtenues après polissage et de leur durabilité. NB: l’hygiène est un excellent moyen de prévenir les colorations extrinsèques, le poli de surface étant ainsi entretenu.

  9. Les propriétés biologiques • C’est une approche plus conservatrice car la taille de la cavité est définie par l’étendue de la lésion et préserve un maximum de substance saine

  10. Les propriétés biologiques • Les composites sont considérés comme des matériaux toxiques vis-à-vis du complexe dentino-pulpaire; cette incompatibilité biologique peut-être: • directe, liée au matériau lui-même • Indirecte, liée à un défaut de méthodologie clinique

  11. Toxicité directe • L’élément résineux est responsable de cette toxicité: les composites pauvres en charges minérales sont donc considérés comme plus dangereux. On va retrouver diverses substances irritantes: • Des fonctions libres cétone et alcool (BIS-GMA) • Polyuréthanes • Époxy Cette toxicité est difficile à apprécier in vitro et in vivo, plusieurs éléments seront à prendre en compte: la nature de la carie, son étendue, la proximité pulpaire, l’épaisseur de dentine résiduelle, la polymérisation parfois incomplète… Une protection dentino-pulpaire est donc de règle.

  12. Toxicité indirecte • Plus déterminante que la précédente; c’est l’adaptation marginale qui représente la meilleure garantie de tolérance biologique. • Si l’herméticité n’est pas réalisée entre la dent et le composite, il se crée un espace accessible aux bactéries et aux toxines issues du milieu buccal qui peuvent parvenir à la pulpe par la voie des tubuli dentinaires

  13. Tolérance parodontale • Elle est liée à l’état de surface du matériau et à la qualité de l’interface dent-matériau au niveau cervical. Le matériau doit être parfaitement poli afin de limiter la rétention de plaque bactérienne: ce qui est plus facile avec les microchargés et les hybrides récents. Les cavités sous-gingivales sont donc déconseillées car: • adhésion précaire • Finition difficile et imparfaite

  14. 1. fracture simple d’un angle au dessus du point de contact ou à son niveau 2. fracture haute englobant le point de contact 3. fracture asymétrique concernant les deux angles et le bord incisif en totalité 4. fracture du bord incisif Chacune présente des difficultés propres qui doivent être évaluées. Types de fractures

  15. Le choix de la restauration doit se faire après une étude soigneuse des rapports d’occlusion et des pressions exercées sur la région concernée. 2 types de forces: Forces appliquées sur les faces linguales Forces appliquées sur les bords incisifs Considérations mécaniques

  16. Considérations mécaniques • Les forces appliquées sur les faces linguales donnent une composante transversale qui tend à chasser la reconstitution vers la région vestibulaire; • Les forces appliquées sur les bords libres ont une composante horizontale susceptible de disjoindre latéralement l’obturation de la portion résiduelle de la dent. La dent est ainsi sollicitée en permanence, la combinaison de ces différentes contraintes peut aboutir à la fracture de la reconstitution.

  17. Cas clinique n°1 • Reconstitution antérieure

  18. Restaurations des prémolaires et molaires en composite • Critères cliniques des formes de contour des préparations: • Les limites de la restauration ne doivent pas coïncider avec les points d’impact occlusaux. • Le recouvrement cuspidien est fonction des trajets travaillants et non travaillants. • La préparation doit ménager l’espace au matériau pour, soit pour supporter les contacts de groupe, soit reconstituer une anatomie sans interférence.

  19. Restaurations des prémolaires et molaires en composite • Selon le matériau de restauration utilisé, une épaisseur et une largeur minimales sont nécessaires dans l’isthme occlusal et pour le recouvrement cuspidien.

  20. Restaurations des prémolaires et molaires en composite • Même avec les techniques adhésives, les parois restantes doivent avoir une épaisseur minimale. • Le surplomb de matériau nécessaire à l’obtention de contacts proximaux satisfaisants est de première importance. • Au-delà d’une limite, des surplomb trop marqués représentent un grand risque de fracture.

  21. Restaurations des prémolaires et molaires en composite L’extension des préparations dans les zones esthétiques doit également être considérée avec attention. En réalité, obtenir une transition parfaite de la restauration aux tissus adjacents demeure difficile.

  22. Cas clinique n°2

  23. Cas clinique n°2

  24. Cas clinique n°2

  25. Cas clinique n°3

  26. Restaurations des prémolaires et molaires en composite • IndicationsLes résines composites possèdent une résistance à la fracture et à l'usure tout à fait adéquates et peuvent durer plusieurs années. Ces matériaux viennent aussi en version plus fluide et sont utilisés comme scellants afin de prévenir le développement de carie dans les puits et les fissures se trouvant sur le dessus des dents situées à l'arrière de la bouche. • Les avantages • Les résines composites s'apparentent très bien à la couleur des dents puisqu'elles sont offertes en plusieurs teintes. Les restaurations finales sont donc très esthétiques. • La préparation de la dent en vue d'une restauration en résine composite est habituellement plus " conservatrice " que celle pour un amalgame. • Les restaurations finales adhèrent à la dent. En effet, avant de mettre la résine composite en couches successives, le dentiste applique une résine de scellement sur la dent. La résine composite étant collée à la dent, elle renforce cette dernière.

  27. Restaurations des prémolaires et molaires en composite • Les désavantages • Les restaurations en résines composites nécessitent plus d'étapes qu'une restauration en amalgame. Elles peuvent donc être un peu plus difficiles à faire. • Elles coûtent plus cher que les restaurations en amalgame. • Lorsque les résines composites sont utilisées dans des préparations de dimension large, elles sont moins durables que les amalgames. • Les photos suivantes sont des exemples de restaurations en résine composite faites sur des dents postérieures. • Ablation de la carie sur le dessus d'une molaire laissant une préparation de dimension moyenne. Molaire restaurée avec une résine composite. •   Prémolaire présentant une restauration défectueuse en amalgame qui doit être remplacée.  Prémolaire restaurée avec une résine composite.

  28. Ablation de la carie sur le dessus d'une molaire laissant une préparation de dimension moyenne.

  29. Cas clinique n°3

  30. Traitement des cavités cervicales

  31. Le scellement prophylactique des puits et fissures

  32. Types de sillons

  33. NB: la résine de scellement peut s’user ou se détacher = contrôle périodique et refaire si nécessaire l’application donc l’étanchéité.

  34. En résumé…

  35. Bibliographie • Dietschi D., Spreafico R. – Restaurations esthétiques collées: composites et céramique dans les traitements esthétiques des dents postérieures. Édition Quintessence international1997 • Réalités cliniques: • Grandini S., Sapio S., Ferrari M. – Traitement des fractures coronaires. Volume 13, N°1, mars 2002. • Kuhn G., Colon P. – Composites antérieurs: technique de stratification simplifiée. Volume 14, N°4, décembre 2003. • Decup F., Pourreau F., Serrien A. – Restauration postérieure esthétique: technique directe ou indirecte? Volume14, N°4, décembre 2003.

More Related