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IRM du rachis

IRM du rachis. 1 - Technique d'exploration 2 - Pathologie mécanique 3 - Pathologie inflammatoire 4 - Pathologie tumorale 5 - Pathologie traumatique. Technique d'exploration (0,5 ou 1,5 T ?). Les contrastes sont les mêmes Le rapport signal sur bruit est défavorable à 0,5 T

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IRM du rachis

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Presentation Transcript


  1. IRM du rachis 1 - Technique d'exploration 2 - Pathologie mécanique 3 - Pathologie inflammatoire 4 - Pathologie tumorale 5 - Pathologie traumatique

  2. Technique d'exploration (0,5 ou 1,5 T ?) Les contrastes sont les mêmes Le rapport signal sur bruit est défavorable à 0,5 T Les artefacts sont plus importants à 1,5 T

  3. Technique d'exploration (artefacts) Déplacement chimique Suceptibilité magnétique Artefacts de flux

  4. Technique d'exploration (antennes - plan) Antenne de surface (diminue les artefacts de mouvements antérieurs) Antenne de surface en réseau phasé (permet d'exporer tout le rachis sans déplacer le patient) Plan de coupes sagittales surtout avec lecture des coupes latérales

  5. Pathologie mécanique (NCB) L'IRM peut remplacer le myéloscanner et la myélographie cervicale (Neuroradiology. 1989, 31:382-385) Chez 88 à 92 % des patients ayant une NCB, l'IRM suffit à identifier une lésion chirurgicale (Neurosurgery. 1991, 28:175-179), (AJR, 1988, 151:1205-1212) L'injection de gado peut compenser l'absence de graisse en opacifiant les plexus veineux

  6. IRM du rachis Hernie cervicale

  7. Pathologie mécanique (dorsalgie) chez des patients asymptomatiques (recherche de méta) on retrouve des hernies discales chez 14,5 % des patients (J.Comput. Assist. Tomogr. 1989, 13 211-214) La dégénérescence discale est plus fréquente quand il existe une maladie de Scheuermann (Skeletal Radiol. 1989, 18:523-526) Les grosses hernies intraspongieuses sont parfois sympatomatiques et peuvent s'associer à un œdème du spongieux et prendre le contraste (AJR. 1997, 168:933-938)

  8. Pathologie mécanique (spécificité des signes dans la sciatique) Patients de 35 asymptomatiques : 20 à 30 % ont une hernie, 20 % un CLE, 35 % une dégénérescence discale (JBJS. 1990, 72:403-408) 50 % des femmes en âge de procréer, enceinte ou non, ont une hernie dicale (Radiology. 1989, 170:125-128). La hernie diminue mais reste présente dans 43 % des cas après nucléolyse et 98 % après chirurgie (Spine. 1996, 21:19-38).

  9. IRM du rachis IRM du rachis Hernie commune

  10. Pathologie mécanique(spécificité et reproductibilité des signes dans la sciatique) La prise de contrastede la racine est de 39 % avant chirurgie et 59 à 73 % après (Spine 1996, 21:19-38), (J. Radiol. 1995, 76:111-113) Sur les anomalies IRM la concordance entre 2 neuro-radiologues est de 80 %, entre 1 neuroradiologue et 1 orthopédiste de 49 %(Spine 1996, 21:19-38). La clinique est prédominante...

  11. Pathologie mécanique (stratégie dans la sciatique) Concordance radiochirurgicale dans 76 à 82 % des IRM, 73 à 83 % des TDM, 71 % des saccoradiculograhies, 89 % des TDM-sacco, 92 % des IRM-TDM (AJR, 1986, 147:757-765), (Spine 1989, 14:1362-1367) La saccoradiculographie et la discographie sont des tests du disque en situation de contrainte (Spine 1991, 16:S216-S221) La saccoradiculographie permet de mieux étudier les CLE (Spine 1990, 15:1166-1169).

  12. Pathologie mécanique (l'exclusion de la hernie) Le LVCP est visible dans 75 % des cas. Il existe des faux positifs de rupture : spécificité 78 % (Ann. Radiol. 1995, 38:204-210) En cas d'exclusion, le fragment est "trop gros" et a un signal en T2 supérieur au disque dans 80% des cas. Il existe un anneau de prise de contraste autour de la hernie exclue.

  13. IRM du rachis IRM du rachis Rechercheexclusion

  14. IRM du rachis IRM du rachis Hernieexclue

  15. Pathologie mécanique (la récidive de hernie) L'IRM permet de différencier fibrose et hernie (Radiologie, 1989, 170:531-533) L'utilisation du contraste est accessoire

  16. IRM du rachis Kyste articulaire postérieur

  17. IRM du rachis Dégénérescence microcristalline du nucleus

  18. Pathologie inflammatoire (infection) Hypo T1, hyper T2, prise de gado discale. Sensibilité 96 %, spécificité 92 % (J. Radiol. 1987, 68:373- 380) Ne permet pas de suivre la guérison.

  19. IRM du rachis Spondylodiscite

  20. IRM du rachis Spondylodiscite

  21. IRM du rachis Spondylodiscite

  22. IRM du rachis Spondylodiscite cervicale

  23. IRM du rachis Guérison Gado T1 Epiduriteinfectieuse

  24. IRM du rachis IRM du rachis Arthrite articulaire postérieure

  25. Pathologie inflammatoire (rhumatisme) Diagnostic différentiel avec infection Dans la PAR, l'IRM cervicale est utile en cas de troubles neurologiques (Skeletal Radiol. 1996, 25:113-118)

  26. IRM du rachis Polyarthrite

  27. IRM du rachis Polyarthrite

  28. Pathologie inflammatoire Maladie de Scheuermann Arthrose érosive type III de Modic : pas de prise de contraste du disque. Ostéomyélite chronique récurrente multifocale vertébrale (ressemble plus à un tassement) (Skeletal Radiol. 1997, 26:230-238) Arthropathie des hémodialysés : pas d'hypersignal en T2 (J. of Rheumatology 1996, 23-869-873)

  29. IRM du rachis Arthrose érosive

  30. IRM du rachis Arthrose érosive

  31. Pathologie tumorale (bilan de métastase) L'IRM a une sensibilité supérieure à la scintigraphie 92 % versus 67 % (J. Radiol. 1996, 77:185-190) En l'absence de symptomatologie, la scintigraphie est préférable (étude de tout le squelette) En cas de symptomatologie l'IRM étudie mieux les lésions

  32. IRM du rachis Métastase Gado - Fat sat

  33. IRM du rachis Métastase (effet de la radiothérapie

  34. Pathologie tumorale (angiome vertébral) L'angiome bénin a un hypersignal en T1 et T2. L'angiome malin a une extension extra-osseuse, aurait un hyposignal en T1 et prendrait le contraste. Le scanner est peut-être l'examen le plus performant pour l'angiome (AJR. 1996, 167:359-364), Rev. Rhum. 1994, 61:14-20).

  35. IRM du rachis Angiome agressif

  36. Pathologie tumorale(lymphome osseux) La scintigraphie et la radio standard sont préférables à l'IRM pour la recherche des lésions en dehors du bassin et du sacrum (Skeletal Radiol. 1997, 26:35-41) La radio standard est le seul examen utile pour le suivi

  37. Corrélation des signes IRM et du stade clinique (AJR. 1996, 167:1029-1036) Pathologie tumorale (myélome) Stade I Stade II Stade III Normale 5 0 0 Diffuse 0 3 9 Focale 2 12 4 Diffuse et 0 8 5 focale Mouchetée 5 0 0

  38. IRM du rachis Différents aspects du myélome

  39. Pathologie tumorale (myélome) Dans l'infiltration diffuse, la vertèbre a un signal inférieur à celui du disque (Radiologie 1997, 204:195-199) Dans l'infiltration diffuse, le signal se majore de plus de 40 % après contraste (AJR. 1996, 167:1029-1036)

  40. Pathologie tumorale (myélome) La plupart des tassements apparaissent bénins en IRM (Radiology 1997, 204:195-199) Le risque de tassement est environ 10 fois supérieur s'il y a une infiltration diffuse ou plus de 10 lésions focales (Radiology 1997, 204:201-205).

  41. Pathologie traumatique (stratégie) Il convient de ne pas multiplier les explorations pour ne pas perdre du temps (substitution) Si la clinique et la radio ne suffisent pas : scanner ou IRM (lésions ligamentaires, hernie traumatique, hématorachis) Le matériel de réanimation est maintenant compatible avec l'IRM.

  42. Pathologie traumatique(lésions liagmentaires) En urgence, l'IRM permet de voir les lésions ligamentaires chez 53 % des patients ayant un trauma thoraco-lombaire : LVCP, LVCA, LJ, LIE (AJR, 1997, 168:1481-1486) L'IRM pourrait remplacer le scanner dans les fractures comminutives en permettant de mieux préciser la voie d'abord en fonction des dégâts ligamentaires (Skeletal Radiol. 1990, 25:603-613)

  43. Pathologie traumatique(aspect de la moelle) Type I Type II Type III Hétérogène en T1, Normal en T1, Normal en T1, Hypo en T2, Hyper en T2. Iso en T2, avec anneau avec anneau d'hypersignal. d'hypersignal. Sang dans la Œdème médullaire Œdème et sang moelle : mauvais isolé pronostic.

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