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La Procédure d’Appel Global (CAP) Section CAP Genève unocha/cap

La Procédure d’Appel Global (CAP) Section CAP Genève www.unocha.org/cap. Plan. Partie I: Stratégie humanitaire commune. Procédure d ’appel global Appel éclair (Flash Appeal) Troisième sorte d ’appels. Partie II: Financement de l’intervention humanitaire.

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La Procédure d’Appel Global (CAP) Section CAP Genève unocha/cap

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Presentation Transcript


  1. La Procédure d’Appel Global (CAP) Section CAP Genève www.unocha.org/cap

  2. Plan Partie I: Stratégiehumanitaire commune • Procédure d’appel global • Appel éclair (Flash Appeal) • Troisième sorte d’appels Partie II: Financement de l’interventionhumanitaire • Fonds central pour les interventions d'urgence (CERF) • Fonds d’intervention pour les urgences humanitaire (ERF) • Fonds humanitaire commun (CHF)

  3. Résolution de l'Assemblée générale 46/182, décembre 1991 Renforcer la coordination de l’aidehumanitaired’urgence des Nations Unies par: • Création du coordonnateur des secours (ERC/USG) • Création du département des affaires humanitaires (DHA)(devenuBureau pour la coordination des affaires humanitaires en 1998 – BCAH/OCHA) • Procédured’appel global (CAP) • Fonds central pour les interventions d’urgence (CERF) • Comité permanent interorganisations(IASC)

  4. Appels éclairs et appels globaux Publié dans les cinq jours qui suivent le déclenchement d’une situation d’urgence pour une durée de 3 à 6 mois Appel éclair/ Flash Appeal Publié 3 à 6 mois après le début d’une crise et annuellement selon les besoins Appel global

  5. Qu’est ce qu’un CAP? La procédure d’appel global est bien plus qu’un appel pour de l’argent. C’est un outil utilisé par les organisations humanitaires pour organiser, mettre en oeuvre & faire le suiviensemble deleurs activités.

  6. Éléments d’un appel global • Contexte & analyse des besoins • Scénarios • Priorités stratégiques • Plan de réponse sectorielle • Plan de suivi } Plan d’action humanitaire commun + Liste des projetsnécessaires pour réaliser la stratégie = Appel global

  7. «Le plan d’action humanitaire commun (CHAP) devrait être l’outil principal de la coordination humanitaire». “The Common Humanitarian Action Plan (CHAP) should be the main tool of humanitarian coordination.” (Montreux Donors Retreat on the CAP, 2000)

  8. Pourquoi en avons-nous besoin? Les appels réunissent les organisations humanitaires, bailleurs de fonds, et gouvernements afin de: • présenter des approchesstratégiques aux crises humanitaires • organiser, coordonner, mettre en oeuvre & faire le suivi de la réponse • mobiliser ensemble des fonds • présente un plan d’action & unesérie de projets • sert de feuille de route aux actions demandées & besoins de financement • s’assureque les fondssontdépensésstratégiquement, efficacement & de manièreresponsable Chaque appel:

  9. Financement des activités humanitaires – principes de base • DEMANDE: • (Appels pour le financement) • Appelsd’agence • Procédured’appel global • OFFRE: • (Sources de financement) • Gouvernement national • Société • Fonds des ONGs • Bailleurs de fondsbilatéraux • Bailleurs de fondsmultilatéraux • Sector privé • Fondscommuns • CERF • Fonds d'intervention pour les urgences humanitaires (ERF) • Fondshumanitairecommun (CHF)

  10. 2012 Consolidated Appealsand comparable concerted humanitarian action plans (as of 29 Nov 2011)

  11. Financement des appels éclairs et appels globaux: 2001 - 2011 De novembre 2011

  12. Qu’est-ce qui justifie un appel? • Toute crise ou catastrophe nécessitant une réponse humanitaire qui: • dépasse la capacité du gouvernement du pays touché par la crise • dépasse la capacité et/ou le mandat d’une seul organisation • Un gouvernement affecté peut aussi demander officiellement une aide internationale

  13. Quel est la logique du CAP • Éviter les appels concurrents et chevauchants • Définir un cadre pour la programmation stratégique, coordonnée, et inclusive • Servir d’inventaire de projets prioritaires humanitaires, et de baromètre de financement

  14. Qui est impliqué? • Coordonnateurs résidents/humanitaires • Agences des Nations Unies • ONGs • Croix Rouge/Mouvement du Croissant-Rouge • Bailleurs de fonds • Gouvernement des pays touchés

  15. Rôles clés dans le CAP (1) • ERC/USG (Valerie Amos): responsable devant le IASC, le SG et à l’AG pour faire respecter les résolutions et politiques du IASC Credit: UN Photo/Jean-Marc Ferré • Coordonnateurhumanitaire (CH):déclenche la procédured’appel and dirigel’équipe de pays humanitaire • Bureau de terrain OCHA:responsabledevant le CH pour mener la procédured’appel et les concertations; écrire des parties générales du document; obtenir des contributions des clusters

  16. Rôles clés dans le CAP (2) • Agence de responsabilité sectorielle: responsable de l’évaluation des besoins sectoriels • Sièges de OCHA: • Sièges des membres du IASC: revoient une ébauche de l’appel (début nov, retour à la section CAP) • OCHA Genève: apporte un soutien quotidien et des conseils aux coordonnateurs humanitaires et bureaux de terrain OCHA; trouve des animateurs pour des séminaires CAP; formate & publie les documents d’appel; soutient FTS; élabore les lignes directrices du CAP • OCHA New York: soutient les bureaux de terrain OCHA sur des questions de fond; finalise l’édition des documents (intégrant les commentaires/ observations du IASC et des sièges)

  17. Rôles clés dans le CAP (3) • Les responsables de cluster sont chargés de: • mener • examiner • mettre à jour • développer • consulter • rassembler • contrôler • réviser • recommander

  18. Coordonnateurs des clusters jouentun rôlecrucial Impliquer tous les participants des clusters Coordonner les évaluations rapides des besoins Définir la stratégie des clusters et les priorités Diriger & coordonner les plans d’intervention Recueillir les propositions de projets de tous les partenaires Scruter les projets de façon transparente TOUT VA TRÈS VITE!

  19. Rôle des agences/ONGs • Êtreproactifdans la procédure • Participer à l’évaluation des besoinssectoriels • Aider à développer un plan d’interventionsectoriel • Présenter des propositions de projetsréalistes • Participer de façonindividuelle avec les bailleurs de fonds • Faire un compte-rendu sur les activités menées

  20. Pourquoi les ONGs devraient-elles participer dans la procédure d’appel? Exigences des bailleurs de fonds Accès aux fonds communs Appartenance à un cluster Visibilité

  21. Rôle du bureau des coordonnateurs humanitaires • diriger • soutenir • ratifier • participer • déclencher • garantir • coopérer • recommander

  22. Rôle du siège Soutenir leurs équipes de terrain dans la réalisation de l’appel: • En revoyant en substance le document et les projets pendant la période de révision au siège • En sollicitant des fonds (plaidoyer auprès des états membres) • En faisant un rapport à FTS

  23. Présence humanitaire en RCA 2012

  24. Analyse des besoins – RCA 2012

  25. Exemple de priorité stratégique Objectif stratégique 2: Renforcer la disponibilité, l’accessibilité et l’utilisation des aliments des populations vulnérables affectées par l’insécurité alimentaire, la malnutrition et les conflits • Suivi des indicateurs standards utilisés dans le cadre du rapportage de tous les projets financés • Rapports de mise en œuvre des projets • Missions conjointes de suivi évaluation / supervisions • Analyse des fiches de suivi permanent du SAP • Enquêtes conjointes de vulnérabilité Niger Appel Global 2012

  26. Plans d’intervention sectorielle - éléments • Description des besoinsprioritaires pour chaquesecteur • Grandeslignesdes prioritésd’intervention pour chaquesecteur • Objectifssectoriels (pas plus de cinq; SMART *) • Indicateurssectoriels (pas plus de cinq) • Stratégied’interventionsectorielle • Brèvestratégied’évaluation et de contrôlesectoriel * Spécifique/ mesurable / réalisable/ pertinent / limitédans le temps

  27. Résumé d’un plan de réponse sectoriel Cluster Nutrition Haïti CAP 2012

  28. Projets Examiner Hiérarchiser

  29. Examiner les projets «Chaque CAP et par conséquent chaque projet selectionné pour le CAP, devrait vraiment mériter un financement à 100%». Ainsi, tous les projets doivent: • être fondés sur les besoins évalués • aborder une priorité stratégique • être réalisables pour l’organisation proposée • être réalisables dans les délais du CAP • être raisonnablement budgétisés

  30. Examiner les projets: étude de cas - Somalie Critères de projet au séminaire CAP Les groupes de coordination sectorielle se mettent d’accord sur les objectifs sectoriels et priorités RÉVISION TECHNIQUE: Présidents sectoriels + rep d’ONG Organisations soumettent des projets Projet adopté RÉVISION EXECUTIVE: Reps pays des agences des NU + 2 reps d’ONG Projet rejeté

  31. Exemple de critères pour la hiérarchisation des projets critères organisationnels critères temporaires autres critères spécifiques au contexte critères démographiques critères de notation selon le genre critèresgéographiques critères sectoriels

  32. Table II: Besoins totaux de financement (groupés par niveau de priorité) Appel global pour la Côte d’Ivoire 2012 Au 15 novembre 2011 http://fts.unocha.org Compilé par le BCAH sur la base d'informations fournies par les agences. Niveau de priorité Fonds requis ($) 98 487 377 IMMEDIAT 62 487 419 HAUT MOYEN , , 12 114 537 173 089 333 Grand Total Bonnes et moins bonnes pratiques…

  33. Un cycle de programmation inclusif et coordonné

  34. CAP: Dates-clés Janvier Conférence de lancement (mi-janvier) Lancement local Lancement mondial de l’appel global(fin nov) Octobre Avril Consultation-terrain CAP: (août/sept) Conférence revue à mi-parcours(mi-juillet) Juillet

  35. Appels éclairs

  36. Résolution AG 46/182 «Lorsqu’une situation d’urgence nécessite une intervention coordonnée le Secrétaire général devrait veiller à ce qu’un appel initial commun, auquel seraient associées toutes les organisations compétentes du système et qui serait préparé en consultation avec l’Etat touché, soit lancé aussi rapidement que possible…»

  37. Qu’est-ce qu’un appel éclair? plan d’intervention humanitaire stratégique outil de coordination, de planification et de programmation contient: • plan d’intervention sectoriel spécifique et projets • information d’évaluation rapide des besoins peut être intégré dans le CAP si l’urgence continue et les besoins persistent répond aux besoins urgents pendant une durée maximale de 6 mois plan d’action humanitaire commun

  38. Délai indicatif après le déclenchement de la crise

  39. Exemple d’un project – résumé

  40. Le résultat • PREMIÈRE ÉDITION: • compromis entre vitesse et précision: la toute première éditionn’est pas fondéesur des informationsdétaillées

  41. DEUXIÈME ÉDITION: (ourévision) estpréparéequand de meilleuresinformationssontdisponibles—généralement 4 à 6 semaines plus tard. Celapeutaussiinclure plus de programmes de relèvementprécoce qui ne pouvaientêtreévalués à temps pour la première édition

  42. Révision des appels éclairs • Les révisionssontnécessairesparceque les appels éclairs sontécritsdans un court délai et utilisent des informationsincomplètes • Les révisionsont lieu quatresemaines après la publication de l’appel original (utilisant le système de projet en ligne (OPS)) • Les révisionsréalisentaussi les objectifssuivants: • Mettre à jour les plans d’intervention par secteur/cluster • Redéfinir les priorités des activitésd’interventionhumanitaire • Analyser les financements • Plaider pour le soutien des bailleurs de fonds • Présenter des informationsrécentes • Exposer brièvement les progrèseffectués • Évaluerl’efficacité de la stratégieactuelle

  43. Troisième sorte d’appel • Sensibilitéspolitiques • Appelsd’aide à la transition • Plans régionauxd’intervention

  44. RENFORCER L’INTERVENTIONHUMANITAIRE LEADERSHIP CAPACITÉ &PRÉVISIBILITÉ FINANCEMENT PARTENARIATS Part II: Financementhumanitaire

  45. Pour plus d’informations: • Procédure d’appel global (CAP): • http://www.unocha.org/cap • Service de surveillance financière (FTS): • http://fts.unocha.org • Système de projet en ligne (OPS): • http://ops.unocha.org • Comité permanent interorganisations (IASC): • http:// www.humanitarianinfo.org/iasc

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